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Jours tranquilles à Paris
13 juillet 2017

Colette fête ses 20 ans et puis s’en va

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213, rue Saint-Honoré (Ier). La boutique Colette pourrait être reprise par l’enseigne de prêt-à-porter Saint-Laurent.

Le concept-store le plus fashion de la capitale va fermer le 20 décembre, à la surprise générale. Colette Roussaux, sa fondatrice, prend sa retraite.

Par  Ronan Tésorière

Les salariés l’ont appris hier matin. Alors que le magasin de mode Colette a fêté en grande pompe ses vingt ans par une exposition aux Arts Décoratifs fin mars, cet incontournable lieu parisien, référencé dans tous les guides touristiques de Paris, ferme le rideau.

« Toutes les bonnes choses ont une fin. Après vingt années exceptionnelles, Colette devrait définitivement fermer ses portes le 20 décembre. » Le message est laconique et a pris de court la communauté des branchés. Le concept-store de la rue Saint-Honoré (I er) l’a annoncé sur son compte Instagram. Le message précise que des négociations sont en cours pour la reprise du lieu par Saint-Laurent.

Parmi les clients : Zlatan, Rihanna, Drake, Kate Moss…

Une tractation menée dans le secret, puisque l’équipe a découvert la nouvelle quasiment en même temps que le grand public. « Colette Roussaux arrive à l’âge où il est temps de prendre son temps ; or, Colette ne peut exister sans Colette », précise ce post en forme de communiqué. De nombreux commentaires d’internautes regrettent déjà cette fermeture surprise du temple de la « hype » parisienne. Rien, a priori, ne laissait augurer de cette fermeture brutale. Ni les comptes bénéficiaires, ni la célébration du vingtième anniversaire.

Lancée en 1997 au 213, rue Saint-Honoré, à Paris par Colette Roussaux et sa fille Sarah Lerfel Andelman, la boutique de 700 m 2 sur trois niveaux s’est rapidement imposée comme référence d’un genre nouveau, mêlant habillement, street-art, mode, beauté, art, design, high tech, musique et littérature. Un concept qui a largement participé à l’aura branchée de la capitale à l’étranger.

Zlatan, Rihanna, Pharrell Williams, Drake, Kate Moss… Les plus grandes stars de la planète sont venues chaque année présenter leur collection en édition limitée et leur actualité dans ce temple de la mode, créant, à chaque visite, l’émeute.

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12 juillet 2017

Jeux Olympiques 2024 ???

Jeux olympiques : Paris se projette en 2024 mais pas au-delà

Par Yann Bouchez

Dotée de nombreuses infrastructures déjà prêtes, la capitale doit encore construire quelques sites et attend le feu vert du CIO. Dans le cas d’une attribution pour 2028, elle devrait revoir ses plans.

Le principe de la double attribution des Jeux olympiques 2024 et 2028, le 13 septembre à Lima, a beau avoir été officiellement acté par le Comité international olympique (CIO), mardi 11 juillet, les représentants de la candidature parisienne vont continuer de batailler, comme ils le font depuis plusieurs mois, pour obtenir les Jeux dans sept ans et non dans onze.

Contrairement à sa rivale de Los Angeles, qui logerait les athlètes sur le campus de l’université de Californie (UCLA), Paris doit encore construire son futur village olympique. Celui-ci verrait le jour dans le quartier Pleyel de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Il devrait coûter environ 1,3 milliard d’euros (le budget global de l’événement est estimé à 6,6 milliards d’euros). Avec 17 000 lits, il permettrait d’héberger plus de 10 000 athlètes et leurs entraîneurs sur 51 hectares.

Alors que les représentants de Paris 2024 disent vouloir que les Jeux contribuent à dynamiser la banlieue nord-est, comme l’avait fait Londres avec ses quartiers de l’East End lors de l’édition olympique 2012, la construction de ce village a été utilisée comme argument afin de justifier la nécessité d’organiser la compétition dans sept ans.

« Impossible d’obtenir le terrain pour 2028 »

« Nous avons rencontré les propriétaires des terrains et ils ont été clairs : ils gardent le terrain jusqu’en septembre dans l’optique de 2024, mais il est impossible d’obtenir le terrain pour 2028 », a prévenu Tony Estanguet, coprésident du comité de candidature. « Nous n’aurons aucun village de cette qualité-là pour 2028 », a insisté Jean-François Martins, adjoint aux sports à la mairie de Paris, lors d’un déjeuner de presse à l’hôtel de ville, le 15 juin.

Paris 2024 souligne que 85 % des athlètes logeraient à moins d’une demi-heure de leur lieu de compétition et que 22 sites de compétition seraient situés dans un rayon de 10 kilomètres autour du village olympique.

