Bernard Stora a commencé le tournage pour France 2 de son téléfilm La Dernière Campagne. Ecrit par Françoise Fressoz et Pascale Robert-Diard, journalistes au Monde, ce film raconte comment Jacques Chirac, condamné en 2011 dans l'affaire des emplois fictifs de la Mairie de Paris, s'invite dans la campagne présidentielle et s'immisce dans la bataille qui oppose Nicolas Sarkozy à François Hollande. Bernard Le Coq tient le rôle de Jacques Chirac, Thierry Frémont celui de Nicolas Sarkozy et Patrick Braouest, François Hollande.

Crazy Horse

Ca commence très fort : à l’issue d’une poursuite en moto vertigineuse, amorcée, après un spectaculaire échange de tirs au milieu de la foule, sur les toits roses du grand souk d’Istanbul, et que l’on suit, souffle coupé, pendant douze minutes, Bond… meurt. Noyé, après avoir été atteint par un tir ordonné… par « M » elle-même, qui suivait la course sur son ordinateur depuis Londres. Il coule, on le voit, entraîné vers le fond. The end ? A Londres, « M » signe sa nécro sans verser une larme : il devait récupérer une liste d’agents infiltrés dans les services étrangers, liste piratée sur le système informatique pourtant hautement sécurisé du MI 6. Il a échoué, et maintenant, il y a le feu. Au diable James Bond…

Thanks God, le diable n’a pas voulu de lui cette fois-ci encore ! On le retrouve, très abîmé, noyé... dans l’alcool, cette fois, dans un bouge du bout du monde. Quand il finit par rejoindre Londres, où il est convoqué pour rendre des comptes, il n’est plus que l’ombre de lui-même, et, le souffle court, la gâchette hésitante, ne passe pas les tests d’aptitude. A jeter, l’agent 007 ? Unbelievable ! Tel un phénix, au contraire, il renaît de ses cendres. Il le fallait bien, l’année du cinquantième anniversaire de sa première apparition l’écran ( dans « James Bond contre Dr No » !)

C’est à Sam Mendes, réalisateur, entre autres, d ‘"American Beauty" et de "Noces Rebelles", inattendu ici, mais diablement inspiré, que l’on doit ce nouveau départ. Après vingt-deux opus plus ou moins inspirés, rarement scénario aura eu autant de nerf, d’invention, et d’humour. Tout change et rien ne change. La James Bond de service ( une Française inconnue, Bérénice Marlohe), est plus sexy que jamais, mais « M » ( Judi Dench, impériale toujours) vous réserve une sacrée surprise !). Le vieux « Q » a pris sa retraite, il est remplacé par un génie de l’informatique qui a l’air d’avoir 16 ans, mais sa vieille Aston Martin bourrée de gadgets reprend du service. Quant au méchant, dont l’identité n’est révélée que sur le tard, et dont je ne vous dirai rien, si ce n’est que c’est … un ennemi de l’intérieur, imbattable en informatique, il a les traits, presque méconnaissables sous une improbable perruque blonde, de Javier Bardem, aussi inquiétant ici qu’en névropathe au fusil à air comprimé chez les frères Coen dans « No country for old men »… Ah, j’oubliais, Bond, bien sûr, c’est, pour la troisième fois, l’impeccable Daniel Craig, celui qui a fait sauter la Reine elle-même, rappelez-vous, pour l’ouverture des Jeux Olympiques. Donc, tout va vraiment bien, d’autant que ce « Skyfall » ne manque pas, fidèle à la tradition, de nous faire voyager, de Shanghai à la lande écossaise. Source : Les Echos

Montparnasse hier soir

Bérénice Marlohe est la Séverine de Skyfall (San Mendes, 2012) et la cinquième Française à côtoyer l’espion britannique. Alors que Daniel Craig continue de faire son shopping chez Tom Ford à l’écran, la demoiselle, elle, a déjà tout compris et adopté des tenues signées Dolce & Gabbana, Emilio Pucci ou Vivienne Westwood sur les tapis rouges et pour la promotion du film.

