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L'exposition « Costa-Gavras, carnets photographiques » organisée par la Maison Européenne de la Photographie à Paris présente près de 70 photographies réalisées par Costa-Gavras tout au long de sa vie. Véritable voyage au cœur même de la vie du photographe et réalisateur, l'exposition commence par quelques clichés intimes où l'on peut voir sa femme et sa fille Julie, ou encore un autoportrait dans un miroir. S'articulant autour des différents voyages et tournages de Costa-Gavras, l'exposition dévoile des clichés inédits pris exclusivement en noir et blanc. Des photographies de Régis Debray prises dans l'avion aux clichés des rues de Paris, New-York ou encore Jérusalem, l'exposition « Costa-Gavras, carnets photographiques » entraîne le visiteur sur la route, à la découverte des souvenirs du réalisateur. Si pour lui, la photographie n'était qu'une passion d'amateur, la dimension cinématographique se ressent dans chacun de ses clichés. La lumière et les ombres sont sublimées, et les instantanés pris à la dérobée ou par inadvertance rendent compte du talent de composition de Costa-Gavras. Entre le souvenir et le témoignage, l'exposition « Costa-Gavras, carnets photographiques » à la Maison Européenne de la Photographie de Paris nous plonge dans l'intimité du cinéaste et nous dévoile la vision d'un homme engagé d'une rare sensibilité. De Pékin à New-York, de Fidel Castro à Yves Montand, des manifestations urbaines aux paysages mélancoliques, le visiteur voyage aux côtés du réalisateur, entraîné par la nostalgie de ses photographies intemporelles en noir et blanc. Pour prolonger votre voyage dans le temps, n'hésitez pas à aller jeter un œil à l'exposition voisine, « L'œil d'un collectionneur », qui présente des photographies de Philippe Halsman collectionnées par Serge Aboukrat. Découvrez ainsi une mini rétrospective du célèbre photographe Philippe Halsman, connu pour avoir été le premier à faire sauter ses modèles ( technique du jumping), dont Marilyn Monroe.

Les expositions de la Maison Européenne de la Photographie à Paris « Costa-Gavras, carnets photographiques » et « L'œil d'un collectionneur » sont accessibles pour un tarif de 8 € du mercredi au dimanche de 11h à 20h, jusqu'au 15 septembre 2013.

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Say Watt?

Le culte du sound system

Jusqu'au 25 août 2013

Tags: installation, art, photographie, cultures urbaines, musique

Du mardi au samedi de 14h à 20h. Le dimanche de 14h à 19h

INSTALLATIONS, PHOTOS, VIDEOS, EXPÉRIENCES SONORES , CONCERTS INÉDITS : L'EXPOSITION SAY WATT? LE CULTE DU SOUND SYSTEM OFFRE UN VOYAGE À LA RECHERCHE DE LA FORME ORIGINELLE DE L'EXPRESSION MUSICALE CONTEMPORAINE ET DE SES EXPRESSIONS A TRAVERS LE MONDE.

Le sound system, la sono transportable, la discomobile… Les termes diffèrent, la constante reste : c’est la rue qui a inventé cette expression musicale. Des raves party aux rassemblements de Kingston a Belem, de France en Colombie en passant par le Kenya, des énormes lecteurs K7 des rappeurs le son amplifié des sound systems est le point commun de ces dernières décennies de rassemblements musicaux et populaires. Et ce qui n’était au départ qu’une discothèque ambulante dans les ghettos jamaïcains ou dans les caves américaines des années 50 a révolutionné la manière d’écouter de la musique. Des cultures radicalement différentes ont depuis adopté cet objet culte, se l’appropriant au travers de nombreux bidouillages. Le sound system a aussi la particularité d’avoir été, au fil des années et des besoins, un haut-parleur artistique, religieux et politique. Pour la première fois une exposition aborde une composante technologique à la racine de toutes les musiques urbaines contemporaines et qui a participé à l’éclosion de mouvements musicaux majeurs. Mais pas seulement : en s'en appropriant les codes, de nombreux artistes contemporains ont fini, au fil du temps, par eux aussi apporter leur vision de la "sound system culture" en questionnant la colonisation de l’espace public par le son.

