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Jours tranquilles à Paris
30 avril 2016

Les billets SNCF moins bien remboursés

À partir de dimanche, une retenue de 40 % sera appliquée la veille ou le jour du départ. Elle sera de 15 € au maximum pour les TGV.

À partir de dimanche, le voyageur qui a acheté un billet SNCF Loisirs Rennes - Le Mans à 31 € a intérêt à ne pas avoir d’imprévu. S’il annule son billet la veille ou le jour même, il perdra plus de 12 €. Ce sont les nouvelles conditions d’échange des billets qui entrent en vigueur le 1er mai : la retenue augmente à 40 % du prix du billet, la veille et le jour du départ, avec un plafond de 15 € pour les TGV et de 12 € pour les Intercités à réservation obligatoire. Jusqu’à présent, le remboursement des tarifs Loisirs était gratuit jusqu’à la veille du départ et coûtait 12 € le jour même.

Communication discrète

Désormais, l’échange et le remboursement resteront gratuits plus de trente jours avant le départ, mais coûteront 5 €, ensuite, avant d’augmenter à 40 % du prix du billet à J-2. Les titulaires de cartes de réduction comme les cartes Jeune, Senior, Week-end, Enfant +, pourront cependant l’obtenir gratuitement jusqu’à J-2 et pour 5 € ensuite. Cette mesure avait été mentionnée, fin janvier, lors d’un déjeuner de presse. Pas d’autre communication depuis. La SNCF compte en parler la semaine prochaine. Elle justifie ce durcissement par le taux de remplissage des trains qui est diminué par les annulations de dernière minute. Actuellement, le taux moyen ne dépasse pas 65 %. La SNCF assure qu’elle augmentera la durée de disponibilité des billets à petit prix.« C’est à l’entreprise d’être au service du client et non le contraire » ,tacle la Fnaut (Fédération nationale des associations d’usagers des transports). Elle estime que la mesure va pousser des voyageurs à se rabattre sur la route,« renonçant au train parce que, d’année en année, son usage est devenu bien trop complexe : prix incompréhensibles, information lacunaire, points de vente supprimés… » La Fnaut estime que la mesure n’est justifiée que pour les TGV affichant complet dans la gamme Loisirs. Et rappelle que ceux qui changent leur billet sont déjà pénalisés par le prix du nouveau billet, généralement plus élevé car réservé plus près de la date de départ.

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30 avril 2016

Paris, je t'aime !

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30 avril 2016

Presse = LUI Magazine - David Bellemere photographie Elodie Frégé (en kiosque)

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30 avril 2016

Milo Moiré (artiste)

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30 avril 2016

C'est le Week-End !

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30 avril 2016

FRANZ ACKERMANN, New Work, Galerie Templon

30 avril 2016

PLOUHARNEL : Bégo. Un camp allié reconstitué

Installés sur le site du Bégo, avec tentes et matériel d'époque, c'est une vie comme en campagne loin de chez eux qui s'organisera. L'association LBMG (Liberty Breizh memory group), fondée en 2008 par un groupe de passionnés, est la cheville ouvrière de l'événement « Assaut sur le Bégo » qui se déroulera du 5 au 8 mai prochain. Le travail réalisé depuis a été colossal pour rénover un bunker et faire vivre la mémoire de l'histoire locale. Durant ce long week-end, un camp complet reconstitué rassemblera plus de 300 participants, avec leurs véhicules et matériel d'époque. C'est un saut dans le passé que propose LBMG durant quatre jours. Ses membres porteront les tenues de la 94e division d'infanterie US (Bretagne 1944), des SAS Français (Bretagne 1944) et du régiment blindé des fusiliers marins (2e DB). Des associations partenaires de collectionneurs, venant de toute la Bretagne et d'ailleurs, installeront leur camp avec leurs véhicules d'époque et seront en tenue réglementaire. Six mois de travail sur le bunker Mais comme c'est souvent accompagnés de leur famille que beaucoup vont faire le déplacement, les femmes et les enfants seront également en tenue d'époque, arborant socquettes blanches sur talons compensés, bérets ou coiffures crantées. En groupes ou individuellement, ils vont s'attacher à recréer un groupe de commandos SAS, de parachutistes, une équipe sanitaire, un détachement radio, les servants d'une mitrailleuse, d'un mortier... « Nous allons recréer toutes les conditions de cette vie en campagne, explique François Cailloce, le président de LBMG. Certains véhicules seront même réparés sur place dans un garage reconstitué. Tout l'équipement sera d'origine. On entendra aussi les airs et chansons de ces années-là ». Le bunker sera un lieu d'exposition exceptionnel. Chacun pourra se rendre compte du travail important réalisé par les adhérents. « Cela fait six mois que nous y passons de nombreux samedis, ajoute le président. L'étanchéité nous a posé des problèmes. Nous y avons réinstallé une ventilation, identique à celle d'origine récupérer sur un bunker de Lorient. Actuellement l'un de nos adhérents y restaure la génératrice d'un des canons 340 installés dans la batterie durant l'occupation allemande. Cette pièce nous a été offerte par la famille Brandner, d'Erdeven ». Pratique Site Internet : lbmg56.centerblog.net

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30 avril 2016

La prise de la Bastille

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30 avril 2016

Olivier Rousteing

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30 avril 2016

La France qui a du mal à aimer : « Les Habitants », de Raymond Depardon

ncien correspondant de guerre, le cinéaste et photographe est parti sur les routes avec une caravane qu’il a garée sur les grand-places de villes aussi différentes que Nice (Alpes-Maritimes), Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) ou Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Il a invité des duos d’inconnus, rencontrés dans la rue, à poursuivre leur conversation devant la caméra. C’était entre les attentats contre Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, et ceux du Bataclan, le 13 novembre ; pourtant il est surtout question d’argent (il manque) et d’amour (il manque aussi). De ces propos captés comme à l’insu de leurs locuteurs se dégage une impression d’extrême violence, surtout dans les rapports de couple. La bienveillance et le respect dont témoigne Depardon à ses personnages accentuent encore le malaise face à ces paroles que l’on n’entend jamais au cinéma. Thomas Sotinel

Documentaire français de Raymond Depardon (1 h 24).

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