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Jours tranquilles à Paris
3 novembre 2012

Réflexion

Dana, une jeune Egyptienne, a posté sur Facebook une photo sans voile pour soutenir les femmes dans le monde arabe. Le cliché a été censuré :

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31 octobre 2012

Action contre la faim

28 octobre 2012

Libérez Pussy Riot, Libérez Nadya et Masha

BRUXELLES : Cette action répond à l’appel de Katya qui a été provisoirement libérée. Cet appel sollicite le plus grand nombre d’actions citoyennes pour la libération des deux autres membres de Pussy Riot, Nadya et Masha qui ont été condamnées, le 10 octobre, à une peine d’emprisonnement de 2 ans. Cette semaine, les 2 jeunes mères ont été transférées dans un camp de travail forcé à plus de 1000 km de leurs enfants, amis et famille (http://www.freepussyriot.org/ ou http://pussy-riot.livejournal.com/) Tricot trottoir a déjà crocheté les lettres pour faire une banderole FREE PUSSY RIOT qui, depuis le 19 septembre, orne la façade de la maison des femmes « AMAZONE », rue de Méridien 10, à St Josse, juste en face du Centre culturel de l’ambassade russe. Nous remercions AMAZONE de nous avoir offert l’hospitalité après notre action du 12 août 2012. En effet, nous avons été interpellées dès que nous étions devant le Centre culturel russe, munies de nos cagoules tricotées et porteuses de la banderole «  FREE PUSSY RIOT ». Nous n’étions que 6, marchant à la queue leu leu sur le trottoir. La police nous a enjointes d’ôter nos cagoules et nous a priées de déguerpir après avoir relevé nos identités et fouillé nos sacs. Mais pour Tricot Trottoir, ces cagoules sont précisément une marque de reconnaissance avec le groupe punk russe. Notre solidarité est principalement motivée par l’indignation face à la répression terrible et injuste contre ces femmes courageuses, bien plus radicales et opérant de manière très différente. Mais nous les considérons comme nos plus jeunes sœurs dans l’art et le féminisme. Tricot Trottoir est un collectif bruxellois d’artistes / activistes / artisanes qui travaillent dans les rues. Contrairement à beaucoup d’autres tricoteuses “sauvages” , Tricot trottoir n’utilise pas de laine, mais du plastique « erratique *» en faisant un acte écologique. Les tricots que nous installons dans les rues sont la dénonciation de ce qui se passe dans la ville. Loin des stéréotypes , nous tricotons selon des idées et de nouvelles formes d’action non violente .

http://tricottrottoir.wordpress.com

* Le plastique erratique est le plastique qui traine/ erre dans les rues

Cliquez ICI

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22 octobre 2012

Russie: les Pussy Riot envoyées purger leur peine dans la région des goulags

Nadejda Tolokonnikova et Maria Alekhina sont expédiées vers des camps russes, dans les régions de Mordovie pour l'une et de Perm pour l'autre. Les deux membres Pussy Riot y purgeront une peine de 2 ans, selon le jugement rendu en appel le 10 octobre, pour une prière anti-Poutine dans une cathédrale. voir site de l'Express

16 octobre 2012

Femen : Les Femen manifestent devant le ministère de la Justice (on en parle dans la Presse)

