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Jours tranquilles à Paris
29 décembre 2013

As-tu connu ?

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24 décembre 2013

Atsuko Kudo

20 novembre 2013

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6 novembre 2013

A découvrir... Mylène Jampanoï

Née d'une mère française et d'un père chinois, Mylène Jampanoï ne grandit pas avec son père, qui part lorsqu'elle est âgée de trois ans, et ne garde pas de contact avec ses origines familiales paternelles.

Mylene saute deux classes (sa seconde et sa première) et obtient son Bac français et son bac dans la même année à 17 ans. En 2001, elle commence sa carrière à Aix-en-Provence , passe un casting et est prise pour une série télé Sous le soleil. Après avoir passé une audition pour Les Rivières pourpres 2 : les Anges de l'Apocalypse, elle est choisie par Olivier Dahan pour jouer Pénélope face à Benoît Magimel en 2004. Après ce premier rôle au cinéma, elle enchaîne rapidement les longs métrages comme 36 quai des Orfèvres et Cavalcade. En 2006, elle tourne dans le film canadien Les Filles du botaniste, où elle tient le rôle de Li Min, une jeune femme vivant une liaison homosexuelle sous le régime de Mao. Elle est engagée sur ce film en dernière minute, l'actrice pressentie ayant été dissuadée par les autorités chinoises d'accepter le rôle. Dai Sijie, le réalisateur, ne veut initialement pas de Mylène Jampanoï, qui n'a alors « aucune notion » de la langue ou de la culture chinoise alors que le personnage est censé être culturellement métissé, mais leur collaboration se passe finalement bien3. Faute d'autorisation en Chine, le film est tourné finalement durant 3 mois au Viêt Nam4. Mylène Jampanoï obtient ensuite le rôle principal du film La Vallée des fleurs, coproduction franco-indo-allemande qu'elle tourne 4 mois dans l'Himalaya et le Pakistan.

Nouvelle égérie Kookaï, Mylène Jampanoï s'est prêtée au jeu d'une séance photo beauté pour Gala. Un exercice presque naturel pour la belle de jour comme de nuit...

26 octobre 2013

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19 octobre 2013

PUBLICITE - Une réalisation de DAVID LACHAPELLE (photographe)

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La marque de chaussettes Happy Socks fait appel à la folie du photographe David Lachapelle pour promouvoir sa collection hiver.

« À poil en chaussettes à pois », c’est comme cela qu’on pourrait résumer la série de photos créées par David Lachapelle pour le compte d’Happy Socks. Et il semblerait bien que le photographe ait été inspiré par les chaussettes suédoises aux couleurs flashy et aux motifs bariolés.

À en juger par les tenues légères des porteurs de chaussettes, les hivers suédois ne semblent pas si rudes que ce que l’on pourrait penser. L’esthétique pop sous acide chère à David Lachapelle tranche avec le second volet de la campagne : un récit vidéo qui semble tourner au bad trip. Un film a découvrir en intégralité à partir du 1er novembre sur le site d’.

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Voir mes précédents billets sur David Lachapelle

1 octobre 2013

Une pub huée dans les salles de cinéma : Shalimar ou le parfum de l'infamie


La scène a lieu tous les jours, à chaque séance. La mannequin Natalia Vodianova s'éveille dans une lumière évanescente tandis que, dans la salle, les sièges et les dents commencent à grincer. Les spectateurs assidus qui se sont déjà maintes fois infligé le supplice redoutent le coup fourré dès que les lumières commencent à baisser, signe de l'emplacement préférentiel dédié au spot, juste avant le film.

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Mais que peut bien avoir de si spécial ce « court-métrage », comme ont convenu de l'appeler les spécialistes, pour provoquer une telle exaspération ?

Sa longueur d'abord, qui énerve tout le monde mais aussi en particulier les distributeurs de films qui se refusent de tels excès pour les bandes-annonces, mais aussi son emplacement, préférentiel donc (c'est à dire avant le film, lumières éteintes), habituellement réservé aux bandes-annonces justement. On ne s'attardera pas sur ce que le clip a de sexiste ou de raciste (c'est aussi ça l'esprit Guerlain) tant c'est un lieu commun quand il s'agit de parler de publicité, car ce que révèle ce virulent rejet est plus profond.

Car dans l'érection spontanée d'un Taj Mahal en toc, c'est le cinéma qu'on assassine. En premier lieu, la publicité a engagé un budget de production de 4 millions d'euros, ce qui signifie que si vous la voyez en ce moment avant Miele, La Bataille de Solférino ou Alabama Monroe, le film pour lequel vous avez payé votre place aura coûté (beaucoup) moins cher. Evidemment la pub rapporte in fine de l'argent à la filière ou en tous cas aux salles qui la diffusent, mais le préjudice est plus insidieux. En effet, La Légende de Shalimar (oui pardon, le «court-métrage» a un titre) contribue encore un peu plus à démystifier le cinéma en nourrissant le cynisme du spectateur. Non, définitivement, les films de Terrence Malick ne ressemblent pas à des pubs pour le parfum, ce sont ces images creuses et sinistres qui s'évertuent, à coups de millions et de couchers de soleil, à ressembler à des films de Terrence Malick. Si enfin on hésite à pardonner à Hans Zimmer de s'être ainsi compromis en signant la musique, on le remerciera de n'avoir fait que céder les droits du morceau Chevaliers De Sangreal jusque là associé à la BO d'un des pires navets de sa filmographie (Da Vinci Code), évitant ainsi de souiller le souvenir de La Ligne rouge, Thelma et Louise ou Inception.

Et avec tout ça, mine de rien, l'envie d'aller au cinéma s'estompe un peu, comme les effluves imaginaires, pornos et même pas chics, de ce parfum hideux.

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23 septembre 2013

Publicité Jean Paul Gaultier

20 septembre 2013

Kate Moss

19 septembre 2013

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