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Jours tranquilles à Paris
17 février 2017

LAB 14 - derniers jours...

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LAB 14 140 boulevard Montparnasse 75014 Paris ACCÈS metro4 : Vavin Bus 91 : Arrêt Campagne première Gare Montparnasse OUVERTURE AU PUBLIC JUSQU'AU 26/02/2017 Horaires : Du Mercredi au Dimanche de 13h à 20h Fermeture billetterie 19h30 du mercredi au dimanche Nocturne jeudi et samedi 22h FERMETURE LE LUNDI ET MARDI Visites guidées : Sans inscriptions, se présenter à l’accueil 5-10 min avant. Tarif unique : 2 € Possibilité de grignoter sur place. Performances, concerts, apéro mix, table ronde, librairie, espace jeux, goodies… ARTANA EVENT Hanna Ouaziz 06.30.79.79.09 contact@artana-event.com

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17 février 2017

Kamel Mennour et Anish Kapoor

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17 février 2017

Emmanuel Macron

• Emmanuel Macron qualifie la colonisation de «crime contre l’humanité». Aussitôt, la droite et le FN lui tombent dessus à bras raccourcis pour dénoncer «cette détestation de notre histoire», «cette repentance permanente». En fait, Macron ajoute dans le même entretien en Algérie : «Mais en même temps, je ne veux pas qu’on tombe, tout en reconnaissant ce crime, dans la culture de la culpabilisation sur laquelle on ne construit rien.» De l’art difficile de la synthèse… Pour qui considère d’un œil froid l’histoire algérienne, difficile de ne pas qualifier de «crime contre l’humanité» les «enfumades» commandées par le général Cavaignac ou le général Bugeaud lors de la conquête, et qui consistaient à asphyxier avec de grands feux de bois des centaines – voire des milliers –d’autochtones, hommes femmes et enfants, réfugiés dans des grottes. De même, la féroce répression qui a suivi les émeutes de Sétif en 1945, totalement disproportionnée, avait pour objet de répandre une terreur punitive et dissuasive sur la population civile algérienne, qu’elle ait ou non participé aux troubles du 8 mai. Longtemps occultées, les horreurs de la «pacification» coloniale glacent rétrospectivement le sang. Ce qui n’implique pas qu’on absolve les méthodes cruelles employées par le FLN contre les civils français, contre les harkis, ou contre les sympathisants du MNA, l’autre branche du nationalisme algérien.

17 février 2017

Réflexion

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17 février 2017

Bacchanales

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17 février 2017

« C'était le rêve de Donald, pas celui de Mela­nia »

Mela­nia Trump « dépri­mée », elle vit très mal son rôle de Première dame

Bien à l’abri derrière les murs de la Trump Tower, Mela­nia Trump tente de s’ha­bi­tuer à son nouveau rôle de First Lady, mais elle aurait préféré mener une autre vie.

Depuis que son époux est offi­ciel­le­ment devenu président des États-Unis, les ennuis de Mela­nia Trump vont crois­sant. Le top model jusqu’ici habi­tué au monde consen­suel de la mode fait désor­mais face à des diffi­cul­tés dont elle n’avait même pas idée. Des mannequins comme Gigi Hadid se moquent d’elle sur scène, des créa­teurs de mode comme Tom Ford refusent de lui four­nir des vête­ments pour ses appa­ri­tions offi­cielles et son nouveau statut lui a fait rater des millions de dollars en contrats juteux.

Contrai­re­ment à la tradi­tion qui veut que la First Lady occupe la Maison-Blanche avec son époux, Mela­nia Trump a en outre décidé de rester à New York jusqu’à la fin de l’an­née scolaire, au motif qu’elle ne veut pas bous­cu­ler outre mesure le quoti­dien de Barron, le garçon de 10 ans qu’elle a eu avec Donald Trump. Loin de Washing­ton, elle doit faire face aux critiques depuis la Trump Tower, ce qui lui a valu d’être dépeinte comme la « prin­cesse Raiponce prise au piège » dans sa tour par l’hu­mo­riste et anima­teur Jimmy Kimmel.

