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Jours tranquilles à Paris
7 septembre 2016

Exposition : Le Bon Marché célèbre Paris

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A la rentrée, le célèbre magasin de la Rive gauche porte haut et fort les couleurs tricolores en dédiant son exposition automnale à la Ville Lumière. Vestiaire casual chic, gourmandises typiques, cosmétiques adorés des Frenchies... L'essentiel pour la jouer comme une Parisienne.

Après le Brésil, le Japon et Brooklyn, le Bon Marché Rive Gauche se met à l'heure de Paris le temps de son exposition de rentrée très attendue, comme chaque année. Sweats et T-shirts cocons 100% made in Paris griffés Maison Château Rouge, Un Pigeon dans Paris et Maison Labiche, vestiaire masculin pensé par Pigalle, créations exclusives signées Dior, Christian Louboutin ou Balenciaga, bijoux désirables Louise Damas, lingerie délicate Body & Clyde... Maisons de prestige et jeunes créateurs en vogue ont imaginé de belles pièces collectors aux couleurs de la capitale, démontrant que le savoir-faire français reste une référence. Côté beauté, savons tout doux Le Baigneur, crèmes onctueuses Bonne Nouvelle et fragrance Les Bains séduiront les plus coquettes. Et pour les gourmands, une délicieuse sélection de gourmandises so frenchy ravira leurs papilles, du thé parfumé Kodama au miel fleuri Parisiennes en passant par le fromage cendré Jay&Joy. Enfin, le Bon Marché met à l'honneur l'art français en invitant le dessinateur Fred Le Chevalier à mettre en scène les vitrines et l'intérieur du magasin qu'il a habillés de ses petits titis parisiens virevoltants.

Paris!, du 2 septembre au 15 octobre au Bon Marché Rive Gauche, 24 Rue de Sèvres, 75007 Paris

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Le Bon Marché célèbre les créateurs parisiens jusqu'au 15 octobre

En passant distraitement devant le Bon Marché, on pourrait croire que Fred le Chevalier - street artiste adepte du collage - a semé une de ses silhouettes sur la célèbre devanture. Pourtant, ce n'est pas une, mais une cinquantaine d’œuvres que l'artiste a dessiné, collé ou suspendu au Bon Marché, qui présente jusqu'au 15 octobre son immense exposition 'Paris !'

Bouillon de créateurs

Après le Japon, le Brésil, et Brooklyn, c'est donc au tour de Paris de briller sous les lumières dorées du célèbre magasin parisien. Mais pas n'importe quel Paris, car pour le Bon Marché il s'agit avant tout de « se tourner vers un Paris émergent, insolite et secret dont les protagonistes réinventent la ville pour vivre leur passion ». Inutile de railler la boutique pour avoir fait de Christian Louboutin son invité d'honneur - le célèbre chausseur n'a pas grand-chose à voir avec l'émergence, l'insolite et le secret - car l'exposition dépliée sur plusieurs niveaux réussit bien son pari : mettre en avant la jeune création parisienne (au total une quarantaine de marques) et rendre hommage à la ville.

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7 septembre 2016

A la Trinité sur Mer - Morbihan

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7 septembre 2016

France Info

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7 septembre 2016

La barre d'Etel

7 septembre 2016

Pourquoi les selfies sont bons pour l'ego

Symbole d’une société nombriliste et exhibitionniste, le selfie, autoportrait posté sur les réseaux sociaux, regonfle aussi le moral. Enquête sur ce phénomène qui touche les adolescents, mais pas seulement.

Que celui qui n’a jamais pris une photo de lui-même, Smartphone ou appareil photo à bout de bras, jette la première pierre aux 62 millions de personnes qui ont publié les leurs sur Instagram. Les selfies sont à la mode. Ce sont les Britanniques de l’Oxford English Dictionary qui ont tiré les premiers en désignant le terme « mot de l’année 2013 » et en le glissant entre selfood (« individualisme ») et selfish (« égoïste »). Tout un symbole. Mais cette innovation lexicale n’est pourtant que la consécration d’un véritable phénomène. Les petites vedettes et les grandes stars, les hommes politiques et les chefs d’État – même le pape François, c’est dire ! – font comme nous et partagent des moments intimes, leur humeur du jour ou leur localisation géographique avec ce petit portrait sans prétention. Certes, depuis que l’homme a compris que c’était son reflet qu’il voyait dans l’eau des lacs et des flaques, il a cherché à le pérenniser. Soit en le faisant peindre, dessiner, graver, sculpter par d’autres, soit en se tirant lui-même le portrait. Et l’histoire de l’art ne remerciera jamais assez Rubens, Frida Kahlo ou Lucian Freud de l’avoir fait.

