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Jours tranquilles à Paris
27 septembre 2019

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26 septembre 2019

Soulac-sur-Mer aux avant-postes de l’érosion côtière

Par Aurore Coulaud, envoyée spéciale à Soulac-sur-Mer (Gironde)

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L’immeuble le Signal, à Soulac-sur-Mer, risque de s’effondrer à cause de l’érosion de la dune artificielle sur laquelle il a été bâti. Photo Rodolphe Escher pour Libération 

Dans le village de Gironde, les habitants de l’immeuble le Signal sont les premiers naufragés climatiques en France. Construit dans les années 60 à 300 mètres de la mer et évacué en 2014, il ne se situe plus qu’à 20 mètres du rivage.

Soulac-sur-Mer aux avant-postes de l’érosion côtière

«Retrouvons-nous à Bordeaux. Soulac, ça fait remuer trop de souvenirs.» Jean-José Guichet, 85 ans, est l’un des naufragés du Signal, un immeuble symbole au nom évocateur bâti dans les années 60 dans cette commune située tout près de l’estuaire de la Gironde. L’immeuble de type HLM de 78 logements a été plantée sur une dune artificielle, à 300 mètres de la mer. Aujourd’hui, elle est à moins de 20 mètres. Sur les photos noir et blanc de l’octogénaire, jaunies par le temps, le grignotage de l’eau au fil des années est saisissant. Le vieux monsieur a fait l’acquisition d’un appartement en 1978 : «Nous étions au premier étage, on ne voyait même pas l’eau, seulement le sable.» Petit à petit, la vue a changé, dangereusement. Jean-José Guichet raconte : «Je suis allé voir Xavier Pintat, le maire actuel, et j’ai compris qu’on ne ferait rien pour nous.» Contacté par Libération, l’édile LR rétorque sèchement que «si on avait fait un enrochement devant le bâti, on prenait le risque de nuire frontalement au village et à la plage de Soulac». De quoi s’interroger : le Signal a-t-il été sacrifié pour des raisons de sécurité, esthétiques ou immobilières ?

Tout bascule entre fin 2013 et début 2014 : huit tempêtes hivernales, dont quatre extraordinaires, se succèdent. A force de lécher la dune, les vagues finissent par la creuser, le pied se fragilise. Un arrêté de péril est alors pris par la municipalité. Conséquence : en janvier 2014, tous les habitants doivent évacuer leur logement. Certains n’ont même pas le temps de déménager. «Personne ne nous a mis au courant des risques qu’on encourait», confirme Jean-José Guichet. Bien au fait de la situation, Vital Baude, conseiller régional Nouvelle-Aquitaine (EE-LV) délégué au littoral, résume : «A l’époque, la culture du risque n’était pas la même, on se croyait tout-puissant.» Sur place, il ne reste plus que le fantôme des vies passées mêlées au saccage des squatteurs. Des petites boîtes grises, ouvertes, sans fenêtre, empilées les unes sur les autres. La vision est captivante.

Précipice

Sur l’une des façades du bâtiment, un tag attire l’attention : «Même droit pour tous, injustice.» Référence probable à la bataille judiciaire engagée en 2015 par les propriétaires du Signal pour obtenir réparation. Tribunaux administratifs, Conseil d’Etat, Conseil constitutionnel… Toutes les procédures judiciaires, aux frais des propriétaires, vont échouer pendant quatre ans, la loi ne prévoyant pas d’indemnisation pour les victimes de l’érosion. Il faudra attendre la loi de finances 2019 pour que le vote in extremis d’un amendement prévoie enfin le dédommagement des ex-habitants de Signal. Toutefois, les parlementaires ont pris le soin de circonscrire la réparation pour ne pas créer de précédent - «Cette situation ne concerne à l’heure actuelle en France que l’immeuble Signal», peut-on lire dans l’exposé des motifs. Et les anciens habitants de l’HLM n’ont toujours pas vu la couleur des 7 millions d’euros promis, la date butoir de versement étant fixée au mois de décembre 2019. Entre-temps l’immeuble a été désamianté, de peur qu’il ne tombe sur la plage. On a compté : dix grands pas seulement le séparent encore du bord de la dune.

Vestiges du mur de l’Atlantique construit par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, les blockhaus de Soulac témoignent également de l’érosion chronique du secteur. Situés à l’époque loin devant le Signal, certains sont déjà noyés par les eaux. Plus bas, la villa Surprise face à la plage de l’Amélie est désormais au bord du précipice. Sur ce pan du littoral, la moyenne est de 5 à 10 mètres d’érosion par an. Aujourd’hui, seule une partie de l’érosion des côtes françaises est imputable au changement climatique mais cette tendance va s’accentuer, selon les conclusions du rapport du Giec.

