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Jours tranquilles à Paris
14 janvier 2018

Dimanche Martin...

dimanche martin

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14 janvier 2018

Charlotte Gainsbourg - I'm a Lie (Official Music Video)

14 janvier 2018

C'est vrai ça !

dimanche

14 janvier 2018

Ron Mueck

ron mueck

14 janvier 2018

Concorde Art Gallery - Patricia L.M.

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Patricia L.M - Photographe

« Puisant dans la colère comme dans le désir la flamme sous laquelle elle veut faire naître son travail. » M.T.

Expositions :

2011

« Galerie Dock Ouest ». Concarneau. Exposition : r...ose !

2008

« Zhazen la galerie ». Quimper. « même les anges sont déplumés. »

Expositions collectives:

Actuellement « Atelier d’ Hommet ». Chemin de Lesdomini. Pont Aven.

Avec A.Hommet.

2014

« Galerie Saluden ». Quimper. Exposition « Restons groupés »

2013

« Maison des Archers » Quimperlé. Exposition : « les quatre éléments »... avec B.Lagny

« Galerie Dock Ouest ». Concarneau. Exposition : « solitaire et pluriel ».

Exposition itinérante « A Jonas Da Moby Dick. »

2012

« Galerie Saluden ». Quimper. Exposition « Traits pour traits ».

« Galerie Dock Ouest ». Concarneau. Exposition : « 360° »

« Galerie Dock Ouest ». Concarneau. Exposition : « Dock Collective »

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14 janvier 2018

Extrait d'un shooting - nu

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14 janvier 2018

Une nouvelle offre de vélos en libre-service à l’assaut des villes

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Par Feriel Alouti - Le Monde

oBike, Gobee. bike, Ofo : le vélo en « free-floating », accessible n’importe où, sans borne d’attache, bouscule les services historiques, tel Vélib’ à Paris. Non sans quelques remous et revers.

Ils sont jaunes, verts ou gris, parfois garés de manière anarchique, et disponibles en quelques clics. Importés dans l’Hexagone en 2017, les vélos en free-floating, c’est-à-dire accessibles n’importe où, sans borne d’attache, entendent révolutionner, à Paris et dans d’autres grandes villes françaises, l’utilisation de la bicyclette.

Mais l’arrivée de ces nouveaux engins, accessibles grâce à une application téléchargée sur smartphone permettant de géolocaliser les vélos disponibles à proximité de l’usager, bouscule la position de monopole des services historiques, tel que Vélib’ dans la capitale, non sans générer quelques remous et revers.

Une mue vers le low cost

Avec le déploiement de oBike, Gobee. bike et, plus récemment, Ofo, le vélo en ville entame une mue vers le low cost. Alors que la caution du nouveau Vélib’, désormais géré par l’exploitant Smovengo, va prochainement doubler, pour passer de 150 à 300 euros, ces nouveaux acteurs présentent une sérieuse concurrence avec une caution limitée à 5 euros pour oBike, 15 euros pour Gobee. bike, Ofo ayant même décidé de ne pas en demander.

En revanche, la première demi-heure restera gratuite sur Vélib’ pour les abonnés, contre cinquante centimes d’euro la première demi-heure chez oBike et Gobee. bike, les vingt premières minutes chez Ofo.

A Paris, les trois entreprises tirent actuellement profit du retard accumulé par l’entreprise Smovengo, qui doit livrer 24 000 nouveaux vélos et déployer 1 400 stations d’ici au 1er mai.

Le créneau du « premier et dernier kilomètre »

« C’est un hasard positif », assure Alban Sayag, directeur général d’oBike France et Belgique :

« Aujourd’hui, il y a des gens qui n’ont pas de service de vélos partagés disponibles car Vélib’ a pris beaucoup de retard, alors ils se reportent vers nous, même si, à la base, on n’est pas dans une concurrence frontale. »

Bien au contraire, défend M. Sayag, pour qui oBike est une « offre complémentaire » surtout utile « pour le premier et dernier kilomètre » à parcourir pour rejoindre une station de métro ou son lieu de travail, à la sortie du tramway, par exemple.