Le tout en s’appuyant sur un réseau de transports densifié dans le cadre du projet Grand Paris express, qui prévoit notamment la réalisation de quatre nouvelles lignes de métro automatique autour de la capitale entre 2020 et 2030. Ces éléments sont mis en avant par la candidature parisienne, d’autant que les distances et les transports ne sont pas les points forts de Los Angeles.

Outre le village olympique et le village des médias, qui devrait être installé sur le site de Dugny-Le Bourget, reste à construire le centre aquatique, qui sera situé à Saint-Denis, à proximité du Stade de France, ainsi qu’une salle polyvalente baptisée Paris Arena II, en bordure de Seine, dans le quartier de Bercy, qui accueillera le judo et le basket-ball.

Pas de « lieu de célébration central »

Les sites de compétition doivent principalement s’articuler autour de deux axes, l’un situé en Seine-Saint-Denis, l’autre dans le centre de Paris. Ce dernier inclut des lieux emblématiques comme le Champ-de-Mars (beach-volley), l’esplanade des Invalides (tir à l’arc) ou le Grand Palais (taekwondo et escrime).

Tony Estanguet et les représentants de la candidature parisienne vantent la « compacité » du projet, alors que les sites apparaissent relativement éparpillés. D’ailleurs, si la commission d’évaluation du CIO, dans son rapport publié le 5 juillet, loue les « décors incroyables » qu’offre Paris, elle souligne que « créer une atmosphère olympique spéciale dans la zone du Grand Paris sera plus difficile, car les sites sont déployés sur une large aire, sans lieu de célébration central ».

En dehors de ces deux zones réunissant 19 sites de compétition, les épreuves d’aviron et de canoë-kayak se dérouleront à l’est de la capitale, à Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne), tandis que les compétitions d’équitation, de cyclisme (en dehors des épreuves sur route) et de golf auront lieu dans les Yvelines. Les épreuves de voile seront les seules – hormis quelques matchs de football – à être organisées en dehors de la région Ile-de-France, à Marseille.

12 juillet 2017

Bonne Journée...

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12 juillet 2017

Serge Gainsbourg - rue de Verneuil - Street Art

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12 juillet 2017

Une sirène dans un aquarium...

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12 juillet 2017

AURAY - Urgences. L'accueil d'été à l'hôpital du Pratel rouvre ce jeudi

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Article de Guillaume Hubert - Source : Le Télégramme

Pour répondre aux besoins estivaux, les urgences de l'hôpital du Pratel ouvrent du 13 juillet au 18 août. Un service essentiel pour décharger les urgences de Vannes, selon Thomas Maréchal, directeur du site.

« Un service de proximité souvent décisif l'été ». Thomas Maréchal, directeur du centre hospitalier Bretagne Atlantique, développe : « si quelqu'un fait une crise cardiaque sur un territoire excentré, comme la presqu'île de Quiberon, gagner une demi-heure de transport par rapport aux urgences de Vannes, ça peut tout changer ». D'où l'importance d'un service d'urgences à Auray, sans lequel celles de Vannes seraient engorgées l'été. « Nous avons déjà eu un mois de juin particulièrement soutenu au centre hospitalier de Vannes, avec 250 patients par jour durant la Semaine du golfe, contre 170 en hiver », justifie le directeur.

Près de 40 patients par jour

À l'hôpital du Pratel, presque 40 patients ont été traités chaque jour l'été dernier. « Sauf après le 15 août, où on a constaté une fréquentation plus faible. C'est notamment pour ça que nous fermons le 18 août cette année », explique Thomas Maréchal. Le service ouvre cette année deux jours plus tard et ferme trois jours plus tôt. Il assure que ces cinq jours d'accueil estival en moins par rapport à 2016 ne sont pas dus à des coupes budgétaires, mais à « une adaptation plus juste par rapport aux besoins de la population ».

Dix postes dont deux médecins

Les patients seront pris en charge de 9 h à 20 h, sauf pour les urgences les plus graves, transférées sur Vannes. Le personnel provient d'effectifs détachés du site vannetais.

Un recrutement de plusieurs contractuels a eu lieu au printemps. Principalement sur des postes d'infirmières, d'aides-soignants et de personnel d'entretien. Cette ouverture estivale est aussi un moyen de tester de futurs salariés permanents, pour le directeur de l'hôpital : « nous recrutons également dans le cadre de mutations. Chaque année, nous prenons en CDI à Vannes des contractuels qui ont prouvé leur qualité durant l'été à Auray ». Une sorte de phase test.