Sur la côte aquitaine sableuse, des experts tablent sur un recul de 50 mètres en moyenne à l’horizon 2050 - et ce sans prendre en compte les aléas du dérèglement. Ingénieur chargé des risques côtiers au sein de l’Observatoire de la côte aquitaine, Nicolas Bernon explique : «Si l’élévation du niveau de la mer est entre + 10 et + 50 cm en 2050, on estime un recul potentiel de l’ordre de 20 mètres supplémentaires pour la même année, en plus du recul naturel.» Sur la base des projections de l’Observatoire, le GIP Littoral a traduit les conséquences de ce phénomène : si on venait à retirer les ouvrages existants, comme les enrochements et les digues, ou si on arrêtait de les entretenir, 5 800 logements seraient directement menacés dans trente ans en Gironde, dans les Landes et les Pyrénées-Atlantiques.

Court-termisme

Recomposer un espace territorial est plus facile à dire qu’à faire. Au-delà des enjeux politiques, les outils financiers et juridiques manquent. Rien que pour Soulac, village de 2 700 habitants, une relocalisation des biens les plus menacés est évaluée à 100 millions d’euros. Pour Lacanau, station balnéaire prisée des surfeurs située à 70 kilomètres au sud de Soulac où la construction en bord de mer a été gelée, la facture de relocalisation monterait à 300 millions. «On essaie déjà de sortir du tout-ouvrage, d’apporter des solutions douces de réensablement et d’initier des opérations de réacquisitions», explique Vincent Mazeiraud, chargé de mission à la communauté de communes Médoc Atlantique. A Soulac, onze bâtiments isolés ont déjà été rachetés par la commune, puis démolis pour permettre la renaturation. Pour l’heure, le village se prépare à affronter un nouvel hiver et de potentielles tempêtes. Du court-termisme qui se mêle aux incertitudes sur la montée du niveau de la mer, le changement des climats de houle et les régimes de tempêtes. Jean-José Guichet se souvient de l’époque où la nature semblait soumise : «On se connaissait tous, les gens se rendaient service, on était une grande famille. Mais la mariée était trop belle.»

26 septembre 2019

Ailona Hulahoop

ail

26 septembre 2019

L’alarme du GIEC sur un océan en surchauffe

climat

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Par Martine Valo

Le premier rapport des scientifiques consacré aux mers et aux glaces prévoit un monde marin plus chaud, dilaté, plus acide, en manque d’oxygène et moins peuplé.

Un monde marin plus chaud jusque dans les abysses, plus salé, moins riche en oxygène, plus acide, dépeuplé, qui se dilate et se gorge de glaces fondues. C’est ce qu’annonce le rapport spécial que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) consacre pour la première fois à l’océan et à la cryosphère (neige permanente, glaciers de montagne, calottes glaciaires, banquise, sols gelés).

Ce document, rendu public à Monaco, mercredi 25 septembre, est en réalité la chronique d’un immense bouleversement déjà à l’œuvre, avec son lot prévisible de catastrophes. L’incertitude porte sur l’intensité de ces dernières et la rapidité à laquelle elles vont survenir.

Non seulement les images de dévastation extrême, comme celles des îles des Bahamas après le déchaînement du cyclone Dorian, en septembre, risquent fort de devenir communes, mais c’est globalement un monde différent qui se dessine, avec des conditions environnementales inédites depuis des millions d’années ; d’autres paysages, d’autres modes de vie pour des millions d’humains et beaucoup d’autres espèces habitant la terre.

Urgence à agir

Les 104 auteurs, des scientifiques de trente-six pays qui ont référencé presque 7 000 publications dans ce document de plus de 800 pages, établissent le diagnostic implacable d’une planète en surchauffe.

Le résumé pour les décideurs constitue une alerte de plus au sujet de l’emballement climatique, mais à la hauteur d’un milieu qui représente 71 % de la superficie du globe, 90 % du volume de l’habitat disponible pour les organismes vivants et contient 97 % de l’eau sur terre. La montée du niveau des mers, la migration des poissons vers des zones plus tempérées ou le dégel du pergélisol (sol gelé en permanence) sont des faits déjà observés. Mais rassemblé et mis à jour, cet état des connaissances scientifiques ne laisse aucun doute sur l’urgence à agir.

« Au-delà de 2050, tout va dépendre de nos émissions de gaz à effet de serre [GES], prévient Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue et coprésidente du GIEC. Les réduire permettrait de gagner du temps pour nous adapter aux risques, dont certains, comme la montée du niveau des mers, sont inéluctables. »

Le rapport compare donc systématiquement les conséquences du scénario le moins alarmant établi en fonction de l’évolution des GES, mais aussi de la déforestation ou du type d’agriculture pratiqué, soit une élévation de la température moyenne de l’atmosphère de 1,6 °C par rapport à l’ère préindustrielle (scénario RCP2.6), ou du scénario censé aboutir à 4,3 °C supplémentaires en moyenne (RCP8.5), soit l’évolution actuelle, sans politique contraignante sur les émissions.