« Nos vélos sont faits pour parcourir des trajets inférieurs à 10 minutes, des trajets pour lesquels on n’a pas besoin de passer des vitesses, où le confort nécessaire n’est pas le même que pour un long trajet, mais pour lesquels on a besoin d’un maillage territorial plus fort. »

La concurrence promet d’être plus rude concernant le vélo électrique, développé par Vélib’, version Smovengo, mais, bientôt aussi, par certains de ses nouveaux concurrents.

La Ville de Paris veut « réguler » et « encadrer »

Si des usagers se réjouissent de l’arrivée en France du free-floating, d’autres redoutent de voir les trottoirs de leur ville se transformer en espace anarchique de stationnement de ces vélos, voire de dépotoirs d’engins endommagés ou vandalisés. C’est pourquoi, à Paris, la municipalité entend « réguler » et « encadrer » le déploiement de ces bicyclettes bon marché.

Depuis plusieurs semaines, la mairie travaille sur un projet de redevance de l’occupation du domaine public. « Les recettes serviraient à développer des aires de stationnement » en nombre encore insuffisant, explique Christophe Najdovski, adjoint aux transports, qui précise que son « tarif est en cours d’évaluation ».

Autre solution défendue par la Ville, l’instauration d’une licence qui permettrait de « limiter le nombre de vélos en circulation », et d’établir « un cahier des charges », plaide M. Najdovski, qui précise que « la demande a été faite auprès du gouvernement dans le cadre de la loi sur la mobilité, qui sera discutée au printemps prochain ».

Système à points

Cette autorisation d’exploitation permettrait également d’inscrire, dit-il, « une clause sur le développement durable » pour éviter « l’arrivée massive de vélos dégradés, comme c’est le cas dans certaines villes asiatiques ». La mairie a, par ailleurs, demandé aux acteurs du marché, réunis en novembre, d’adopter une charte de bonne conduite.

Pour oBike, « premier opérateur européen », né à Singapour, la redevance est un « sujet large et compliqué », mais « pourquoi pas, si elle fait l’objet d’une loi, et si son montant n’est pas de nature à tuer un système et un service dont l’utilisateur a besoin », prévient Alban Sayag.

Laurent Kennel, directeur général en France du groupe chinois Ofo, déjà actif dans deux cents villes à travers le monde et déployé depuis décembre à Paris, se dit pour sa part « réservé », et attend d’en discuter avec la mairie « pour savoir précisément de quoi il s’agit ».

En attendant, les entreprises veulent obliger leurs utilisateurs à « se responsabiliser ». Ainsi, au moment de son inscription sur l’application oBike, chaque usager détient un crédit de 100 points qu’il peut perdre lorsque, par exemple, il ne gare pas son vélo sur les aires de stationnement. Dans ce cas, la personne peut voir le tarif du service augmenter. Ofo a également mis en place un système de points, mais « sans punition financière », relève M. Kennel.

Gobee. bike abandonne Lille, Reims et Bruxelles

Depuis leur déploiement en France et en Europe, certaines entreprises de free-floating ont essuyé quelques déboires, voire quelques échecs. Ainsi, l’arrivée massive de 1 000 vélos oBike, en octobre, à Zurich (Suisse), a suscité des réactions de rejet de la part des habitants. Résultat, un bon nombre des bicyclettes déployées ont été noyées dans la rivière Limmat.

« C’était une erreur de vouloir se déployer trop rapidement, trop massivement », concède le directeur général d’oBike, qui assure que le problème s’est « estompé » après une réduction du nombre de vélos en circulation.

Mardi 9 janvier, c’était au tour de Gobee. bike d’annoncer son départ de Lille, de Reims et de Bruxelles, trois mois après son déploiement en France. Dans un communiqué, envoyé à ses clients, la start-up explique ce choix par le nombre trop important d’engins vandalisés et volés.

« Nous avons dû affronter la triste réalité que notre vision de la mobilité n’était pas partagée par une minorité déterminée à nuire, et nous ne pouvons plus supporter ni le coût financier ni le coût moral des réparations. »

Cette annonce ne décourage pas pour autant des concurrents comme Ofo, qui a décidé de s’implanter « très progressivement ».

