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Jours tranquilles à Paris

22 mai 2016

Périscope - ELLE Japan

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22 mai 2016

A Cannes et mercredi prochain en salles : "Elle" de Paul Verhoeven avec Isabelle Huppert

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22 mai 2016

Vu dans la rue - 27 mai ?

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22 mai 2016

Morbihan - La semaine du golfe

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22 mai 2016

Extrait d'un shooting - mode

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22 mai 2016

NOBUYOSHI ARAKI « POLANOGRAPHY »

La galerie &co119 est heureuse de présenter l’exposition «Polanography» des photographies de Nobuyoshi Araki en parallèle avec la grande rétrospective de l’œuvre d’Araki au Musée Guimet. L’exposition présentera 132 pièces réalisées à partir de Polaroids, une technique qui a joué un rôle majeur dans la pratique de l’artiste.

Pour cette exposition, Araki a choisi d’utiliser ses photographies comme matière première. En coupant une série de ses Polaroids en deux pour pouvoir assembler de nouvelles images composées, Araki crée une série d’images hybrides oscillant entre les thèmes centraux d’Eros et de Thanatos (la mort) si importantes dans son œuvre. Ces « polanographies » explorent la forme féminine de manière surprenante, en combinant les corps et les perspectives.

Le titre de la série, « Polanography », illustre aussi le penchant d’Araki pour les jeux de mots. Le titre est une contraction de « Polaroid » et de « pornographie », une construction qui est phonétiquement très similaire à la prononciation du mot « pornographie » en japonais. Comme les images elles-mêmes, Araki a inventé le terme « polanography » en découpant et en recomposant ces deux termes pour donner un sens nouveau.

Ce désir de modifier l’objet photographique est présent dans plusieurs séries récentes de l’artiste : des images partiellement noircies dans la série « Love on the Left Eye » suite à la perte partielle de sa vision jusqu’aux négatifs rayés des images réalisées après les catastrophes nucléaires de Fukushima en mars 2011.

Les titres alternatifs attribués par Araki à cette série de Polaroids hybrides, « Arakiri » et « Kekkai », révèlent aussi l’importance que l’artiste accorde à la tradition, des pratiques de bondage traditionnelles du kinbaku aux représentations du sexe et du corps féminin dans le shunga, l’art érotique japonais du XIXe siècle.

« Arakiri », une contraction de Araki et de hara-kiri - qui se traduit littéralement par couper le ventre - se réfère à la pratique rituelle du suicide par éventrement pratiqué par les samouraïs japonais. Traditionnellement réservé aux hommes, avec ces images Araki transpose la pratique à la femme, en resituant le centre du corps non pas sur l’abdomen, mais sur le sexe.

Quant à « Kekkai », celui-ci se réfère à la frontière sacrée créée autour des temples bouddhistes japonais pour séparer le monde profane extérieur du sanctuaire du temple. Araki traduit cette idée à la ligne séparant les deux moitiés de chaque tirage, accentuant l’idée de la confrontation de deux corps, deux instants, deux mondes.

L’un des artistes contemporains les plus prolifiques travaillant avec la photographie, avec « Polanography » Araki révèle sa volonté de continuer à développer des approches nouvelles qui restent néanmoins profondément ancrées dans la tradition japonaise.

GALERIE &CO119       

119 RUE VIEILLE DU TEMPLE

75003 PARIS

Jusqu'au samedi 25 juin 2016

Tous les jours de 12h00 à 19h00

22 mai 2016

Ce soir.... et la Palme d'Or est attribuée au film.... ????

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22 mai 2016

Extrait d'un shooting - topless en salopette

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21 mai 2016

Fête de la Bretagne ce week-end à Paris 15

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21 mai 2016

Etel : Drame Bombard. Une relique retrouvée à Groix

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Mené par Guy Tonnerre, l'équipage groisillon a remis à celui du « Patron-Emile-Daniel » le tableau portant les lettres du nom du « Vice-Amiral-Schwerer », récupérées de l'épave suite au drame Bombard et confiées alors à Pierre Tonnerre, de la station de sauvetage de Groix, par Alexandre Le Formal, un des rescapés.

Apporté tel une relique ? ce qu'il constitue, en vérité ?

Un panneau portant le lettrage de laiton du « Vice-Amiral-Schwerer », le canot de sauvetage naufragé lors du drame Bombard, en 1958, a été remis jeudi par une délégation de sauveteurs et historiens de Groix à l'équipage du canot « Patron-Emile-Daniel ». Une remise emprunte de solennité, mais aussi de la fraternité entre marins de Groix et d'Etel. « Juste après le naufrage du "Vice-Amiral-Schwerer", avant que l'épave ne soit brûlée, Alexandre Le Formal, mécanicien, seul rescapé de l'équipage avec Bernard Trahan, récupéra les lettres qui marquaient le nom du canot sur son côté tribord. Il les confia en souvenir à mon père, Pierre Tonnerre, patron du "Grussenheim-Alsace", le canot de Groix », rapportait Guy Tonnerre, lui-même ancien sauveteur à Groix (il en fut le président) et historien. Et de rappeler que, le 3 octobre 1958, le "Grussenheim-Alsace" avait été mis à l'eau à 11 h 15 pour se rendre sur la barre d'Etel au secours des victimes de la tragique expérience du Dr Bombard. « Vu l'état de la barre, ils ont dû assister, sans pouvoir intervenir, à l'agonie du "Vice-Amiral-Schwerer" et de son équipage. À 15 h 40, ils ont eu ordre de rentrer à Groix. Mon père était un ami d'Émile Daniel, le patron, et des frères Le Formal. J'avais 7 ans ; quand je suis rentré, j'ai vu mon père pleurer la mort de ses amis. Quelques jours plus tard, il passait le relais du canot ». Ce drame avait marqué si fortement les Groisillons qu'ils ont laissé leurs indemnités de sauvetage pour aider à la construction du nouveau canot d'Etel, le « Patron-Emile-Daniel ».

Retrouvé dans un établi

Le lettrage du canot naufragé, Guy Tonnerre l'a retrouvé dans un tiroir de l'établi de son père. « Leur place est ici, à Etel. Pour rappeler l'amitié entre nos deux stations, on les rapporte à Alexandre Le Goff et à son équipage du " Patron-Emile-Daniel" pour qu'elles soient ici, dans ce lieu sacré qu'est l'abri du canot de sauvetage ». En insistant sur cet aspect et en saluant le double classement aux Monuments historiques du canot d'Etel et de l'abri, Guy Tonnerre regrettait qu'à Groix, l'abri ait été transformé en salle des fêtes. En plus de cette remise, Jo Le Port, de la délégation de Groix, fureteur de vieux grimoires, a remis au musée des Thoniers une collection qu'il a retrouvée d'actes de francisation de navires d'Etel. « Les plus anciens sont sur peau de bêtes », précisait Alexandre Le Goff. Source : Le Télégramme

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