Encore ces prévisions apparaissent-elles sous-estimées, car selon les modélisations du climat les plus récentes livrées par des scientifiques français, le 17 septembre, il faudrait ajouter jusqu’à 1 °C de réchauffement aux modèles actuels.

Au cœur du système climatique

L’océan, qui produit au moins la moitié de notre oxygène, redistribue d’énormes quantités de chaleur grâce aux courants qui le traversent et capte 20 % à 30 % du dioxyde de carbone généré par les activités humaines.

« Il est pratiquement certain que l’océan mondial s’est réchauffé sans relâche depuis 1970 et qu’il a absorbé plus de 90 % de la chaleur excédentaire dans le système climatique », écrivent les rapporteurs. Autrement dit, sans lui, la température sur terre aurait déjà atteint des sommets. « Les prochaines estimations des scientifiques vont indiquer que l’océan absorbe 94 % de l’énergie interne à notre climat, ce qui dégage toujours plus de vapeur d’eau dans l’atmosphère, modifie le cycle des nuages, des précipitations, intensifie les sécheresses, les pluies diluviennes, explique Sabrina Speich, professeure d’océanographie et de sciences du climat à l’Ecole normale supérieure. L’augmentation de la chaleur est exponentielle… On va dans le mur ! Si l’on continue à envoyer autant de CO2 dans l’atmosphère, on peut s’attendre à des guerres pour l’eau, pour la surface habitable, qui va se réduire… »

De plus en plus chaud

Depuis 1993, le rythme de réchauffement de l’océan a plus que doublé par rapport aux vingt-cinq années précédentes. Entre 1971 et 2010, la couche des 75 premiers mètres a connu une augmentation moyenne de 0,11 °C par décennie. Dans les couches comprises entre 700 m et 2 000 m de profondeur, ce rythme a presque triplé. Il existe des disparités : en surface, l’océan Arctique se réchauffe deux fois plus vite que la moyenne mondiale.

Le rapport se penche sur les « canicules océaniques », responsables de la détérioration d’écosystèmes comme les forêts de kelp, ces grandes algues brunes qui abritent de nombreuses espèces. Ces vagues de chaleur se sont intensifiées et sont deux fois plus nombreuses depuis 1982.

L’océan est un milieu complexe, où varient les taux de salinité et les températures. Les scientifiques observent une « stratification » qui rend plus difficiles les échanges entre les eaux de surface, plus chargées en oxygène, et les couches plus profondes, riches en nutriments. Ces bouleversements entraînent une diminution de la biomasse, autrement dit des espèces vivantes, en particulier dans les régions tropicales.

Le déclin du potentiel de pêche va se poursuivre. Déjà, les pêcheurs européens remontent de plus en plus d’espèces tropicales dans leurs filets.

Le niveau moyen des eaux monte de plus en plus vite

Le GIEC a revu ses prévisions à la hausse. D’ici à la fin de ce siècle-ci, la montée pourrait atteindre au moins 0,59 mètre, selon le scénario le plus optimiste, et 1,10 m par rapport à la période 1986-2005, selon le scénario RCP8.5. En 2013, les experts donnaient une fourchette de 0,45 m à 0,82 m.

Cette hausse du niveau moyen va accentuer les inondations, l’érosion des côtes, la pénétration du sel dans les nappes souterraines d’eau douce… Elle va surtout avoir un effet aggravant redoutable lors des cyclones. Toujours selon cette trajectoire, des événements extrêmes qui surviennent tous les cent ans pourraient devenir annuels. L’océan pourrait gagner plusieurs centimètres par an au XXIIe siècle, sous l’effet de sa dilatation et davantage encore de la fonte des calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland plus rapide que prévu, et grimperait ainsi de plusieurs mètres.

Qui est concerné ?

Mégapoles ou communautés villageoises vont être frappées de plein fouet dès lors qu’elles se situent près de la mer. Aujourd’hui, 680 millions de personnes résident dans des régions situées à moins de 10 mètres d’altitude et elles seront probablement au moins un milliard en 2050. Tandis que 4 millions d’habitants de l’Arctique sont déjà confrontés à un environnement en pleine mutation. Enfin, 670 autres millions vivent dans des régions de haute montagne, à moins de 100 km de glaciers menacés de disparaître, les privant de leur précieuse ressource hydrique.

Même les régions du monde qui ne sont pas les plus directement menacées auront à essuyer des tempêtes plus violentes et ne resteront pas à l’abri des désordres climatiques.