Le Smur et la Maison Médicale en renfort

Deux urgentistes sont présents chaque jour de 9 h à 20 h. En dehors des horaires d'ouverture, le Service mobile d'urgence et de réanimation (Smur) du Pratel reste mobilisé et accessible via le 15, comme toute l'année.

Pour les soins courants, la maison médicale du 45 avenue Wilson sera ouverte en semaine de 20 h à minuit, le samedi de 12 h à minuit et le dimanche de 8 h à 22 h.

« La proximité permet des transferts. Le rôle premier des urgences, c'est l'intervention rapide et la bobologie, pas les maux de tête. La maison médicale est là pour ça ». Chacun son rôle !

12 juillet 2017

Extrait d'un shooting - bondage dans un Donjon

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12 juillet 2017

Vive le café !

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Santé On lui reproche de nous empêcher de dormir mais grâce à lui on vit plus longtemps. Voilà le petit noir réhabilité par deux études publiées hier.

Par  Elsa Mari

« Un caffè, per favore. » Comme à son habitude, Antoine, 66 ans, en vacances en Toscane, ne peut s’empêcher de s’arrêter pour savourer un délicieux expresso italien. « Il faut dire qu’ici, il est particulièrement onctueux et aromatisé », confie ce grand amateur de kawa. Ce voyageur qui a parcouru le monde est formel. En Colombie, « c’est l’un des meilleurs », en Turquie, Grèce, au Liban, « il est très épais avec du grain moulu, égrène-t-il. Le café, c’est comme un compagnon ».

A raison, comme le prouvent deux études publiées hier dans la revue médicale américaine « Annals of Internal Medicine ». La première, réalisée auprès de 520 000 hommes et femmes de plus de 35 ans suivis par l’enquête européenne sur le cancer et la nutrition (Epic), pendant seize ans, montre ses bienfaits sur notre santé. Ceux qui en consomment trois tasses par jour, y compris décaféiné, jouissent d’une espérance de vie plus longue que ceux qui n’en boivent pas. L’impact est surtout visible pour les maladies circulatoires et celles du système digestif. Le café est aussi riche en antioxydants. Et ces bons résultats se retrouvent à l’échelle de dix pays européen. Du jamais-vu.

Seize ans d’enquête

Une autre enquête américaine fait le même constat. Elle a été réalisée auprès de plus de 185 000 adultes de 45 à 75 ans, de toutes origines, sur une période moyenne de seize ans. Les chercheurs ont noté que ceux qui buvaient une tasse de café par jour avaient 12 % moins de risques de mourir que ceux qui n’en consommaient pas. Pour autant, les auteurs précisent que lien de cause à effet n’est pas prouvé, il s’agit seulement d’observations.

Privilégier l’expresso

« C’est quand même très intéressant », s’enthousiasme Claire Mounier-Vehier, présidente de la Fédération française de cardiologie (FFC). « On connaissait ses effets négatifs, c’est-à-dire que la caféine stimule le système nerveux sympathique qui contrôle la fréquence cardiaque et la pression artérielle, à l’origine de palpitations. Cet excitant neurologique peut aussi empêcher de dormir. Mais on ne savait pas qu’il prévenait le vieillissement des artères. » Même si, elle le rappelle, il faut éviter de boire trop de café filtre, alias « café chaussette » ou « allongé », paradoxalement très concentré car « plus l’eau passe dans la cafetière et plus elle dilue la caféine ».

Son collègue, Patrick Assyag, président de la section Ile-de-France à la FFC, est aussi étonné : « Il y a quelques années, on disait encore que le café augmentait le risque de tumeur de la vessie. Il faudrait une nouvelle étude pour confirmer ces résultats, à suivre », insiste-t-il. Pourtant, pour Astrid Nehlig, directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et auteur de « Café et santé » (2016), il n’y a pas d’ambiguïté sur ces bienfaits. « C’est prouvé. Les chercheurs de Harvard ont été les premiers à le montrer. Leurs conclusions allaient à l’encontre de tout ce qui se disait alors, assure-t-elle. Le café protège des maladies cardio-vasculaires, en particulier des infarctus et des accidents vasculaires cérébraux. » Alors comment expliquer les palpitations et tremblements dus au petit noir ? Selon Astrid Nehlig, ceux qui en souffrent font soit partie de la petite proportion de la population, génétiquement différente, qui y est sensible. Soit ils sont en surdosage. « Chacun doit donc réguler sa consommation. »

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12 juillet 2017

ça c'est en été....

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12 juillet 2017

"DUNKERQUE" - Dunkerque - Bande Annonce Officielle (VF) - Christopher Nolan - Save the date....

Sortie en salles le 19 juillet

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