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Jours tranquilles à Paris
10 mars 2017

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10 mars 2017

Street Art

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10 mars 2017

Manger des sushis sur une femme nue (interdit -18 ans)

gheisha nue (1)

 Le nyotaimori est une ancienne tradition de restauration japonaise. Le terme signifie littéralement « le corps décoré d'une femme ». La pratique consiste à servir des sushis sur le corps d'une geisha nue. Les clients viennent picorer de leurs baguettes les sushis disposés sur ce « corps-table ». Autrefois autorisée en Chine, cette expérience y est désormais interdite pour des raisons sanitaires.

Le nyotaimori : l’érotisme culinaire au comble de son raffinement

Autrefois, les geishas pratiquaient le nyotaimori au même titre que la calligraphie ou la cérémonie du thé. L'apprentissage commençait pendant l'enfance jusqu'à seize ans. Pendant l'entraînement six oeufs de poule sont disposés en différents points du corps de l'apprentie geisha qui reste étendue et figée durant quatre heures sans que les oeufs ne bougent. Des glaçons sont ensuite jetés au hasard sur son corps. Si un seul oeuf glisse, on reprend depuis le début. Cet entraînement permet à la geisha de rester allongée, immobile et sereine, quel que soit le comportement des clients. Par ailleurs, les restaurateurs recrutent des jeunes filles extrêmement patientes. Par exemple, ils ne prennent que des filles appartenant au groupe sanguin A. Selon la tradition japonaise, les personnes de ce type sont sereines. Enfin, la geisha pratiquant le nyotaimori est choisie vierge, car son hymen intact garantit sa pureté intérieure et sa netteté extérieure.

L’hygiène des « corps-tables »

Quatre-vingt-dix minutes avant de commencer le service, les geishas se livrent à une toilette méticuleuse. Les jambes et les aisselles sont intégralement épilées à la cire et les poils pubiens taillés ou rasés. En effet, les clients exigent des geishas impeccables. Aucun déodorant ou parfum n'est utilisé pour ne pas dénaturer la saveur des sushis.

Le déroulement du repas

Certains clients prennent le repas sur le dos et les fesses de la geisha alors que d’autres se servent sur le devant du corps. Autrefois, les sushis étaient disposés à des endroits précis du corps. Par exemple, l'ikura (oeufs de saumon) était placé sur le cœur. Aujourd'hui, les restaurants ne respectent plus ces exigences et disposent les mets de façon décorative. Il faut également limiter le nombre de sushis pour que le corps de la geisha ne soit pas dissimulé. Les grands poissons tels le tai ou la langouste servent à compléter la décoration. Le sexe et les mamelons sont recouverts de feuilles de vigne et de pétales de fleurs tout comme la chevelure.

Une pratique qui s’exporte outre-Atlantique

A Miami, le restaurant Kung Fu kitchen and Sushi a proposé le nyotaimori jusqu'au 30 septembre. Nathan Lieberman, le restaurateur, a ajouté cette pratique à sa carte pour 500 dollars (405 euros). Les clients peuvent déguster leur plat sur le corps d'un mannequin. Ce sont souvent des groupes organisant des fêtes ou encore des enterrements de vie de garçon qui sont les plus demandeurs. Concernant l’hygiène, Nathan Lieberman déclare que les mannequins-plats sont propres et désinfectés comme « des chirurgiens » et les parties les plus intimes des top-models dissimulés sous des feuilles de bananes. Selon la FDA, si le restaurant n’enfreint pas les règles de la FDA notamment si aucun contact direct avec la peau n’est constaté, alors la pratique est tout à fait légale.

gheisha nue (2)

gheisha nue (3)

gheisha nue (4)

9 mars 2017

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9 mars 2017

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8 mars 2017

Quand les œuvres d’art cachent des ravalements

L’idée est ingénieuse : les fondations d’art mettent en avant une œuvre sur les échafaudages et financent en échange une partie du chantier.

Par   Marie-Anne Gairaud

Alors que très souvent la rénovation des bâtiments classés donne lieu à des affichages de publicité géante suscitant parfois la polémique, Rive gauche, dans le quartier Saint-Germain (V  e), on transforme actuellement une opération de ravalement en « exposition artistique ». Place Jean-Paul Sartre-et-Simone-de-Beauvoir, la Société d’encouragement pour l’industrie nationale a pu financer une partie du ravalement de son immeuble grâce à une fondation de soutien et de promotion artistique.