Alors que le célèbre créateur de La Rubrique-à-brac s'expose encore jusqu'au 27 octobre à la chapelle Saint- Sauveur de Saint-Malo dans le cadre de la rétrospective  Gotlib: l'effet coccinelle , le Musée d'art et d'histoire du judaïsme annonce une nouvelle grande exposition , Les mondes de Gotlib, prévue du 12 mars au 20 juillet 2014.

«L'intérêt du musée pour la bande dessinée et Gotlib remonte à 2007, explique Virginie Michel, assistante de la commissaire de l'exposition Anne Hélène Hoog, au moment de l'exposition De Superman au Chat du Rabbin, qui abordait la thématique ‘BD et mémoire'. À cette occasion, nous avions exposé La chanson aigre-douce, une histoire tendre et intimiste où Gotlib racontait ses souvenirs d'enfant caché durant la Seconde Guerre mondiale. À l'issue de l'exposition, Marcel Gotlib avait émis le souhait d'être exposé au musée.»

La commissaire des Mondes de Gotlib, Anne Hélène Hoog, aura ainsi concrétisé ce souhait. Cette nouvelle exposition va se déployer sur un parcours chronologique, «en suivant autant le parcours de l'homme que celui de l'artiste», précise-t-on au musée.

De l'enfance à la création de Fluide Glacial, en passant par l'aventure des années Pilote, cette exposition montrera 120 planches originales issues autant des Dingodossiers que de La Rubrique-à-brac, sur 400 mètres carrés, en tentant d'analyser comment Marcel Gotlib, qui aura 80 ans en 2014, a forgé son propre univers, mis au point un sens de l'humour unique, sans oublier ses liens avec le judaïsme. De nombreuses vidéo, interviews, et lectures de l'auteur seront également ajoutées à cette rétrospective qui risque fort d'être la plus drôle jamais proposée par le musée.

Les Mondes de Gotlib, du 12 mars au 20 juillet 2014, au Musée d'art et d'histoire du Judaïsme, Hôtel de Saint-Aignan, 71, rue du Temple, 75003. Paris. Renseignements: 01.53.01.86.53. http://www.mahj.org

A vos agendas !!

NUE expose 4 regards autour du corps le vendredi 13 septembre, dés 19h.

Photo : Martial Lenoir

Le corps comme un objet stylisé ?

www.martiallenoir.com

Photo ci-desus extraite de la SERIE : ‘Les reflets du désordre’ 

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Photographe de mode, portraitiste, créateur dans le milieu du théâtre, et aujourd’hui artiste spécialisé dans le nu, Martial Lenoir qui a grandi dans une librairie de BD, nous fait découvrir son univers fantasmagorique peuplé de créatures fascinantes. On compare souvent son travail photographique à celui d’un tableau de Monnet ou de G.Courbet.

Sa précédente série " La Loge des rats" a obtenu le premier prix couleur du festival de nu Arles 2009 en partenariat avec Réponse photo. Martial Lenoir fut lauréat de la bourse du talent 2009 catégorie mode. Nue présente Martial Lenoir un photographe qui s’interroge avec sensibilité sur la féminité et le pouvoir érotique de ses modèles.

https://www.facebook.com/nuegalerie

    29 rue Méhul

Georges Braque

Après le blockbuster Edward Hopper (près de 500.000 visiteurs à la fin 2012), c’est au tour du père du cubisme d’investir le Grand Palais à l’automne 2013. Cette monographie devrait embrasser l’ensemble de l’oeuvre de cet artiste pluridisciplinaire. Il s’illustrait aussi bien dans le registre du paysage et de la nature morte que dans celui du portrait et de la scène d’intérieur. D’abord influencé par les fauves, il a adopté la manière de Pablo Picasso en découvrant Les Demoiselles d’Avignon.

