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Jours tranquilles à Paris
29 avril 2016

Un avant-goût de cinéma dans le RER D

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Ce soir en rentrant du bureau. Photos : J. Snap

Explications

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29 avril 2016

Vu sur le trottoir dans mon quartier ( des travaux en perspective)

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29 avril 2016

Vu sur instagram

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29 avril 2016

Street Art

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29 avril 2016

Abdeslam. Comment défendre un «monstre»

Mais comment peut-on défendre des gens pareils ? Qualifiés de monstres, d'ennemis publics numéro un, les grands criminels, terroristes ou tueurs d'enfants ont tous eu des avocats (Me Frank Berton est l'un de ceux qui défendent Salah Abdeslam). Un principe démocratique pas toujours facile à assurer, entre cas de conscience et stratégie de défense. « Oui, j'ai hésité », a confié, mercredi, Me Frank Berton, avocat français de Salah Abdeslam, seul membre vivant des commandos des attentats du 13 novembre, rappelant la difficulté d'un métier « où souvent on assimile l'avocat à son client ». Son confrère belge, M e Sven Mary, a confié à Libération qu'il hésitait à rester dans ce dossier qui lui a déjà valu des agressions verbales et physiques, et l'a contraint à faire protéger ses filles sur le chemin de l'école. « Bien sûr qu'il y a des gens qui ne comprennent pas quelle est la mission qui est la mienne aujourd'hui (...) mais nous sommes dans une démocratie et Salah Abdeslam est un homme, il a besoin de dire les choses. La justice se rend quand on comprend les choses, sinon il n'y a pas de sens aux procès, pas d'utilité pour les victimes », a fait valoir Frank Berton sur France 2. Des stratégies différentes De Landru, le tueur de femmes, à Youssouf Fofana, l'assassin d'Ilan Halimi, en passant par Patrick Henry, tueur du petit Philippe Bertrand, la question de la défense d'hommes considérés par l'opinion publique comme des « monstres » s'est toujours posée. Et les avocats y ont répondu par des stratégies différentes. Défenseur de Barbie, Khieu Samphân ou Milosevic, Me Jacques Vergès transformait les prétoires en tribunes politiques. Il appliquait une défense de rupture, expérimentée durant la guerre d'Algérie dans la défense des poseurs de bombes du FLN, consistant à récuser le droit des tribunaux à juger ses clients. À l'inverse, Sven Mary a traité son client Salah Abdeslam, avec son accord, de « petit con », une stratégie visant à minimiser sa responsabilité.

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29 avril 2016

C'est dit !

tarte

29 avril 2016

Olivier Rousteing

29 avril 2016

Si j'avais un marteau ! Heureusement ce soir c'est le week-end....

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29 avril 2016

Serge Gainsbourg

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29 avril 2016

Polnareff. Retour sur scène avant l'album tant attendu

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Une des nouvelles chansons, « Louka's song », sera dédiée à son fils de cinq ans. « Le Bal des Laze » repart pour un tour : neuf ans après une tournée qui avait réuni deux millions de spectateurs, Michel Polnareff revient pour une quarantaine de concerts, à partir de demain, à Épernay (Marne). Ses fans attendent impatiemment un nouvel album. Le dernier disque studio du papa de « La poupée qui fait non » - 72 ans en juillet -, remonte à 1990 (« Kâma Sûtra »). D'abord annoncé pour décembre 2014, le nouvel album de Polnareff devrait réunir sept à neuf nouvelles chansons dont il a écrit tous les textes, et plusieurs instrumentaux. Depuis 25 ans, il a sorti seulement deux albums live - « Live at the Roxy » (1996) et « Ze(re) Tour 2007 » (2007) - et n'a fait paraître que deux chansons inédites : « Ophélie flagrant des lits », en 2006, et « L'Homme en rouge », fin 2015, évoquant la solitude et Noël avec des orchestrations foisonnantes. « Je sais qu'il y a des fans qui disent "il se fout de nous", mais justement l'album a pris du retard car je ne me fous pas d'eux », a expliqué « l'Amiral », mercredi, au micro d'Europe 1. « Quand on attend aussi longtemps un disque, il faut qu'il soit absolument parfait. Mais la perfection, cela prend du temps », s'est-il justifié. À l'affiche des Charrues En attendant, le chanteur a assuré, sur RTL, qu'il « n'a jamais été aussi impatient de monter sur scène que pour cette nouvelle tournée » qui débute demain par Épernay (Marne), puis Paris pour plusieurs soirées avant Lille et Strasbourg. Surtout, Polnareff sera à l'affiche des Vieilles Charrues, à Carhaix, le 15 juillet. D'autres dates à retenir : le 24 novembre à Rennes et le 3 décembre à Nantes. Avant sa dernière prestation, en 2007, marquée par un méga concert au pied de la Tour Eiffel pour le 14 juillet, l'icône pop aux célèbres lunettes blanches n'avait plus chanté en France depuis 1973, date à laquelle il était parti s'installer aux États-Unis à la suite de problèmes fiscaux, réglés depuis. L'auteur de « On ira tous au paradis », dont l'esprit de provocation semble intact, vient de publier chez Plon une autobiographie, « SPERME » (les lettres formant le mot PERE imprimées en rouge). Anticonformiste depuis toujours, l'artiste choque la France, deux ans avant mai 1968, avec « l'Amour avec toi ». En octobre 1972, son affiche « PolnaRévolution », sur laquelle il montre ses fesses pour la promotion d'une série de concerts à l'Olympia, crée le scandale, qui sera sanctionné par une condamnation pour attentat à la pudeur, assortie d'une amende de 60.000 francs de l'époque.

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