RENCONTRE AVEC LES DIEUX DU STADE ET LEUR PHOTOGRAPHE LE SAMEDI 13 FÉVRIER
Bonjour Jacques,
A l'occasion de la Saint-Valentin, nous avons le plaisir de vous inviter le Samedi 13 Février de 15h30 à 17h30 à une rencontre exceptionnelle avec le célèbre photographe des Dieux du Stade Fred Goudon, et d'athlètes immortalisés dans l'ouvrage.
L'ouvrage Dieux du Stade, qui célèbre le 15ème anniversaire du fameux calendrier, présente des photographies de Fred Goudon. Depuis plus de 20 ans, l'artiste axe ses travaux sur la plastique masculine et rend ainsi hommage au corps masculin dans toute sa splendeur athlétique. Ses compositions convaincantes et son expertise dans le maniement de la lumière créent une atmosphère familière et transforment les athlètes, du moins sur les photographies, en véritables dieux grecs.
Nous vous accueillerons dans la mythique librairie-galerie de Saint-Germain-des-Près, La Hune, afin de faire dédicacer l'ouvrage et de partager un moment privilégié avec l'artiste ainsi que des athlètes Clement Becq (Nage avec palme, champion du monde), Hugo Marquez (Judo), Jeremy Parisi (Judo, champion d'Italie), Jordan Amoros (Judo, champion d’Europe) et Vincent Vallee (Judo, champion de France), tous immortalisés dans l'ouvrage.
■ La Hune
Samedi 13 Février dès 15h30
16 rue de l'abbaye
75006 Paris
Davide Dormino - Prix “éthique” 2016
L’artiste a conçu une sculpture, quatre chaises disposées sur la place publique, intitulée « Quelque chose à dire ? ». Sur trois d’entre elles, des figures en bronze représentent les trois lanceurs d’alerte Julian Assange, Edward Snowden et Bradley Chelsea Manning. Les passants sont ainsi invités à monter sur la quatrième chaise, geste qui symbolise l’acte de prendre la parole en public et la volonté de défendre les droits universels.
Le prix "éthique" rend hommage à cette initiative, qui symbolise magnifiquement la dimension culturelle du combat pour la liberté d’expression comme moyen de remettre en cause la raison d’État, l’arbitraire et l’omerta qui permet toutes les corruptions.
http://www.anonymousvideo.eu/prix-ethique-2016-davide-dormino.html
Lily-Rose Depp: confessions d’une enfant du siècle
À peine âgée de 16 ans, Lily-Rose Depp est déjà une héroïne à sa manière. Pas vraiment mannequin et presque actrice, la jeune fille maîtrise déjà avec brio sa carrière et son image. Le très pointu magazine LOVE lui déroule le tapis rouge.
Son visage de poupon émacié peinturluré de maquillage a déjà beaucoup fait parler. La femme-enfant ultime, Lily-Rose Depp, pose ainsi en couverture de l’édition de février du magazine anglais LOVE. Mais la fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp ne se contente pas de dévoiler son joli minois, elle livre également ses premières confidences au journal. Avant la sortie en kiosque le 8 février, le site internet de LOVE magazine a extrait les premiers mots de Lily-Rose.
L’ado-star en est désormais sûre: elle se destine à la même carrière que papa dans le cinéma. “Je peux jouer la comédie tous les jours si il le faut, tellement c’est libérateur” avoue Lily-Rose Depp que l’on découvrira dans le film de série BYogas Hosers et plus tard à l’affiche de Planetarium avec Natalie Portman. La frêle blondinette se sent complètement transportée par le jeu car “l’incarnation d’un personnage, c’est la meilleure des émotions, même si on ne la ressent qu’une fois par jour”.
Si Lily-Rose Depp se sent très proche de son père sur se point, elle n’en est pas moins fusionnelle avec Vanessa Paradis. Ensemble, elles partagent notamment l’amour de la mode et de son kaiser,Karl Lagerfeld. “Il y a des photos de moi bébé où je pose avec les pompes Chanel de ma mère” confie la jeune fille qui connaît “Karl” depuis qu’elle a 8 ans. Une sorte de parrain bienveillant qui, selon elle: “met les gens à l’aise par sa seule présence et son incroyable perspicacité”.
Mais en dehors de ce cocon de luxe dans lequel elle a grandi, Lily-Rose Depp doit se confronter à certaines difficultés du monde. La plus grande crainte de la nouvelle idole des jeunes, à ce jour, est “que les gens lisent des choses sur de faux comptes sur les réseaux sociaux en pensant que ça vient de ma part”. Une peur que certains trouveront risible mais qui relève d’une véritable angoisse pour cette enfant star. “Je suis inscrite sur différents réseaux depuis que j’ai 12 ans mais à l’époque j’avais des comptes privés. Et dès ce moment, des gens ont créé des faux profils de moi et de mon frère” se confie Lily-Rose. Sa seule solution pour combattre les usurpateurs a été de rendre public son Instagram qui compte aujourd’hui plus d’un million d’abonnés.
Finalement, Miss Depp fait preuve d’une certaine maturité en reconnaissant que “vivre constamment sous les feux des projecteurs” n’est qu’un “petit prix à payer en marge de toutes les opportunités” qui s’offrent à elle.