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12 octobre 2012

Une membre des Pussy Riot signe en prison une lettre contre son compagnon

md0Nadejda Tolokonnikova, l'une des jeunes femmes membres du groupe contestataire russe Pussy Riot emprisonnées pour une "prière punk" anti-Poutine, a signé en prison une lettre désavouant son propre compagnon, principal artisan d'une campagne de soutien dans les pays occidentaux. "Je déclare officiellement que Piotr Verzilov n'est pas un représentant du groupe Pussy Riot", écrit Nadejda Tolokonnikova dans cette lettre manuscrite également signée par Maria Alekhina, condamnée comme elle à deux ans de détention dans la même affaire. La lettre, datée du 11 octobre, était en ligne vendredi sur le site de la radio Echo de Moscou. Troisième membre du groupe condamné à la même peine en août, Ekaterina Samoutsevitch a vu sa condamnation transformée en sursis en appel, et a été libérée mercredi. Elle a dénoncé depuis un "jeu" des autorités russes pour scinder le groupe. Piotr Verzilov "a rencontré les journalistes et a fait des déclarations au nom des Pussy Riot sans en avoir le droit", a poursuivi Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, désavouant celui qu'elle a présenté au tribunal comme son mari, et le père de sa fille de 4 ans. Ce Russo-Canadien de 25 ans, parlant couramment l'anglais, a donné depuis l'arrestation des trois jeunes femmes en mars des dizaines d'interviews aux médias étrangers, faisant office de principal porte-parole du groupe contestataire et insistant sur la signification politique de leur acte et de leur condamnation. "Les interviews passées et à venir, et les déclarations de Piotr Verzilov sur les Pussy Riot sont au minimum illégitimes, et au pire des provocations et du mensonge", a ajouté Nadejda Tolokonnikova. L'affaire a eu un grand retentissement et provoqué de nombreuses réactions critiquant généralement une condamnation disproportionnée par rapport aux faits reprochés. Piotr Verzilov est notamment allé en septembre à New York recevoir au nom des Pussy Riot un prix décerné par la veuve de John Lennon, Yoko Ono. Interrogé par l'AFP, il s'est déclaré très surpris par la lettre signée par son épouse. "Je ne comprends pas", a-t-il dit. "Nous cherchons à découvrir comment (la lettre) est apparue". Ekaterina Samoutsevitch, membre du groupe libéré mercredi, s'est également déclarée étonnée, dans un entretien diffusé par la chaîne de télévision par internet Dojd. "Je suis étonnée", a-t-elle dit, "car lorsque nous nous sommes vues avec les filles dans le fourgon pénitentiaire, quand on nous emmenait au tribunal, nous n'avons pas parlé une seul fois de Petia (diminutif de Piotr, ndlr) Verzilov, ni d'un problème d'usurpation de l'activité du groupe". Un des avocats des deux jeunes femmes toujours emprisonnées, Nikolaï Polozov, a écrit sur Twitter avoir lui-même transmis la lettre. "C'est la décision de Nadejda et Maria", a-t-il écrit. Selon lui, les jeunes femmes ont reçu la visite la semaine dernière de trois autres avocats recrutés par Piotr Verzilov. "Il est possible que la lettre soit la conséquence de cette rencontre", a-t-il ajouté sans expliquer davantage. De nombreuses hypothèses ont été évoquées ces derniers jours, sur des pressions ou manipulations orchestrées ou non par les autorités, voire des luttes d'influence ou des jalousies dans l'entourage des jeunes femmes, après la libération surprise d'Ekaterina Samoutsevitch. Celle-ci avait d'abord rompu avec son avocat pour en prendre un nouveau et plaider qu'elle n'avait pas participé à la totalité des faits reprochés, une décision interprétée, malgré le démenti de l'intéressée, comme le fruit ou la source d'une scission au sein du groupe. Selon le défenseur des droits de l'homme Alexandre Podrabinek, les autorités "misent sur la jalousie, la rivalité, le soupçon d'entente avec le pouvoir, les vexations mutuelles et la défiance". "La tactique n'est pas nouvelle et elle a été testée longuement. Malheureusement, les nouvelles générations n'en ont pas suffisamment conscience", a poursuivi cet ancien dissident soviétique. Source : site Libération

Billets précédents sur les Pussy Riot

11 octobre 2012

Programmer pour ne plus fonctionner...

obsolescence

11 octobre 2012

La justice russe tente de briser l'unité des Pussy Riot

L'une des jeunes femmes accusées de blasphème a été relâchée. Les deux autres écopent de deux ans de prison.

Une jeune femme libre, fêtée par son père et ses amis, et bientôt assaillie par une meute de journalistes qu'elle s'empresse de fuir, sans une déclaration. C'est l'image que l'on retiendra du jugement en appel prononcé par le tribunal municipal de Moscou. Ekaterina Pussy_RiotSamoutsevitch n'a pas obtenu l'acquittement, mais voit sa peine ramenée à du sursis. «Je suis heureuse. C'est extrêmement positif», se félicite sa nouvelle avocate, Irina Khrounova. Sollicitée il y a une semaine pour reprendre le dossier, Me Khrounova a choisi in extremis de plaider «la différentiation»: sa cliente, dit-elle, avait bien l'intention de participer à la prière punk, mais n'a pas pu le faire, car, à peine arrivée sur les lieux, elle a été interpellée et évacuée de la cathédrale par le service d'ordre. Aux yeux des juges, la voici donc «moins coupable». Moins coupable que celles qui, hier matin encore, ont mis à profit l'audience pour se livrer à de nouveaux assauts contre Vladimir Poutine et l'Église orthodoxe russe. Très en verve, Maria Aliokhina ne s'est pas privée de railler le président russe: «Il considère que le nom de notre groupe est indécent. Je vais le traduire, c'est “la révolte des chattes”. Cela n'est pas plus indécent que ses appels à “buter ses ennemis jusque dans les chiottes”», a-t-elle lancé, faisant référence à l'injonction lancée par Vladimir Poutine aux soldats russes au début de la seconde guerre de Tchétchénie. Selon Nadejda Tolokonnikova, en les poursuivant de sa vindicte, le président russe «conduit le pays à la guerre civile».

Diviser pour mieux régner

Les avocats des deux militantes, qui, jusqu'au bout, ont choisi de soutenir cette ligne politique, ne se sont pas privés de railler la décision de la cour. «Ekaterina Samoutsevitch est restée 15 secondes devant l'iconostase. Nadejda Tolokonnikova et Maria Aliokhina sont restées 50 secondes. Nous ne comprenons pas bien la différence», s'étonne Me Nicolaï Polozov, l'un des avocats des deux militantes. Pour lui, ce jugement traduit donc un «jeu politique qui consiste à séparer les membres des Pussy Riot». De jure, les trois jeunes femmes sont toutes jugées coupables. Toutes trois vont poursuivre leur combat judiciaire, jusqu'à la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg. «Les filles sont très contentes, elles ont félicité Nastia (diminutif d'Ekaterina, NDLR). Leur amitié forgée dans la lutte va se poursuivre. Il n'y aura pas de schisme dans le groupe», veut croire Piotr Verzilov, le mari de Nadejda.