Toutes ne sont pas confrontées à la même urgence. D’une part, le niveau des eaux s’élève à une vitesse qui peut varier par endroits de 30 % par rapport à la moyenne mondiale. D’autre part, les conséquences diffèrent selon la densité des populations sur les littoraux et des moyens qu’elles pourront déployer pour se protéger.

« Dans le résumé, pour les décideurs, nous n’avons pas retenu le chiffre de 280 millions de personnes déplacées à cause du réchauffement, car une seule étude arrivait à cette conclusion, rapporte Alexandre Magnan, chercheur en géographie humaine à l’Iddri, l’un des coauteurs du résumé pour les décideurs. Nous ne reprenons que des constats suffisamment documentés, car nous nous devons d’être solides pour dégager un consensus. »

Quatre types de géographies côtières ont été pris en compte dans l’évaluation des risques induite par la montée des eaux : les mégacités comme Shanghaï, New York ou Rotterdam ; les grands deltas agricoles : le Gange-Brahmapoutre, par exemple ; les îles urbanisées des atolls, Tuvalu, par exemple ; enfin, les communautés arctiques. Ces deux dernières catégories « vont être soumises à des risques élevés », résume-t-il.

Acidification et perte d’oxygénation

Ces phénomènes ne vont pas affecter que les humains. Du sommet des montagnes, d’où vont disparaître des espèces dépendantes de l’enneigement, à la faune des lagons et même des abysses, les changements vont être sévères pour les organismes vivants.

Dans le milieu marin, l’eau devient plus acide, ce dont pâtissent les coquillages. En raison d’une réduction des échanges avec l’atmosphère et du réchauffement, l’océan a perdu entre 0,5 % et 3 % de son oxygène entre 1970 et 2010. La respiration des bactéries s’accroît, produisant davantage de CO₂. Les aires en hypoxie, dites « zones mortes », se sont étendues de 3 % à 8 % durant cette même période. Les espèces tendent à migrer vers les pôles – elles se déplacent de 30 km à 50 km par décennie depuis les années 1950. Du moins celles qui peuvent se déplacer. Les autres, comme les coraux d’eau chaude, sont très mal en point.

Quelles solutions ?

Construire des digues – à condition d’avoir les moyens de les entretenir –, des bâtiments sur pilotis ou regagner de l’espace sur la mer peut constituer une réponse – limitée – aux changements dans l’océan.

Reste la solution la plus radicale : céder la place, reculer devant l’eau qui monte. Les rapporteurs plaident pour une restauration des milieux naturels : mangroves, récifs coralliens, herbiers sous-marins, plages, dunes constituent les meilleurs remparts pour atténuer les vagues. Mais ils sont eux-mêmes mis à mal par l’intensification des tempêtes et les activités humaines.

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26 septembre 2019

Fanny Müller

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26 septembre 2019

Vitrines au Bon Marché (actuellement)

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25 septembre 2019

Free the nipples

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25 septembre 2019

Trump ne doute pas mériter le prix Nobel de la paix

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Ce n'est pas la première fois que le milliardaire républicain, toujours très sensible aux comparaisons avec ses prédécesseurs, évoque le Nobel.

Pour Donald Trump, l'équation est simple: il mérite le prix Nobel de la paix à plusieurs titres, mais les dés sont pipés. "Je pourrais obtenir le prix Nobel de la paix pour beaucoup de choses s'ils l'attribuaient de manière honnête, mais ce n'est pas le cas", a lancé lundi le président américain en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, à New York.

Ce n'est pas la première fois que le milliardaire républicain, toujours très sensible aux comparaisons avec ses prédécesseurs, évoque le Nobel. Lorsqu'une poignée d'élus républicains avaient émis l'idée qu'il reçoive le prestigieux prix pour sa gestion de l'épineux dossier nord-coréen, il avait longtemps commenté l'idée.

"Ils l'ont donné à (Barack) Obama immédiatement après son arrivée au pouvoir et il n'avait pas la moindre idée de la raison pour laquelle il l'avait reçu", a-t-il poursuivi lundi. "Vous savez quoi ? C'est l'une des rares choses sur lesquelles j'étais d'accord avec lui", a-t-il ajouté, amusé.

Obama primé en 2009

En recevant le prix Nobel, le 10 décembre 2009, Barack Obama avait reconnu d'entrée "la controverse considérable" suscitée par cette récompense surprenante à l'aube de son premier mandat.

"Je suis au début, et non à la fin, de mes travaux sur la scène mondiale", avait-il lancé.

Au-delà de Barack Obama, trois autres présidents américains ont déjà reçu le prestigieux prix: Theodore Roosevelt, Woodrow Wilson et Jimmy Carter.

25 septembre 2019

Annas Workshops

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