Prendre le contrôle sur son image

Le premier autoportrait photographique, d’un inconnu, date de… 1839. Mais ce sont les premiers appareils numériques, permettant de faire des photos à volonté, qui ont véritablement lancé la tendance. Avant que deux éléments majeurs ne la transforment en phénomène de société. Tout d’abord, la caméra frontale de l’iPhone 4 (suivi par tous les Smartphone), qui nous permet, à l’instar du miroir, de voir notre image, donc le résultat, pendant que nous sommes en train de nous prendre en photo. Et la diffusion immédiate sur des dizaines de réseaux sociaux au choix, Facebook, Twitter, Instagram et tous leurs petits frères.

Sujets de la photo, nous en sommes désormais devenus les auteurs. Et cela change tout ! Il nous est enfin possible de la contrôler, de la retoucher, de l’embellir. Et surtout d’en faire autant que nous le souhaitons. L’auteur de selfies ne saurait se réduire au simple rôle de victime d’un nombrilisme omniprésent : il est aussi le metteur en scène de ses images. Cela explique que la première vague des selfies ait été essentiellement des autoportraits léchés et très codifiés : la tête penchée, le regard en biais et la bouche arrondie, esquissant un baiser, la fameuse duck face, ou « visage de canard ».

Gagner en confiance

Et puis les choses ont changé, notamment sous l’influence de mannequins vedettes comme Cara Delevingne, avec l’apparition des uglies (« affreux » en anglais), où l’on ne craint pas de se montrer mal coiffé, ridicule… Ils permettent d’échapper au côté boomerang du selfie ; car publier sa tête sur le Net, c’est courir le risque de subir critiques et autres retours négatifs. Avec les uglies, on devance les moqueurs et on pare aux blessures narcissiques. Pour Pamela Rutledge, psychologue américaine, responsable d’une grande enquête aux États-Unis sur le sujet, « quand vous avez le sentiment d’avoir le contrôle, vous pouvez vous permettre d’essayer de nouvelles choses, de prendre plus de risques, d’expérimenter davantage et de gagner en confiance ». Même les stars de cinéma, comme Jennifer Aniston ou Cameron Diaz, postent des photos d’elles sans maquillage, avec leurs rides et leurs boutons. Une façon de prouver, à l’ère des retouches omniprésentes, qu’elles sont belles – aussi – au naturel. Et à celle des soupçons permanents, qu’elles ne sont ni « botoxées » ni opérées. Chercher le désir de l’autre

Dans un monde dominé par l’image où nous avons appris à ne plus croire à la réalité de ce que nous voyons, ce détournement maîtrisé du selfie est aussi un moyen d’assumer toutes nos identités, qui nous montrent tour à tour sérieux, drôles, tristes ou déchaînés. De nouveaux réseaux sociaux se sont créés uniquement pour amplifier cette tendance. Ainsi, sur Snapchat, pouvons-nous partager n’importe quelle représentation de nous dans n’importe quel état ; l’application la détruira automatiquement au bout de quelques secondes fixées par nous. Non seulement nous décidons de l’image de nous que nous postons, mais aussi de sa durée de vie, afin d’éviter qu’elle survive, justement, au moment présent. À quoi bon fixer l’instant et son étendue émotionnelle si c’est pour les garder pour soi ? En un geste du pouce sur notre téléphone, nous pouvons donc les lancer immédiatement sur la Toile. D’instants privilégiés de redynamisation de l’ego, ils deviennent alors un signe d’appartenance à une communauté. Pas étonnant que les adolescents adorent. Texte de Marie L'Hermet

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7 septembre 2016

Herb Ritts à partir d'aujourd'hui à la MEP

7 septembre 2016

Extrait d'un shooting - mode

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7 septembre 2016

Peter Lindbergh. A Different Vision on Fashion Photography

Revivez quarante ans d’une histoire de la mode unique grâce à Peter Lindbergh. En écho à la grande exposition du Kunsthal à Rotterdam, cet éblouissant recueil de photographies réunit plus de 400 images de Lindbergh, dont beaucoup d’inédites, qui révèlent son esthétique cinématographique fascinante et la nouvelle vision romantique et narrative qu’il a apportée à l’art et la mode. Les clichés sont accompagnés d’hommages personnels de Jean Paul Gaultier, Cindy Crawford, Anna Wintour et bien d’autres.                  

Peter Lindbergh. A Different Vision on Fashion Photography      

Relié, 23,9 x 34 cm, 524 pages - € 59,99

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7 septembre 2016

LAIS est dans LUI et elle aime ça...

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7 septembre 2016

Winnie Harlow

@adbks rendition of my cover story for @marieclaire_la 😍🙌🏾 #fanart #winnieharlow #cover

Une photo publiée par ♔Winnie♔ (@winnieharlow) le 5 Sept. 2016 à 13h14 PDT

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