Autant d’épreuves et de critiques qui rendent très diffi­cile ses premiers pas de First Lady. Pour le styliste Phil­lip Bloch, un proche de la famille Trump, Mela­nia rame à fond les ballons, comme on dit : « Cette vie-là, ce n’était pas son rêve, c’était celui de Donald », a-t-il expliqué au maga­zine Us Weekly. D’après la publi­ca­tion, elle était « horri­fiée » de décou­vrir à quel point tout le monde se moquait d’elle, et démo­ra­li­sée quand elle a appris que le monde de la mode lui tour­nait désor­mais le dos. Elle serait « malheu­reuse du tour­nant que prend sa vie » et tota­le­ment « dépri­mée ». Ce qui explique­rait pourquoi elle appa­raît si rare­ment en public, alors que Michelle Obama avait accueilli des citoyens à la Maison-Blanche dès la première semaine, et orga­nisé une fête pour rencon­trer le person­nel de l’ins­ti­tu­tion.

Un proche de la famille a assuré à Us Weekly que même son fils Barron ne parvient pas à faire sortir Mela­nia Trump de leur appar­te­ment. Elle l’ac­com­pa­gnait elle-même à l’école – dans une voiture avec chauf­feur, hein – mais depuis que des mani­fes­tants protestent devant la Trump Tower, elle a laissé cette tâche aux services secrets. Quand elle quitte le bâti­ment, c’est qu’on lui a (un peu) forcé la main. Des appa­ri­tions offi­cielles où elle est atten­due auprès de Donald Trump, par exemple. Mais quand il a été ques­tion d’ac­cueillir à Washing­ton Akie Abe, l’épouse du Premier ministre japo­nais, Mela­nia Trump était aux abon­nées absentes. La digni­taire nippone n’en était pas à sa première visite aux États-Unis, mais elle avait pu comp­ter sur Laura Bush puis Michelle Obama pour l’ac­com­pa­gner autre­fois.

L’épouse de Donald Trump n’a montré son minois que lorsque le président améri­cain s’est rendu avec ses hôtes en Floride. Là, Mela­nia Trump a affi­ché un sourire écla­tant devant les photo­graphes, mais une source d’Us Weekly est persua­dée qu’elle a « détesté » chaque seconde de cet événe­ment. Du côté de la First Lady, on assure « qu’elle est très heureuse et qu’elle apporte tout son soutien à son époux et à sa famille ». Oui, mais si possible, de loin, depuis sa chambre dans sa tour.

16 février 2017

Rue de Verneuil....

16 février 2017

Accusé de viol, Roman Polanski veut retourner aux Etats-Unis pour clore l'affaire, annonce son avocat

L'avocat de Roman Polanski a annoncé, jeudi 16 février, que le cinéaste souhaitait retourner aux Etats-Unis pour clore l'affaire de viol dans laquelle il est poursuivi. Harland Braun a précisé que le réalisateur avait posé une condition : avoir la garantie qu'il ne serait pas incarcéré une fois là-bas. Le réalisateur de Tess, du Pianiste ou de Rosemary's Baby, qui a reçu de nombreux prix à travers le monde, est toujours inquiété par la justice américaine pour le viol présumé d'une mineure en 1977. Le 21 janvier, Roman Polanski a renoncé à présider les César après le tollé suscité par sa désignation.

16 février 2017

Vu sur internet - j'aime bien

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dibvers (2)

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16 février 2017

"Don Sarkozy", le parrain de la droite

Par Françoise Fressoz

La visite de François Fillon à l’ancien président, mercredi, est un signe de la place centrale que Sarkozy conserve au sein de son camp, malgré sa défaite à la primaire.

