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Jours tranquilles à Paris
3 février 2020

Toiletpaper

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2 février 2020

La famille Ghosn en voyage...

famille ghosn

2 février 2020

Free Nipple - ça c'est explosif !

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2 février 2020

Vu dans la rue...

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2 février 2020

Désormais il y a des trottinettes multicolores dans les rues de Paris - photo prise rue des Volontaires - Paris 15ème

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1 février 2020

Fanny Müller

fanny64

1 février 2020

Festival d’Angoulême

tshirt

Festival d’Angoulême : « La BD est une caisse de résonance pour le monde qui nous entoure », réagit le dessinateur Jul après la photo polémique avec Macron

INTERVIEW Le président Emmanuel Macron a été photographié jeudi au festival de la BD d’Angoulême avec un t-shirt dénonçant les violences policières, offerte par le dessinateur Jul

Propos recueillis par Mathilde Loire

C’est la photo polémique du moment. Un cliché d' Emmanuel Macron, souriant, qui pose avec un t-shirt dénonçant les violences policières aux côtés du dessinateur Jul, pendant le Festival international de la BD (FIBD), occupait les conversations ce jeudi, à Angoulême et sur les réseaux sociaux.

Le président de la République rencontrait pour l’ouverture du festival des personnalités de la BD, artistes et éditeurs. A l’issue de la rencontre, Jul, auteur de Silex and the city et 50 nuances de Grecs, a offert au chef de l’Etat ce t-shirt customisé. Il représente la mascotte du festival, le Fauve créé par Lewis Trondheim, éborgné, avec la mention « LBD 2020 ». Une référence à l’acronyme de l’année de la BD, BD 2020, et au lanceur de balles de défense (LBD), critiqué pour les blessures graves qu’il provoque sur des manifestants. Le dessinateur est revenu pour 20 Minutes sur les coulisses de ce moment.

Quel est le contexte de cette photo ?

Au cours du déjeuner avec le président, nous avons beaucoup débattu. Nous avons parlé de la question des auteurs, pour se féliciter des avancées du rapport Racine, et du volontarisme qu’il pouvait y avoir du côté des pouvoirs publics pour améliorer la situation et la précarité des auteurs. A côté de ça, on a un peu élargi le débat aux questions d’actualité. Nous avons parlé d’environnement, et d’immobilité des pouvoirs publics sur les questions de biodiversité, de respect des traités, de limitation des pesticides… Ça a été un grand sujet, un peu enflammé, autour de la table, avec les personnes présentes. A la fin, on a évoqué cette question des violences policières en disant : « Ce n’est pas possible qu’il y ait une telle brutalité dans un Etat de droit, ça ne s’est jamais vu ». Le président Macron n’était pas d’accord, il disait qu’il récusait le terme de « violences policières ». Mais il a écouté malgré tout.

Pourquoi avoir choisi de lui montrer ce t-shirt à l’issue du déjeuner ?

Cette blague sur « LBD » et « BD 2020 », je l’avais déjà faite il y a quelques semaines au lancement au ministère de la Culture. « BD 2020 » est un événement, une célébration de la bande dessinée, mais nous ne sommes pas hors-sol : on tient compte de tout ce qu’il se passe autour de nous. C’était une manière de dire que la vitalité, la créativité, le foisonnement de la BD française, existent aussi parce que c’est une caisse de résonance pour le monde qui nous entoure. Et que les auteurs de BD sont ultrasensibles à ce qu’il se passe, que ça nourrit notre œuvre. Moi, en tant que dessinateur satirique, un peu politique, c’est quelque chose qui m’importe.

J’ai donc imprimé ce petit dessin, qui est un détournement de la mascotte d’Angoulême qu’a fait un collectif d’auteurs. Je me suis dit que c’était marrant d’avoir un t-shirt pour transmettre cette parole-là. Il y avait un côté polissonnerie, mais c’était important de parler de ça. Et j’étais content de pouvoir le faire, parce qu’on est dans une démocratie. Un président de la République peut écouter des auteurs, même s’ils ne sont pas d’accord avec lui.

Beaucoup de gens ont été surpris du sourire du président sur la photo, sur un sujet si sérieux…

C’est vrai que l’image est insolite, qu’elle m’a surprise. Au moment où je lui ai donné ce t-shirt « souvenir » de cet échange, il y a eu cette photo faite, sur laquelle il pose à côté du t-shirt. C’est extrêmement lunaire ! Je lui ai demandé à deux reprises « Vous êtes sûr que vous voulez faire cette photo ? » – « Oui, oui, oui, pas de problème ! ». C’est finalement ça qui est le plus étonnant. Mais sinon, il est dans son rôle.

Par la suite il s’est justifié en disant : « Oui, c’est la liberté d’expression, c’est quelque chose sur laquelle on doit être intransigeant, on peut ne pas être d’accord, on peut être critiqué ». Et je lui sais gré d’affirmer cette position qui est la position républicaine française des présidents avant lui, mais important de sa part, dans le cadre hystérisé qui est le nôtre aujourd’hui. Pour moi, c’était très sain d’avoir ce débat-là.