« C’est en faisant mon jogging un matin et en voyant la Conciergerie recouverte d’une canette de soda que j’ai réfléchi au sujet », se souvient David-Hervé Boutin de l’agence de conseil en communication BB +.  « A moins d’être classé et de faire financer l’opération par la publicité, le ravalement d’un immeuble obligatoire tous les dix ans est extrêmement coûteux », note le producteur.

Des lieux de passage

Comment alors financer ces opérations pour une copropriété ? « De nombreux groupes ont des fondations qui aident et soutiennent les artistes, rappelle David-Hervé Boutin. Et les artistes, eux, galèrent souvent pour trouver des lieux d’exposition ». Ce féru d’art décide donc de mettre en relation ces fondations avec les copropriétaires pour financer une partie du ravalement et, en échange, utiliser l’espace des échafaudages pour y exposer l’œuvre d’un artiste qu’elles suivent. « Et on transforme ainsi la ville en musée ouvert tout en l’embellissant ! » s’enthousiasme le concepteur.

Au final l’idée aura mis un an à se concrétiser. Depuis une dizaine de jours, une œuvre de l’artiste anglaise Quentin Jones, coup de cœur de la fondation Sisley/D’Ornano, trône donc en face de l’église Saint-Germain et masquera le chantier de ravalement jusqu’à la fin avril. « Ça nous a semblé très original de faire d’un truc moche, un échafaudage, quelque chose de beau. Et cela permet de faire découvrir une jeune artiste londonienne en devenir » se félicite Simon Dufeigneux, chez Sisley.

Évidemment, toutes les copropriétés ne peuvent pas prétendre à ce nouveau genre de partenariat. « Il faut que l’immeuble soit visible, sur un lieu de passage : l’œuvre doit être mise en valeur. Mais sur une tour de HLM… Pourquoi pas ? Ce serait en plus une façon de faire rentrer l’art dans des quartiers populaires », imagine déjà David-Hervé Boutin.

8 mars 2017

Vivement l'été...

8 mars 2017

De retour à Paris...

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Photo : Noémie

7 mars 2017

Frida Kahlo en photo

En même temps que l’exposition du Dallas Museum of Art, México 1900-1950: Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et l’avant-garde, La galerie PDNB à Dallas (Texas) présente une sélection spéciale de photographies de Frida Kahlo, peintre surréaliste mexicaine de grand renom et figure iconique.

L’exposition met en lumière les portraits ludiques et spontanés de Frida pris par sa proche amie, l’artiste Lucienne Bloch (1909-1999). Après avoir rencontré le grand muraliste mexicain Diego Rivera, Bloch a été ensuite présentée à Frida, et les deux femmes ont développé une profonde amitié. Pendant le séjour turbulent de Diego aux États-Unis, Bloch est devenue une figure importante de la vie de Frida, et l’a aidée à surmonter un certain nombre d’obstacles qui se sont reflétés plus tard dans des peintures majeures de l’artiste. Bloch a aussi photographié de nombreuses œuvres murales de Diego, notamment Unity Panel à la New Workers School de New York en 1933 (une image qui fait partie de l’exposition) et elle a pris les seules photographies qui nous restent de la peinture murale controversée du Rockefeller Center, détruite en 1934.

Cette exposition présente également des photos en couleur et en noir et blanc de Frida Kahlo par le photographe Nickolas Muray (1892-1965), qui fut longtemps l’amant de Frida. Au cours des dix ans de leur liaison intermittente, Muray a photographié Frida lors de ses visites au Mexique et durant son séjour à New York pour son exposition personnelle à la Julian Levy Gallery. Les images de Muray révèlent le personnage excentrique, énergique et haut en couleur qu’était Frida dans des photos spontanées ou des portraits posés dans son atelier.

Frida Kahlo

Du 11 mars au 15 avril 2017

PDNB Gallery

154 Glass St # 104

Dallas, TX 75207

Etats-Unis

http://pdnbgallery.com/

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7 mars 2017

Rue de Buci - Paris

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