On comprend mieux, après coup, pourquoi Nicolas Sarkozy soigne autant ses sorties de scène : même vaincu, il est indestructible. Par deux fois, l’ancien président de la République a tiré sa révérence devant les Français pour aussitôt renaître de ses cendres. Non comme le phénix, mais comme le parrain. Le parrain de la droite.

A 62 ans, l’ancien trublion de son camp, qui aimait tant prendre la lumière, est devenu « Don Sarkozy », le chef du clan, l’homme de l’ombre qui fait régner l’ordre, celui qui assure l’unité de la famille, celui à qui l’on vient baiser la babouche derrière le lourd portail rouge de la rue de Miromesnil (Paris 8e) où il a installé ses bureaux, à quelques encablures de l’Elysée.

Dans ce nouveau rôle, nul besoin de photos ni de storytelling pour entretenir la légende. Tout est dans le subliminal. Et le subliminal était à son zénith, mercredi 15 février, lorsque, peu avant 13 heures, la voiture noire de François Fillon a franchi le portail rouge menant aux bureaux de Nicolas Sarkozy.

Peu importe ce qui s’est réellement joué derrière les lourds battants entre le candidat perclus et le retraité heureux qui rentrait tout juste d’un séjour familial aux Maldives. Il suffisait de savoir que l’ancien « collaborateur » avait sollicité le déjeuner pour comprendre qu’au plus mal dans la campagne, le candidat de la droite et du centre à la présidentielle était venu se mettre sous la protection du « parrain » qu’il croyait pourtant avoir éliminé trois mois plus tôt.

Fillon, un exécutant

Tout le drame de François Fillon est là : en ratant son émancipation – qu’il avait voulu conduire comme une opération « mains propres », avec allusion explicite aux affaires qui collent au basque de Nicolas Sarkozy –, l’ancien premier ministre s’est remis, et avec lui toute la droite, sous la coupe de son ancien mentor, qui ne l’a jamais pris pour autre chose qu’un exécutant.

Quelques heures après le déjeuner, François Fillon, en déplacement à Compiègne, annonçait, en pleine crise des banlieues, qu’il entendait abaisser la majorité pénale à 16 ans s’il était élu président de la République. La proposition figurait dans le projet de Nicolas Sarkozy, pas dans le sien.

Mais comme l’a justement fait remarquer Jean-Pierre Raffarin sur BFM-TV, il s’était rendu rue de Miromesnil pour « demander l’union », et il fallait bien que le dû soit payé. Gageons que ce ne sera pas le seul.

Les Français ne l’aiment plus, la droite le craint

Ce n’est pas la première fois que Nicolas Sarkozy, officiellement vaincu, impose ainsi sa force. En 2012, déjà, juste après sa défaite à la présidentielle, il avait suivi de près l’affrontement entre François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP, attisant autant qu’il pouvait la braise dans l’espoir de rester l’homme incontournable de la droite.

Deux ans plus tard, il redevenait patron de l’UMP avant de se faire éliminer de la campagne présidentielle, à la faveur d’une primaire dont il ne voulait pas. Les Français ne l’aiment plus, c’est un fait, mais la droite continue de le craindre ou de l’admirer – c’est selon –, en raison de son charisme, de ses réseaux, de ses fidèles, mais aussi de sa niaque, qui semble inépuisable. Si bien que lorsque la survie de la famille est en jeu, c’est vers lui qu’on se tourne. Aux risques et périls du demandeur.

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C’était hier

• Vito Sarkoleone a donc adoubé Michael Fillon au cours d’un déjeuner avec armes au vestiaire. Le parrain retiré de la droite française joue l’intérêt de la famille contre les rancœurs personnelles. Fillon ravale sa fierté pour sauver l’unité du clan. Contre Solozzo-Le Pen et Barzini-Macron, il faut serrer les rangs avant d’aller «to the mattresses» (à la guerre, dans le jargon). Comme le dit une autre réplique culte du film de Coppola : «It’s not personal. Strictly business.»

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