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Jours tranquilles à Paris
5 janvier 2013

Save the date : demain sur ARTE - Laetitia Casta : le corps à l'ouvrage

C'est dans une usine désaffectée d'Ivry-sur-Seine que Laetitia Casta a donné rendez-vous à Vincent Josse pour cette nouvelle édition de Square - Dimanche 6 janvier 2013 à 11h45 sur ARTE. Un décor qu'elle a choisi, elle qui conçoit ses carrières de mannequin et d'actrice comme un éternel renouvellement. Tout défaire et tout recommencer, pour un début d'année très en beauté.

Selon Laetitia Casta, "dépasser ses peurs, c'est ce qui est le plus excitant". Elle le prouve une nouvelle fois dans Une histoire d'amour (sortie en salles le 9 janvier), le premier film d'Hélène Fillières, où elle incarne une femme sulfureuse, maîtresse sado-masochiste et finalement meurtrière d'un riche banquier, interprété par Benoît Poelvoorde. Un drame très sombre, inspiré de l'assassinat d'Edouard Stern en 2005. Laetitia nous évoque cette expérience éprouvante, comme ses grands bonheurs au théâtre, au cinéma ou sur les podiums.

Agée de 15 ans à peine, elle a été découverte sur une plage de Corse. Depuis, elle n'a pas quitté la lumière des projecteurs, dans les défilés de mode et sur les plateaux de cinéma (Astérix et Obélix contre César en 1999, puis Gainsbourg, vie héroïque, où elle incarne Brigitte Bardot). Elle a également joué au théâtre, dans Ondine, puis dans Elle t'attend, une pièce de Florian Zeller.

Dans cette édition de Square, elle se livre avec humour et décontraction, et dévoile certains de ses goûts artistiques dans la carte blanche qui lui est proposée, avec le comédien et metteur en scène James Thierrée. Un artiste polyvalent, comme elle souhaite l'être elle-même : "C'est le genre je-me-développe-tout-seul, je-grandis-tout-seul, je-fais-tout-tout-seul... Cela fait rêver je trouve."

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5 janvier 2013

Clin d'oeil à Serge Gainsbourg...

5 janvier 2013

Les cabarets de légende - Voir ou revoir sur Pluzz

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Diffusé le ven. 04-01-13 à 20:45 | Encore 6 jours

Documentaire | 02:00

Tous publics | Sous-titré

De : Mireille Dumas

L'émission : Le Moulin Rouge et son célèbre french cancan immortalisé par la Goulue, le Lido avec ses revues grandioses, ses Bluebell girls et Annie Cordy en meneuse, le Crazy Horse et les premières danseuses nues, Les Folies Bergère et son fameux grand escalier descendu par Mistinguett, sans oublier Michou et ses numéros de transformistes : Mireille Dumas raconte l'histoire des cabarets mythiques de Paris. Après avoir vendu les murs des Folies Bergère en novembre 2011, Hélène Martini vendait aux enchères l'intégralité des costumes et accessoires des spectacles depuis la création de l'établissement. Cette vente symbolise la fin d'une époque où le cabaret était roi.

Le programme : Signé Mireille Dumas.

A ce propos voir mon billet du 11 juin 2012

 

5 janvier 2013

Les 60 ans du Crazy Horse

Voir ou revoir le documentaire sur PLUZZ (attention : durée limitée)

De : Guy Job et Yann Coquart

L'émission : Un des plus célèbres cabarets parisiens, le Crazy Horse, fête ses 60 ans d'existence en 2011. A cette occasion, des images d'archives et des témoignages permettent de revenir sur l'histoire du cabaret et de découvrir toutes les facettes de ce temple de la féminité sublimée. C'est Alain Bernardin qui a fondé le cabaret en 1951. Depuis, Alain Delon, Lova Moor, Julia Rouge, Ali Mahdawi, le sculpteur César, Arielle Dombasle, Dita Von Teese ou encore Clotilde Courau ont fait les plus belles heures du Crazy Horse et ont contribué à ce que ce lieu magique devienne et demeure un des plus mythiques cabarets du monde.

Le programme : A l'heure où le Crazy Horse célèbre ses 60 ans, retour sur l'histoire de l'un des plus célèbres cabarets parisiens. Depuis sa création en 1951 par Alain Bernardin jusqu'à aujourd'hui, le documentaire retrace le succès de ce haut-lieu des nuits parisiennes.

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5 janvier 2013

Terry Richardson (photographe)

Pour le printemps-été 2013, la  maison Philipp Plein renouvelle sa collaboration avec Terry Richardson. Après l'acteur Ed Westwick, c'est au tour d'une autre personnalité, Poppy Delevingne, de se glisser au bras du photographe qui passe pour l'occasion de l'autre côté de l'objectif. La socialite britannique croise le reflet du top transgenre Lea T. L'une, brune piquante, et l'autre, blonde ethérée, laissent éclater toute la puissante de leur sensualité dans un jeu subtil de miroirs où Terry Richardson et des jumeaux parfaitement identiques viennent les rejoindre.