Mais, sur les écrans mondiaux, l'histoire n'est plus la même. En libérant Ekaterina Samoutsevitch, la justice déchire l'encombrante photographie de cette trinité anti-Poutine. Diviser pour mieux régner… Lassé par le scandale, le pouvoir russe reprend la main. source : Le Figaro

Voir mes précédents billets

7 octobre 2012

RAPPEL : Russie - le procès en appel des Pussy Riot repoussé au mercredi 10 octobre

pussy_riots_cagoules1Le procès en appel des membres du groupe Pussy Riot a été reporté au mercredi 10 octobre par la justice russe, une des jeunes femmes ayant annoncé avoir rompu avec ses avocats dès l'ouverture de cette audience, sur laquelle la défense ne fondait guère d'espoir. "Le renvoi demandé par Ekaterina Samoutsevitch est accepté. L'audience est reportée au 10 octobre", a annoncé la présidente du tribunal, après une suspension. Le procès avait commencé lundi matin 1er octobre sous protection policière renforcée, et en présence des trois jeunes femmes condamnées en août à deux ans de camp pour une "prière punk" anti-Poutine chantée en février dans la cathédrale de Moscou. Ekaterina Samoutsevitch, s'exprimant par microphone depuis une cage en verre, a annoncé avoir rompu avec ses avocats en raison de divergences, et se trouver actuellement sans défenseur. "Je ne partage pas leur vision du dossier judiciaire", a-t-elle dit. "J'estime inacceptable de poursuivre le procès si l'une d'entre-nous n'a pas de défenseur", a alors déclaré une autre des jeunes femmes, Maria Alekhina. La troisième, Nadejda Tolokonnikova, était vêtue d'un T-shirt avec l'inscription de la guerre civile espagnole No Pasaran ! (Ils ne passeront pas). Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, Ekaterina Samoutsevitch, 30 ans, et Maria Alekhina, 24 ans, ont été condamnées le 17 août à deux ans de camp chacune pour "hooliganisme" et "incitation à la haine religieuse". Leurs avocats avaient indiqué avant l'audience n'avoir que peu d'espoir de les voir libérées. "Elles sont déjà emprisonnées depuis sept mois, et elles seront de toutes façons reconnues coupables, car c'est une affaire politique", a déclaré l'avocat Mark Feïguine à la radio Echo de Moscou, ajoutant ne pouvoir espérer qu'une réduction de peine. Dans un entretien télévisé en septembre, le président Vladimir Poutine avait dénoncé leur "sabbat". "L'Etat recourra à toute la force de la loi pour défendre les sentiments religieux de nos concitoyens, nos valeurs nationales et religieuses face à toutes les tentatives de profanation et de blasphème", a de son côté déclaré lundi un de ses proches, le chef de l'administration présidentielle Sergueï Ivanov, cité par Ria Novosti. L'Eglise orthodoxe a jugé dimanche 30 septembre que les jeunes femmes ne méritaient la clémence que si elles se repentaient, ce qu'elles ont jusqu'à présent exclu. "Si l'on comprend comme repentir que les jeunes femmes reconnaissent leur culpabilité, alors il y a peu de chances que cela se produise", avait déclaré avant l'avocat Mark Feïguine, cité par Interfax. "S'il s'agit d'un repentir spirituel, alors c'est l'affaire personnelle de chacune", a-t-il ajouté. Un autre des avocats de la défense, Nikolaï Polozov, a accusé l'Eglise orthodoxe de "finasser" sur la question de l'indépendance de la justice. "J'estime que les représentants de l'Eglise finassent, car ils ne peuvent influer directement ou indirectement la justice, qui est indépendante", a-t-il indiqué. Une déclaration qui peut être considérée comme teintée d'une certaine ironie dans le contexte russe, où la justice est fréquemment accusée de prononcer des décisions dictées par le pouvoir. Dans un communiqué diffusé dimanche 30 septembre, l'Eglise orthodoxe avait répété qu'aucun acte "portant atteinte aux sentiments des croyants" ne pouvait "rester impuni". L'Eglise avait ajouté qu'elle souhaitait le "repentir" des trois jeunes femmes, et qu'elle souhaiterait dans ce cas la clémence de la justice. "Si des déclarations des condamnées témoignent de leur repentir, de leur prise de conscience de leurs actes, il serait souhaitable que cela ne soit pas ignoré", avait indiqué un porte-parole de l'Eglise orthodoxe, à la veille du procès en appel. Lundi 1er octobre, des manifestants pro et anti-Pussy Riot se sont fait face devant le tribunal, en présence d'importantes forces de police. Des militants orthodoxes ont mimé, à genoux, une prière, tandis que leurs opposants entonnaient des chansons du groupe contestataire. Source : Nouvel Observateur

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7 octobre 2012

Pollution

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Just because you can't see it, doesn't mean it isn't here.

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