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Jours tranquilles à Paris
29 juillet 2015

Save the date...

le 6 aout erdeven

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29 juillet 2015

"Des Apaches", une plongée chez les Kabyles de Belleville avec Laetitia Casta

Laetitia Casta est une mère célibataire mystérieuse et sensuelle dans "Des Apaches", comédie dramatique signée Nassim Amaouche en salles mercredi, qui nous plonge avec réalisme au cœur de la communauté kabyle parisienne et de ses traditions. Dans le quartier de Belleville, nombreux sont les bars tenus par des Kabyles qui les ont rachetés à des Auvergnats.

Ici, pas de contrats écrits, pas de paperasse, tout marche à la parole. Pour céder une affaire, on réunit un conseil des chefs de familles auquel le vendeur est tenu d’assister en présence de son fils aîné.

Samir est le fils aîné d'un père qu'il n'a jamais connu. Aussi, lorsque celui-ci débarque dans sa vie pour lui demander de l'accompagner à un de ces conseils, où il doit vendre ses parts dans un café, il commence par refuser. Pour son deuxième long métrage, six ans après "Adieu Gary" qui avait remporté le Grand prix de la Semaine de la critique à Cannes, Nassim Amaouche nous fait découvrir un pan méconnu de la communauté kabyle via le parcours d'un homme désœuvré et passif - qu'il incarne lui-même à l'écran - et qui renoue avec ses origines pour se construire.

André Dussollier fait une incursion réussie dans le film où il est l'avocat et ami du père de Samir qui l'assiste dans ses affaires... parfois teintées de chantage.

"Je suis d'origine algérienne et kabyle, c'est une communauté qui a un mode de fonctionnement singulier et l'idée de proposer aux spectateurs quelque chose d'inédit me plaisait", explique à l'AFP Nassim Amaouche, 38 ans. - Réalisme et fantastique -

Dans un style très réaliste, quasi-documentaire, il porte une regard sociologique sur cette population pour en décrire les usages et l'organisation.

Mais tel n'est pas le seul propos du film qui raconte aussi l'histoire d'amour pleine de mystère entre Samir et Jeanne, une mère célibataire interprétée par une évanescente Laetitia Casta.

"Le film marche sur deux jambes, l'une est ancrée dans le réel, l'autre explore la fiction et c'est cet équilibre fragile qui en fait une expérience intéressante", souligne Nassim Amaouche.

Une démarche originale de la part du metteur en scène qui, dans son travail, dit s'intéresser plus à la forme qu'au fond. "Je ne suis pas sûr d'avoir grand chose à dire, en revanche, c'est plus la manière de raconter les choses qui m'intéresse", explique-t-il.

Laetitia Casta incarne la partie plus symbolique, presque fantastique, du film dans le rôle d'une mère qui élève seule son fils et avec lequel elle entretient une relation fusionnelle.

"On sent qu'elle a fermé la porte à toute possibilité de relation amoureuse jusqu'à la rencontre avec Samir qui va l'entraîner dans un voyage introspectif", explique l'actrice de 37 ans à l'AFP.

"Il y a une phrase que j'aime beaucoup dans le film, celle qui dit que Jeanne sait prendre le plaisir le moment venu et n'attend rien de plus. Le fait qu'elle n'attende rien fait que, peut-être, elle commence à vivre", ajoute-t-elle.

L'ancien top-modèle dit s'être beaucoup investie dans ce rôle qui, même s'il est court "est intense et décisif".

Elle a aussi participé à l'écriture du personnage de Jeanne et travaille actuellement à celle d'un scénario, dont elle préfère ne rien dévoiler pour le moment.

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29 juillet 2015

David Lachapelle (photographe)

Opening in Chile this week: 
LaChapelle Fotografías 1984 - 2013 
Museo De Arte Contemporaneo
Santiago, Chile
July 29 - September 27, 2015
Artist's Talk Open to the Public on July 29th at 7:30pm at the Teatro Corpartes in Chile. 
The talk is open to the public and a Q&A will follow. 
See more at: http://www.mac.uchile.cl/…/david-lachapelle-fotografias-198…

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29 juillet 2015

Dimanche, la Fête du Thon à Etel

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29 juillet 2015

Batz-sur-Mer et Le Croisic, c’est aussi la Bretagne…

Le Croisic Batz (Loire-Atlantique).

