BARBIE en vrai !

Si nous avons toutes rêvé au moins une fois de ressembler à Barbie (Elizabeth Hurley la première) lorsque nous étions enfants, Valeria Lukyanova a quant à elle réalisé son souhait et rivalise désormais avec la célèbre poupée mannequin. Un véritable phénomène qui envahit internet depuis que la jeune fille s'est lancée dans une large opération d'autopromo sur les réseaux sociaux. Une chevelure blonde, des courbes en plastique et un regard sur-réel, cette créature fascine autant qu'elle dérange. Décryptage de cette poupée vivante qui vient grossir les rangs des frappées de la mode. Wannabe Barbie donc cette Ukrainienne vivant à Odessa, Valeria Lukyanova donne à la chirurgie esthétique une toute autre dimension. Refaite d'à peu près partout bien qu'elle revendique effrontément le contraire, la jeune femme fait des ravages sur la toile depuis avril dernier, date à laquelle le site Jezebel a dévoilé l'existence de la créature. Cotes en moins, nez affiné, yeux agrandi et lentilles bleues, poitrine gonflée, extensions de cheveux et on en passe, à seulement 21 ans elle peut revendiquer un certain record. Et si les transformations sont incontestablement physique, on imagine bien que Photoshop a dû jouer un certain rôle dans l'image que la jeune femme tente de vendre en photo. Fan d'astrologie et de méditation, elle est plutôt du genre Barbie new age et semble sortie d'un dessin animé façon Sailor Moon. Bindi sur le front et poses éthérées façon trentième degré de lévitation, c'est sûr la demoiselle plane. Mais moins que l'on croit tout de même. Car si elle a le corps de Barbie, elle a en tout cas un cerveau qui semble plutôt bien fonctionner. Diplômée d'architecture et de construction d'état, l'Ukrainienne a en tout cas compris comment faire parler d'elle et comment faire sa pub. Le magazine V a ainsi mordu à l'hameçon et offert à cette poupée humaine une série photos dans son dernier numéro. Effrayante pour certains, fascinante pour d'autres, cette poupée vivante n'est pourtant pas la seule, car le phénomène à ses adeptes, mais elle reste en tout cas la plus médiatisée.