Reporters sans Frontières
Bonjour à tous,
Dans cinq jours, nous commémorerons un anniversaire tragique : les 25 ans du massacre de la place Tiananmen. Ce jour-là, Reporters sans frontières fera tout pour remettre la liste des signataires de sa pétition aux dignitaires du régime.
Associez votre nom à cette pétition : plus nous serons nombreux à signer, plus la voix de la liberté portera et moins le régime chinois pourra faire la sourde oreille. Emprisonner un blogueur ou censurer un journal n'est pas tolérable !
A coups de censures et d'emprisonnements, le régime chinois piétine les principes de liberté pourtant prévus dans la constitution de la République populaire de Chine : l’article 35 de la constitution prévoit en effet que « les citoyens disposent de la liberté de parole, de presse, de réunion, d'association, de défilé et de manifestation ». Les droits des citoyens chinois doivent être respectés.
Rien ne justifie que les Chinois soient réduits à la propagande et au silence. Dites-le au président Xi Jinping en signant cette pétition.
A bientôt,
Christophe Deloire
Secrétaire général
Save the date : "Bring Back our Girls" demain à 15h00 au Trocadéro
La campagne "Bring Back our Girls" se poursuit. Alors que se tiendra demain le Sommet de Paris pour la sécurité au Nigeria, plusieurs personnalités appellent à une nouvelle mobilisation pour les lycéennes enlevées par la secte islamiste Boko Haram. L’ex-Première dame Valérie Trierweiler, Yamina Benguigui, Karine Silla et Lisa Azuelos organisent en effet un nouveau rassemblement samedi à 15h sur le Parvis des Droits de l’Homme place du Trocadéro à Paris. A cette occasion, plus de 200 jeunes filles françaises se réuniront pour représenter chacune des adolescentes kidnappées. Le mot d’ordre ? Ne pas laisser ces lycéennes tomber dans l’oubli et interpeller les chefs d’Etat.
Nos plages à court de sable ?
Après la ruée vers l’or, la ruée vers le sable ? Puces électroniques, plastique, et surtout matériaux de construction : matière première bon marché, le sable est partout. Si le sable des déserts reste impropre à la construction, les magnats du bâtiment se sont massivement tournés vers l’exploitation des rivières et plages, au détriment de l’équilibre des écosystèmes. Petit à petit, les appétits économiques ont grignoté au moins 75 % des plages du monde, et englouti des îles entières : enquête sur un pillage écologique mêlant multinationales et réseaux mafieux. De Bombay à la Bretagne en passant par Dubaï, Tanger ou les Maldives, cette passionnante enquête en forme de thriller dévoile une urgence planétaire : la menace qui pèse sur le sable, ressource vitale dont le pillage s’accélère.
Cliquez sur le lien suivant : http://future.arte.tv/fr/sujet/nos-plages-court-de-sable
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Le Peuple des dunes est un collectif citoyen, mis en place par des associations bretonnes, créé le 28 décembre 2006, afin de mettre en commun des moyens permettant de réagir aux projets d'extraction de granulat marin et notamment celui initié par les groupes cimentiers Lafarge et Italcimenti, dénommé « Per Sud Lorient ». Ce projet est situé au large des zones naturelles du réseau Natura 2000, le Grand site « Massif dunaire Gâvres-Quiberon et zones humides associées », et celui de la ria d'Étel, entre la presqu'île de Quiberon et celle de Gâvres, à l'intérieur d'un axe reliant l'île de Groix à Belle-île. Début juillet 2009 la société Lafarge Granulats abandonne le projet après un avis défavorable du préfet maritime et la sortie de l'avis du Comité Scientifique Indépendant.
Amnesty International
Du 19 au 27 avril, Amnesty International mettra en vente des bougies. L’occasion de produire quelques éclaircissements sur ce rendez-vous annuel de l’ONG.
Trente bougies spécialement éditées seront vendues sur Ebay par Amnesty International afin de récolter des fonds. Baptisées Freedom Candles, ces bougies ont la particularité de fondre pour révéler des figurines en bronze représentant l’espoir. Ainsi un fusil mitrailleur devient un stylo – synonyme d’éducation – un couple dont la femme est battue fond pour laisser place à une étudiante émancipée.
Les campagnes d’Amnesty réutilisent le logo de l’ONG pour se donner un fil rouge : la bougie, cette lumière persistante dans les périodes les plus sombres de l’Histoire. Ses précédentes opérations se servent de cette flamme, encore une fois, pour supprimer symboliquement les inégalités. En découle une forte identité pour Amnesty International, bâtie sur une image puissante et un solide engagement envers les opprimés.