Totalement improbable ! La plage Valentin, dans la petite baie de Batz sur Mer, bourg de paludiers lové entre océan et marais salants, est représentée, sur l’affiche, flanquée de coquettes demeures qui n’existaient pas là-bas… Le Croisic, port coloré, et Batz, ses paludiers, ses rochers impressionnants, réunis dans une image d’Épinal… En revanche, au début du XXe siècle, le vaste hôtel Régina avec son lanterneau caractéristique et les deux manoirs étaient bien là. Laurent Delpire, Croisicais spécialiste du patrimoine classé, rapporte :« Les promoteurs envisageaient de lotir les dunes et de construire plusieurs villas de part et d’autre de l’hôtel pour créer un nouveau quartier …Le projet tombe à l’eau avec l’arrivée de la guerre de 1914-1918. » Pour « appâter » le touriste, l’illustrateur s’est affranchi de tout réalisme en ajoutant sur la plage batzienne le majestueux hôtel d’Aiguillon, la villa Ker Hou (au premier plan) et le manoir XVe de Kervaudu et sa poivrière, tous implantés… au Croisic ! Kervaudu signifie « la demeure de l’homme noir » en breton. Parlonsnous donc, à défaut d’Armorique, de terre bretonne ? Poussons la porte du musée des marais salants de Batz où officie Gildas Buron, conservateur érudit :« Entre Loire et Vilaine, on a longtemps parlé breton. À Batz, au village de Roffiat, c’était la langue communautaire jusqu’en 1914. Les anciens l’ont parlée jusque dans les années 1970. À Piriac-sur-Mer et Mesquer, on l’a parlée jusqu’en 1820. »

Mer promise depuis Montparnasse !

Au Croisic, où« le bilinguisme a prévalu » jusqu’au XVIIIe siècle, ce sont les pêcheurs qui ont relancé le breton avec l’implantation« de Finistériens entre 1920 et 1935 » . On parle encore breton chez quelques vieux Croisicais, dans les bistrots du port. Avec leurs deux clochers en pierre, si bretons d’esprit, l’identité est claire. Le marketing en use : la presqu’île guérandaise est présente dans le Guide Vert de la Bretagne sud . Le sel de Guérande est un « produit en Bretagne ». Sur la plage Valentin, Marie-Christine, Parisienne à la retraite, penche pour le terme« Bretagne sud. Ici, on dit qu’il fait beau. » André, 83 ans, et Liliane, son épouse, quittent Dreux (Eure-et-Loir), tous les étés, depuis 1972, pour un camping du Croisic. C’est breton, ici ? Oui, mais «avant. Il y avait une Bigoudène qui venait vendre sa dentelle il y a 25 ans. Ça a trop changé, depuis ! » Les clichés ont vraiment la vie dure… Jean-Michel Gingueneau, architecte au Pouliguen, ville voisine de Batz, pense« logiquement » la presqu’île comme bretonne :« La Bretagne va jusqu’à la Loire. » L’arrivée du chemin de fer de Paris à Saint-Nazaire, dès 1857, annonce le développement touristique. Le Croisic, novateur, lance la Compagnie de Saint-Nazaire au Croisic, qui fait faillite avec la guerre de 1870. La défunte société est rachetée en 1879 par le pionnier du tourisme, Jules-Joseph Hennecart, l’homme qui fera naître, du sable, La Baule… Le Croisic devient le terminus de Paris, via La Baule. Cette mer promise depuis Montparnasse fait la gloire du port avant même celle de La Baule. Sur la presqu’île guérandaise, Batz est le village qu’on traverse avant l’étranglement qui ouvre sur la presqu’île du Croisic. Une situation géographique qui pourrait expliquer chez le Croisicais un esprit quasi-insulaire, en tout cas très indépendant. Les récents combats pour sauver leur criée, voici cinq ans, l’ont prouvé. Les coriaces Croisicais ont conservé, mordicus, leur outil de travail ! Et si, finalement, c’était quand même un village d’Armorique, celui d’irréductibles Gaulois ? Article de Michel ORIOT.

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28 juillet 2015

Vu sur Instagram

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28 juillet 2015

Château Marmont et Helmut Newton, etc.... dans Vanity Fair

28 juillet 2015

La grogne des agriculteurs

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28 juillet 2015

Trégarvan - Musée de l'école rurale en Bretagne

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http://musee-ecole.fr/

28 juillet 2015

Pour Jacques Séguéla, "même si on est clochard, on peut arriver à mettre de côté 1.500 euros"

Plus de six ans après sa malheureuse sortie sur France 2 - si "à 50 ans, on n'a pas de Rolex, on a quand même raté sa vie" - Jacques Séguéla en remet une couche.

Interrogé sur BFMTV, l’ancien publicitaire explique qu’ "il ne regrette pas de l’avoir dit"

"Ce n’est pas ce que je voulais dire", précise-il. Que voulait-il dire alors ? "Ça voulait dire que la vie est un rêve, qu’il faut rêver de tout. La Rolex est un symbole comme un autre et j’aurais pu dire une Ferrari, un stylo Bic, peu importe, un objet culte dont on a envie. Il n’y a pas de raison de dire aux gens ‘Vous êtes condamnés à ne jamais vous faire le plaisir de votre vie’. On a quand même le droit, même si on est clochard, on peut arriver à mettre de côté 1.500 euros ! On a le droit de rêver nom de Dieu !"

Jacques Séguéla ou comment s'enfoncer un peu plus quand on est un communiquant.

A propos de Jacques Séguéla voir mes précédents billets des 24 février 2014, 15 mai 2013, 23 février 2013 et 15 février 2012.

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html 

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