Bérénice Marlohe

Kelly Brook et les danseuses du Crazy Horse

Nicole Kidman renonce à tourner dans « Nymphomaniac », le nouveau film du réalisateur danois Lars von Trier. La raison en est simple. L’actrice australienne, actuellement sur la Côte d’Azur pour les besoins de « Grace of Monaco », d’Olivier Dahan, où elle incarne Grace Kelly, ne peut être en même temps à Cologne, en Allemagne, où von Trier tourne son film avec un casting alléchant : Charlotte Gainsbourg, Stellan Skarsgard, Jamie Bell, Connie Nielsen, Shia LaBeouf, Udo Kier, Christian Slater, Jean-Marc Barr et Willem Dafoe. On chuchote que Nicole Kidman pourrait être remplacée par Uma Thurman.

Voici le 1er extrait de l'album à venir de Zula, la figure emblématique du Crazy Horse ...

Zula voit le jour à Marseille, en novembre 1978. Son enfance passée en terres africaines, au Niger et au Burkina Faso, lui offre un regard sur le monde, riche de perspectives multiples.
A l’âge de 17 ans, elle rentre en France, au Conservatoire de danse de Montpellier. Nomade, ni d’ici ni de là-bas, Zula trouve son équilibre au travers du monde artistique.
En 2000, c'est à Paris que nous retrouvons celle qui devient « Zula Zazou », danseuse soliste du Crazy Horse. Depuis 12 ans, elle a la chance d'y côtoyer différents artistes (Dita von Teese, Arielle Dombasle, Clotilde Courau...) et de parcourir le monde , ainsi elle se produira à de nombreuses reprises sur la scène du Crazy à Las Vegas au MGM Grand.
En décembre 2009, le spectacle « Désir » mis en scène par le chorégraphe Philippe Decouflé et Ali Mahdavi, ainsi que les 60 ans du célèbre établissement Parisien, permettront à un plus large public de découvrir les filles du Crazy. Et on verra apparaître Zula une nouvelle fois chez Mireille Dumas qui, intriguée par son parcours et sa personnalité en fera le fil conducteur de ces reportages sur le Crazy Horse,on retrouvera aussi sa présence très remarquée dans le film documentaire consacré au Crazy Horse réalisé par Frederick Wiseman "Désir" .
Entre temps la chanson s'est invitée dans la vie de Zula. Venu la voir sur la scène du Crazy Horse, le chanteur Ycare sera inspiré par sa personnalité atypique, et lui propose un duo sur son album « Lumière Noire » : le titre « Vite fait » est enregistré. L'univers de Zula se crée petit à petit. Puis elle rencontre Marc Collin, producteur et membre fondateur du projet Nouvelle Vague. Une rencontre en amenant une autre, Zula fera la connaissance de l'auteur-compositeur, interprète et photographe Nicolas Comment dont elle apprécie l'écriture et les textes. Ce dernier lui demandera d'apparaître dans son clip "Gloire Noire". Puis c'est tout naturellement qu'on retrouve Zula en guest au sein de Nouvelle Vague, d'abord en tant que danseuse (elle y crée ses propres chorégraphies) puis en compagnie de Liset Alea et Mareva Galenter sur le show « Dawn of Innocence » mis en scène par JC de Castelbajac et présenté dans de nombreux pays ( Israël, Etats-Unis, France, Pays-Bas...)

On la retrouve en guest, à la fois danseuse et chanteuse, avec Liset Alea et Mélanie Pain sur l'actuelle tournée américaine de Nouvelle Vague. ( Les Etats-Unis et le Canada en octobre 2012, l'Europe en novembre 2012) La voilà sillonnant à nouveau le monde...
C'est donc une fin d'année chargée qui attend Zula puisqu'on devrait en plus l'entendre sur le prochain album de Nouvelle Vague à paraître en 2013, en attendant de la retrouver au Crazy Horse au mois de décembre prochain. Mais Zula prépare surtout son album solo, en compagnie de Marc Collin et a choisi de s'entourer de deux paroliers: Nicolas Comment (« Nous étions Dieu », sorti en 2010 chez Kwaidan) et Cyril Pansal (qui forme le duo HF90 avec Christophe Mevel et que l'on retrouve notamment sur la compilation « Monsieur Daho » sorti en 2011). Si le single « Poney Girl » est encore assez proche de l'univers du Crazy Horse (Ali Mahdavi, Directeur artistique du Crazy Horse et photographe, en signe le clip), l'album en préparation dévoilera un univers très personnel... l'univers de Zula.

Zula sur FACEBOOK

http://www.nolwenn.org/