14 janvier 2018

Miles Aldridge

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14 janvier 2018

Maison de la Culture du Japon - Exposition - derniers jours

La Maison de la culture du Japon de Paris fête ses 20 ans ! Elle saisit cette occasion pour rappeler l’importance des liens franco-japonais en présentant une nouvelle exposition intitulée « A l’aube du Japonisme ». Elle réunit des pièces inédites en France magnifiant la culture nippone et montrant sa connaissance du monde occidental, intégré à ses œuvres. Kimonos chatoyants, estampes, livres illustrés par Hokusai, mais aussi maquettes architecturales de maisons traditionnelles, photographies et peintures sont au rendez-vous.

To celebrate his 20th birthday, The Maison de la culture du Japon remind us the importance of Franco-Japanese ties by presenting a new exhibition entitled "A l’aube du Japonisme".

MAISON DE LA CULTURE DU JAPON

Jusqu’au 20 janvier 2018

101, quai Branly, 75015 Paris

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Photos : Jacques Snap

Pour son 20e anniversaire, la Maison de la culture du Japon à Psrls évoque les premiers rapports du Japon avec la France au XiX8 à l'aube du japonisme à travers de nombreuses pièces : modèles de HAASsons japonaises, objets en laque, nacre ou céramique, livres, pei?ïte?®s et estampes. Cette exposition est aussi l'occasion de présenter les s'mbassades japonaises sous le Second Empire et l'époque où les artistes français découvrent avec admiration le chatoiement des kimonos, Ees vives couleurs des estampes des années 1840-1865 et le naturalisme des livres illustrés de Hokusai et ses contemporains.

À l'époque des shoguns Tokugawa installés à Edo, ancien nom de Tokyo, le commerce se faisait par (Intermédiaire des Hollandais et des Chinois depuis ieurs comptoirs de Nagasaki. Lors de leur retour en Europe, les responsables du comptoir hollandais rapportaient des collections japonaises, tandis que les Français qui se rendaient en Chine pouvaient y acquérir des objets japonais. Le Japon ferme était moins coupé du monde qu'on ne l'imaginait et connaissait déjà diverses choses de la France, notamment les événements de la Révolution et de ('Empire. Après la signature du traité de commerce et d'amitié entre le Japon et la France en 1858, le commerce s'intensifia. Le Japon participa officiellement pour la première fois à une Exposition universelle, celle de 1867 à Paris, à l'occasion de laquelle le jeune prince Tokugawa Akitake visita la France, à la veille de la chute du régime shogunal et de l'instauration de Meiji qui transforma radicalement le

Japon. L'exposition se propose de montrer des objets - souvent inédits -conservés en France, qui illustrent la connaissance que les Japonais avaient des Français : des médaillons en laque noir et or d'après des gravures transmises par les Hollandais, mais aussi des peintures de Hokusai offertes à la Bibliothèque nationale de France par le fils du capitaine du comptoir de Deshima, Sturler, qui quitta le Japon en 1826. Un large choix en est présenté pour la première fois à Paris montrant la familiarité de Hokusai avec la perspective occidentale.

Des objets japonais, laques, céramiques, maquettes de maisons, qui étaient en vente à Paris dès 1840, sont également présentés, de même que des pièces japonaises collectées par les membres de la mission française lors de la signature du traité de 1844 avec la Chine, et qu'une remarquable vue de Deshima, en laque et nacre, offerte au musée de la Marine par Delprat, le premier Français travaillant pour les Hollandais au Japon entre 1845 et 1849.

La collection du baron de Chassiron, membre de fambassade française au Japon de 1858, les photographies faites à Paris des membres des ambassades japonajses de 1862 et 1864, des porcelaines, des albums d'estampes, des livres illustres présentés à l'Exposition universelle de 1867 montrent comment, en peu données, slnstalle un réel engouement pour l'art japonais qui prend bientôt le nomdejaponisme.

Commissaire : Geneviève Lacambre,

Conservateur général honoraire du patrimoine

14 janvier 2018

Rankin

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