Grand Palais, du 18 septembre au 6 janvier.

Georges Braque, L’oiseau noir et l’oiseau blanc,1960,

Huile sur toile, 134 x 167,5 cm, Paris © Leiris SAS Paris © Adagp, Paris 2013

la boutique

«Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître», écrivait Sacha Guitry. De naissance ou d'adoption, le Parisien est reconnaissable entre mille. Qu'il coure pour attraper un métro, squatte les terrasses des cafés dès que le moindre rayon de soleil pointe le bout de son nez, peste sur son Vélib', pique-nique au parc le week-end, ou traîne à Paris Plages: l'habitant de la capitale se caractérise par tout un tas de tics, remarques et phrases toutes faites qui le rendent aussi attachant qu'insupportable. Ce sont - entre autres - ces habitudes et ces travers, souvent qualifiés de «bobos», que le site My Little Paris, et son illustratrice Kanako, croquent avec finesse depuis cinq ans. Après une vidéo hilarante qui a fait le buzz avec plus d'1,2 million de vues sur YouTube, ils en ont même fait un livre, Les Parisiens, paru en octobre dernier aux Éditions du Chêne.

C'est en tombant sur cet ouvrage que la Mairie de Paris a eu l'idée d'inviter l'illustratrice japonaise, installée dans la capitale depuis 2005, à créer une expo en plein air, gratuite, sur les Parisiens et pour les Parisiens. 48 de ses dessins - certains extraits du livre, d'autres faits en partenariat avec la Ville - sont ainsi exposés jusqu'au 28 août- sur plus de 1000 affiches du réseau municipal parisien. Pour les voir, trois itinéraires: sur les Champs-Élysées et l'avenue Georges V (VIIIe), autour de Barbès et Montmartre (IXe, Xe et XVIIIe) et dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés (Ve, VIe, VIIe et XIVe).

«Ce jeu de tendres miroirs, qui n'épargne personne mais respecte chacun, reflète avec autant d'humour que d'à-propos une part de l'identité de Paris», écrit Bertrand Delanoë pour présenter l'exposition.

Exposition Roy Lichtenstein au Centre Pompidou à Paris, jusqu'au 4 novembre 2013. 

En savoir plus sur la programmation sur le site du musée www.centrepompidou.fr 

Catalogue de l'exposition Roy Lichtenstein, sous la direction de Camille Morineau. Editions du Centre Pompidou, 240 p., 39.90 euros. 

Ce que je crée, c'est de la forme. Entretiens 1963-1997, par Roy Lichtenstein. Sous la direction de Camille Morineau. Editions du Centre Pompidou, 144 p., 19 euros. 

Roy Lichtenstein: album de l'exposition. Sous la direction de Camille Morineau. Editions du Centre Pompidou, 60 p., 9,90 euros.

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Le forum des Halles accueille cet été une expo photo de Robert Doisneau, expo consacrée aux Halles.Cette exposition n’est pas sans rappeler celle de l’Hôtel de Ville (Doisneau Paris les Halles) qui s’était tenue début 2012. Cette fois ci, c’est bien au forum des Halles que le visiteur peut contempler des photos de Robert Doisneau, photos consacrées aux Halles avant que ce quartier de Paris ne devienne le forum des Halles d’aujourd’hui.

Ainsi, ce sont des clichés pris entre 1933 et 1979 et exposés en format géant qui sont exposés en six endroits différents du Forum des Halles, jusqu'au 31 août 2013

• Place Carrée : le marché dans son quartier

• Rue du Cinéma : les métiers des Halles

• Place de la Rotonde : les gueules des Halles

• Atour de la place Basse

· Niveau -3 : la Légende des Halles de Baltard

· Niveau -2 : le Trou de Mémoire » (photos du « Trou des Halles » des années 1970 en vue de la construction du forum)

· Niveau -1 : Un Forum au cœur de Paris » (construction du forum des Halles et inauguration, vues aériennes d’ensemble)