Est-ce que vous vous attendiez à ce que cette photo prenne une telle proportion ?

Ce qui est drôle c’est la façon dont un tel épiphénomène devient une espèce d’affaire nationale. C’est toujours la magie des médias ! Quand j’ai donné le t-shirt, le président a ri, mais sans souscrire au message porté par ce dessin. Il a vu que c’était une manière créative et éditorialisée de faire part d’un désaccord. Et ça change des cocktails molotov… On restait dans la sphère du débat démocratique et de la création artistique, mais on ne sait pas à notre époque les proportions que le numérique peut engendrer !

1 février 2020

Keith Haring

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1 février 2020

Megxit - Wallis Simpson, un exemple pour Meghan Markle ?

wallis

THE DAILY TELEGRAPH (LONDRES)

1936-1972 — Royaume-Uni. Première “duchesse américaine” de la monarchie britannique, elle a menacé le trône et la famille royale en causant l’abdication du roi Édouard VIII.

Quand ils se sont mariés en mai 2018, les Sussex ont voulu croire qu’ils seraient heureux pour le restant de leurs jours. Il y avait de quoi se réjouir à l’idée que le prince Harry avait trouvé l’amour de sa vie et, en tant que nation, nous étions tous derrière ce jeune couple séduisant. Moins de deux ans plus tard, nous sommes confrontés à la terrible nouvelle. Harry et Meghan ne feront plus vraiment partie de la famille royale, et ils vivront pour l’essentiel au Canada.

La rumeur veut que cette abdication partielle soit due à Meghan. Meghan la “progressiste”, qui répugne à se cantonner dans un rôle officiel, certes, mais qui en retrait semble bien décidée à vouloir le beurre et l’argent du beurre. Elle veut vivre un mariage moderne tout en gardant son royal époux, à ses conditions et sur son terrain, puisqu’elle a déjà résidé à Toronto quand elle jouait dans Suits : avocats sur mesure. Mais si l’on se réfère à l’histoire, c’est maintenant que les difficultés vont commencer pour elle.

Quand Édouard VIII a abdiqué, en 1936, pour épouser Wallis Simpson, jamais il n’a pris le temps de se demander quelles seraient les conséquences émotionnelles de sa décision pour son épouse. Plus clairvoyante que lui, Wallis – qui aurait fondu en larmes à la première mention d’une abdication – sentait qu’on lui reprocherait éternellement d’avoir privé de son trône un monarque populaire et d’avoir failli détruire la monarchie. Leur relation, qui avait débuté comme un coup de foudre pour l’ancien souverain, s’est muée en un pacte faustien pour son épouse.

Un mariage sous le sceau de la culpabilité

Meghan devrait étudier le cas de Wallis, la première duchesse américaine avant elle, pour comprendre qu’une fois que le réseau de soutien royal qui entoure Harry aura disparu, c’est à elle qu’il reviendra d’endosser un nouveau rôle. Soudain, sans sa famille, sans la liste de ses obligations royales, tout ce qui a donné une structure et un sens à sa vie, Harry, pour avoir le sentiment d’exister, aura besoin de toute l’attention de sa femme. Elle croulera sous les propositions alléchantes, ce qui ne sera sans doute pas le cas pour lui. À elle de veiller à ce que le sacrifice monumental auquel il a consenti ne soit pas vain. Ce qui risque de s’avérer pesant, comme Wallis en a fait l’expérience en son temps.

Le mariage de Wallis et Édouard est resté sous le sceau de la culpabilité. Lui avait fait d’elle la femme la plus détestée de la planète. Quant à elle, elle se sentait responsable de l’avoir arraché à son pays. Leur mariage leur a alors servi à compenser. Leur union se devait de fonctionner. Ils ne pouvaient se permettre de gâcher un sacrifice de proportions aussi phénoménales.

“Personne à qui parler”

C’est une fois installé à Paris que le couple s’est aperçu que le duc n’avait rien à faire. Il rêvait d’un emploi rémunéré, car l’oisiveté était pour lui mère d’anxiété, lui laissant le temps de ressasser sa rancœur vis-à-vis de sa famille. Wallis s’efforçait de l’occuper autant que possible, mais ni l’un ni l’autre ne s’étaient attendus à mener une existence anonyme.

En France, Wallis a immédiatement su s’inventer une nouvelle vie. Le duc, lui, se contentait d’errer dans son sillage. Le soir, elle rentrait chez elle pour prendre des cours de français, langue qu’elle tenait à apprendre, contrairement au duc, qui n’a jamais cherché à en prononcer un seul mot. Au lieu de cela, il geignait, se plaignait que, pendant que la duchesse prenait ses cours, il n’avait “personne à qui parler”. Chaque jour, le duc trouvait un programme préparé pour lui, posé sur la table dans le hall d’entrée. De façon assez pathétique, tout y était inscrit en détails, des invités que le couple attendait pour déjeuner à l’heure de la leçon de golf d’Édouard. “Rien de tout cela n’était important, racontait Diana Mosley*, une amie du couple, mais toute sa vie, il avait été habitué à suivre un programme, et sagement la duchesse veillait à lui en fournir un.”

