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Jours tranquilles à Paris
26 mars 2014

la Tour Eiffel vue du toit du Palais de Tolyo

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26 mars 2014

OK quoi !

L’expression universelle « OK » a 175 ans

Les deux lettres apparaissent pour la première fois dans un journal de Boston, le 23 mars 1839. « OK » mot symbole de l’Amérique, est devenu, en 175 ans, universel. Ce serait aujourd’hui l’expression la plus souvent prononcée ou écrite sur la planète car elle est aussi facile à prononcer qu’à comprendre. Le Petit Robert français définit « OK » comme un mot anglais américain, abréviation de oll korrect ,altération de all correct .

26 mars 2014

Robert Mapplethorpe (photographe) - Exposition au Grand Palais

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26 mars 2014

Karl Lagerfeld

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26 mars 2014

VOGUE

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26 mars 2014

ERDEVEN : Dominique Riguidel largement élu face à Alain Bonnec

Municipales 2014

Dimanche soir, personne ou presque ne s’attendait à de tels résultats. Dominique Riguidel a récolté 1 310 voix (65,11 %) contre 702 pour Alain Bonnec. Il en fut le premier surpris :« Les résultats vont au-delà de nos espérances. Le porte-à-porte qu’on a réalisé sur la quasi-totalité de la commune a porté ses fruits. Je suis fier de représenter pour 6 ans l’équipe Vivre et agir à Erdeven. » Autre grande gagnante de cette soirée, Françoise Le Jossec, maire sortante, qui soutenait ouvertement le candidat, son adjoint aux finances. Elle d’habitude si discrète n’a pas caché sa joie en montant sur une chaise pour clamer les résultats, un grand sourire aux lèvres :« Je suis content parce que c’est un score qui ne remet pas en question Françoise. Ça confirme le bon travail réalisé durant les six dernières années » , a souligné Dominique Riguidel. Dans l’autre camp, c’était la douche froide :« Un tel écart est surprenant. On était si bien reçus quand on faisait du porte-à-porte. On s’attendait à un résultat plus serré. On y a vraiment cru » , a regretté une des colistières. Alain Bonnec masquait mal son inquiétude, à mesure que le dépouillement avançait. La foule venue en nombre cette année s’étonnait de voir les bulletins s’accumuler manifestement plus d’un côté que de l’autre. Et à 21 h, Alain Bonnec reconnaissait sa défaite :« Avec 45 % on a une très belle défaite. Je suis surpris, comme beaucoup, par le score réalisé en face. C’était une belle campagne, honnête, sans polémiques. Avec une équipe motivée et compétente. On a mis tous les atouts de notre côté, la communication, les réunions publiques …Je constate que la commune est très conservatrice. Les gens n’avaient pas envie que ça bouge finalement. C’est sûr, on est déçus. » Un constat amer, qui ne laisse pas pour l’instant entrevoir la suite. La liste d’Alain Bonnec peut tout de même prétendre à 4 sièges sur les 23. Le prochain conseil municipal apportera des réponses. Il se tiendra le samedi 29 mars, à 10 h, salle bocage, à l’espace Tilleul.

26 mars 2014

Martin Paar à la MEP

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http://culturebox.francetvinfo.fr/paris-dans-lobjectif-de-martin-parr-a-la-mep-151941

Après Ralph Gibson, Mimmo Jodice ou Bruce Davidson, c'est à Martin Parr que la Maison européenne de la photographie a donné carte blanche pour nous livrer sa vision de Paris. Pendant 2 ans, le photographe britannique a posé son regard ironique chez nous, de Notre-Dame à la Goutte d'Or. Résultat, 60 images colorées et décalées qui sont exposées à la MEP à partir d'aujourd'hui (jusqu'au 25 mai 2014)

Ne vous attendez pas à voir les vrais Parisiens dans leur vie quotidienne. Martin Parr a beaucoup photographié les touristes et les lieux touristiques, ou des évènements qui attirent les foules.

Il se défend, d'ailleurs, de faire un portrait objectif de Paris : "On sait tous que c'est très subjectif et très partiel." Et puis "le tourisme est une part intégrante de la vie économique parisienne", fait-il remarquer. Sans les touristes, que serait Paris, où selon lui "la moitié des restaurants sont pour les touristes", des restaurants que les Parisiens évitent, parce qu'ils sont un peu "snobby" par rapport aux touristes.

26 mars 2014

Anne Hidalgo : entre deux tours dans le 15ème...

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26 mars 2014

Vu sur internet - J'aime bien

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26 mars 2014

Rétrospective Henri Cartier-Bresson au Centre Pompidou (jusqu'au 9 juin)

Henri Cartier-Bresson

Paris 4e. Centre Pompidou   

 

Communiqué de presse

Henri Cartier-Bresson

À travers plus de cinq cents photographies, dessins, peintures, films et documents, le Centre Pompidou consacre une rétrospective inédite à l'œuvre d'Henri Cartier-Bresson, la première en Europe depuis la disparition de l'artiste.

Il invite le public à parcourir plus de soixante-dix ans d'une œuvre qui impose le photographe comme l'une des figures majeures de la modernité.

L'exposition dévoile son œuvre, au-delà de «l'instant décisif» qui a longtemps suffit à qualifier son génie de la composition et son habileté à saisir le mouvement. Dix ans après sa mort et maintenant que les milliers de tirages laissés à la postérité ont été réunis par la fondation qui porte son nom, l'exposition invite à une véritable relecture de l'œuvre d'Henri Cartier-Bresson.

Celui que l'on a surnommé «l'œil du siècle» fut l'un des grands témoins de notre histoire.

La rétrospective du Centre Pompidou révèle toute la richesse de son travail et la diversité de son parcours de photographe, du Surréalisme à la guerre froide, en passant par la guerre d'Espagne, la Seconde Guerre mondiale et la décolonisation.

L'exposition présente les clichés iconiques du photographe et met aussi en lumière des images moins connues: elle réévalue certains reportages plus confidentiels, fait émerger des ensembles de peintures et de dessins et se penche sur les incursions d'Henri Cartier-Bresson dans le domaine du cinéma.

À la fois chronologique et thématique, le parcours s'articule autour de trois axes: la période des années 1926 à 1935, marquées par la fréquentation du groupe surréaliste, les débuts photographiques et les grands voyages à travers le monde; un second volet est consacré à l'engagement politique d'Henri Cartier-Bresson de son retour des États-Unis en 1936 jusqu'à son nouveau départ pour New York en 1946; une troisième séquence s'ouvre avec la création de Magnum Photos en 1947 et s'achève au début des années 1970, au moment où Henri Cartier-Bresson arrête le photo-reportage.

À l'occasion de cette rétrospective, un catalogue à la fois ouvrage de référence et beau livre, est publié aux Éditions du Centre Pompidou sous la direction de Clément Chéroux.

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