Convention républicaine: Donald Trump écrase la rébellion dans le chaos
ETATS-UNIS Les forces anti-Trump n'ont pas réussi à obtenir un vote crucial, ouvrant la voie à une confirmation du candidat...
Diana Shores, une déléguée républicaine de Virginie, a tenté, sans succès, d'obtenir un vote pour bloquer Donald Trump, le 18 juillet 2016.
C’était l’action de la dernière chance. Au premier jour de la convention républicaine de Cleveland, lundi, des délégués anti-Trump ont tenté de barrer la route au candidat républicain. Mais si la résistance a réussi à provoquer le chaos dans la salle du Quicken Loan Arena, l’Empire a finalement écrasé la rébellion.
Le mouvement « Never Trump » a présenté une motion pour demander un vote des 2.472 délégués afin de tenter de rejeter les règles adoptées en comité la semaine dernière. Cela leur aurait permis, en cas de majorité, de laisser chaque délégué voter pour le candidat de leur choix, sans devoir suivre le verdict des urnes.
Pour provoquer un vote, la motion devait être signée par les délégations de sept Etats. Les anti-Trump en ont convaincu neuf. Mais une courte interruption, en pleine cacophonie, a permis au parti républicain de sortir le fouet. Finalement, trois délégations se sont désistées. Du coup, il n’y a eu qu’un vote par acclamation, et les pro-Trump ont gagné, entonnant des « USA, USA ».
Dépités, certains délégués ont claqué la porte. Mais désormais, Trump, qui a obtenu plus de 1.500 délégués, est assuré de franchir le cap de la majorité absolue (1.237).
Gus Van Sant - exposition à la Cinémathèque - vu avant-hier
Photos ci-dessus : Faustine
Gus Van Sant Jr., né le 24 juillet 1952 à Louisville (Kentucky), est un réalisateur, directeur de la photographie, musicien et scénariste américain. Il vit à Portland, dans l'Oregon. Après des débuts comme cinéaste indépendant avec notamment le film My Own Private Idaho, il se rapproche de l'industrie hollywoodienne avec des films de commande comme Prête à tout ou Will Hunting, ce dernier étant récompensé aux Oscars.
Il revient ensuite à un cinéma éloigné des pressions financières et artistiquement indépendant avec ce que des critiques ont appelé la « tétralogie de la mort », avec des films comme Elephant (Palme d'or au Festival de Cannes 2003) ou Last Days, librement inspiré des derniers jours du chanteur Kurt Cobain.
Sa carrière connait un nouveau tournant en 2008 avec Harvey Milk, un film que Gus Van Sant a mis près de quinze ans à réussir à réaliser, à la fois grand public et très personnel, reprenant par exemple la thématique de l'homosexualité déjà présente dans sa première période.
Canicule...
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— Météo-France (@meteofrance) 18 juillet 2016