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5 janvier 2013

Laetitia Casta, moins sage que son image

Lire l'excellent article sur le site du Figaro Culture en cliquant ICI

Rappel : "Une histoire d'amour", d'Hélène Fillières, avec Benoît Poelvoorde, Laetitia Casta,

Richard Bohringer, Reda Kateb... (en salles le 9 janvier).

Voir mes précédents billets sur Laetitia Casta

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Benoit Poelvoorde dans "Une histoire d'amour"

2 janvier 2013

Save the date : Laetitia Casta dans "Une histoire d'amour" d'Hélène Fillières le 9 janvier 2013

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Le site de Laetitia Casta

1 janvier 2013

Crazy Horse

Pour la première journée de 2013, un petit film vintage de 1977 avec des danseuses inoubliables comme Lova Moor, Sophia Balma, Rosa Fumetto etc. (Merci M. Soto). Les équipes du Crazy vous souhaitent une pétillante année 2013.

For the first day of this New Year, a short vintage reportage from 1977 featuring legendary dancers such as Lova Moor, Sophia Balma, Rosa Fumetto and more (Thank you Mr. Soto). We wish you a sparkling New Year 2013!

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Lova Moor photographed by Jacques Snap (2010).

31 décembre 2012

"Une histoire d'amour"

19595034Hélène Fillière, héroïne de la série Mafiosa offre à l'actrice un rôle fort dans Une histoire d'amour. Un film au parfum de scandale tiré d'un fait-divers sanglant. En salle le 9 janvier.

Laetitia Casta n'a pas froid aux yeux. De rôle en rôle, elle va toujours plus loin dans l'anticonformisme et n'hésite jamais à se fondre dans la peau de personnages sulfureux à souhait. Le 9 janvier prochain, on la retrouvera dans un film au parfum de scandale qui a la particularité d'être tiré d'un fait-divers ayant défrayé la chronique judiciaire il y a quelques années. Il s'agit de l'affaire Stern, du nom de ce riche banquier que l'on retrouva assassiné la tête en sang, vêtu simplement d'une combinaison en latex, dans son appartement suisse. L'enquête révéla qu'il s'adonnait à des pratiques sado-masochistes et qu'il fut tué par sa maîtresse qualifiée par la police de « redoutable et perverse ». C'est dans la peau de cette femme qui fut condamnée par la suite, que les spectateurs découvriront donc le nouveau visage de Laetitia Casta. L'autre originalité de cette œuvre est qu'elle a été mise en scène par l'héroïne de la série de Canal Plus, Mafiosa, en l'occurrence Hélène Fillières. Ayant délaissé pour un temps son gang bastiais, celle qui pour tous les téléspectateurs corses reste la séduisante et impitoyable Sandra Paoli, a décidé de passer derrière la caméra afin de réaliser son premier long-métrage de fiction.

Dominant-dominé

Ce film, qui aura pour titre Une histoire d'amour et dont la bande musicale sera signée Etienne Daho, sortira donc sur tous les écrans français le mercredi 9 janvier 2013. Produit par Matthieu Tarot et Jani Thiltges, il sera distribué par Wild Brunch. Aux côtés de Laetitia Casta, les principaux rôles seront tenus par Benoit Poelvoorde (qui interprétera le banquier Stern), Richard Bohringer, Jean-François Stévenin et le duo d'acteurs Reda Kateb-Philippe Nahon qui tous les deux jouèrent dans Mafiosa. « Pour mon premier film, je ne voulais pas partir d'une histoire trop personnelle, explique Hélène Fillières. Lorsque j'ai luSévère, le livre de Régis Jauffret publié aux éditions du Seuil, j'ai été sensible à son regard impitoyablement aiguisé sur l'âme humaine. Alors que le meurtre passionnel est vieux comme le monde, l'histoire de ces deux amants, avec sa problématique du dominant-dominé, est fascinante. Elle bouscule en effet la moralité sage et docile et embarrasse les frustrés ». Et de poursuivre :« Pour moi, la vraie question que pose cette histoire, c'est le poids des préjugés et de l'opinion publique sur ces pratiques jugées inclassables. Elles dérangent avant tout parce qu'elles n'appartiennent qu'à ceux qui les vivent. En réalisant ce film, j'ai donc voulu saluer l'irrévérence de ces deux anti-héros ».Lorsqu'on lui demande pourquoi elle a choisi Laetitia Casta pour ce rôle de meurtrière, Hélène Filières répond : « Elle m'est apparue comme une évidence. Elle est d'une beauté impertinente et, en même temps, absolument inoffensive quant à son pouvoir de séduction. Elle ne mesure pas le danger qu'elle dégage. Ses blessures sont intériorisées. Le regard que l'on a sur elle est lourd à porter. Longtemps, on n'a accordé qu'une valeur marchande à sa personne. Elle a été mannequin. Elle sait ce que signifie vendre son corps et vérifier si l'attention qu'on veut bien lui porter a une valeur financière ou affective. Je sais que Lætitia n'est pas sortie indemne de ce tournage. C'est un rôle qui lui laissera une trace. Ses émotions ne furent pas feintes. Ses douleurs non plus ».

30 décembre 2012

L'OREAL Paris - Bonne Année 2013

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