Désoeuvrement et dépenses farfelues

La duchesse devait ainsi protéger son époux des aspects les plus prosaïques du quotidien. Comme tous les membres de la famille royale, il n’avait jamais eu de liquide sur lui, aussi gérait-elle tous les paiements du couple et le côté pratique de leur union. Elle freinait sa tendance à dépenser sans compter, pour acheter aussi bien des bouteilles Thermos que des boîtes de thermomètres. L’ancien roi fonctionnait encore comme s’il possédait de multiples châteaux.

Comparativement, Meghan peut s’estimer heureuse – même s’il semble qu’elle n’en soit pas pleinement consciente. Car la famille royale a fait de son mieux pour l’accueillir en son sein. Wallis, elle, avait été rejetée par sa belle famille, non seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier. Ce qui ne l’avait pas empêché de tenter de rentrer en contact avec Buckingham, et plus particulièrement avec sa belle-mère. En 1942, elle avait adressé une lettre à la reine mère Marie où elle déclarait :

“J’ai toujours été peinée et ai toujours regretté d’avoir été la cause de la séparation entre une mère et son fils, et je ne peux m’empêcher de me dire qu’il doit y avoir des moments, peut-être, aussi fugaces soient-ils, où vous vous demandez comment il se porte.”

La missive est restée à tout jamais sans réponse.

_________________

*Diana Mosley (1910-2003), épouse d’Oswald Mosley, fondateur de la British Union of Fascists, parti interdit en 1940. Les Mosley fréquentaient de hauts dignitaires nazis. Le duc et la duchesse de Windsor, connus pour leurs sympathies nazies, ont rencontré Hitler en 1937.

Anna Pasternak

Cet article a été publié dans sa version originale le 18/01/2020.

Source

The Daily Telegraph

LONDRES http://www.telegraph.co.uk

Atlantiste et antieuropéen sur le fond, pugnace et engagé sur la forme, c'est le grand journal conservateur de référence. Fondé en 1855, il est le dernier des quotidiens de qualité à ne pas avoir abandonné le grand format.

Son agenda est très prisé, en raison notamment du Court Circular qui présente tous les jours les activités de la famille royale. Un autre rendez-vous très attendu est le petit dessin de Matt, toujours élégant et drôle, publié en première page. Détenu jusqu'au début de 2004 par le magnat de la presse Conrad Black, le titre est désormais propriété des frères milliardaires David et Frederick Barclay.

C'est le premier quotidien britannique à avoir ouvert un site en 1994, lequel est, de l'avis général, l'un des plus complets du monde anglo-saxon. Très interactif, il met en ligne l'ensemble du contenu du quotidien et, à la fin de chaque article, il propose des renvois vers d'autres liens.

1 février 2020

Technologie - Le Parlement européen veut imposer le “chargeur unique” pour smartphone

chargeur unique telephonie

COURRIER INTERNATIONAL (PARIS)

Ce jeudi 30 janvier, le Parlement européen a voté une résolution demandant à la Commission de prendre des mesures pour qu’un modèle de chargeur unique pour téléphones portables soit adopté dans toute l’Union européenne. Voilà qui déplaît à la multinationale Apple.

Lorsqu’on n’a plus de batterie sur son smartphone, il est parfois compliqué de trouver une personne qui puisse vous “dépanner”. En effet, remarque le quotidien britannique The Financial Times, il existe actuellement en Europe “trois principaux types de ports USB pour les portables, l’USB 2.0, l’USB-C et le connecteur spécifique d’Apple, appelé le Lightning charger”. Ainsi, il n’est pas toujours facile de trouver le chargeur adapté, mais tout cela pourrait bientôt changer.

En effet, comme l’explique le site de la chaîne américaine CNN :

Ce jeudi 30 janvier, le Parlement européen a approuvé une résolution demandant à la Commission d’obliger au plus vite les fabricants de téléphones à utiliser un type de chargeur unique. La résolution invite également les décideurs politiques européens à explorer les moyens d’augmenter le nombre de câbles et de chargeurs recyclables et à garantir que les clients ne soient pas tenus d’acheter un chargeur avec chaque nouvel appareil.”

”Une initiative perturbatrice pour les clients”

Cette résolution n’est pas contraignante, mais selon les informations du Finacial Times, “Bruxelles présentera des mesures spécifiques dans les derniers mois de cette année 2020”.

Néanmoins, l’exécutif de l’UE devra combattre contre un “ennemi” très puissant pour faire approuver son “chargeur unique”. En effet, déjà en 2019, face à l’hypothèse d’une réglementation de ce type, la multinationale Apple avait manifesté sa forte opposition. Ainsi rappelle The Finacial Times, Apple avait déclaré qu’ “une telle initiative serait inutilement perturbatrice pour les clients et générerait des déchets supplémentaires à cause de l’abandon d’anciens chargeurs, et que, “les réglementations qui favoriseraient la conformité sur le type de connecteur gèlent l’innovation plutôt que de l’encourager”.

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