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Jours tranquilles à Paris

3 janvier 2015

Celia Shapiro (à découvrir)

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3 janvier 2015

Extrait d'un shooting - fétichisme

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3 janvier 2015

EMERGING ARTISTS : Joseph Desler Costa

3 janvier 2015

A quand la Wi-Fi dans les trains français ?

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Pourra-t-on bientôt surfer librement sur Internet pendant notre trajet Paris-Lille ou Lyon-Marseille ? La secrétaire d’État chargée du Numérique Axelle Lemaire indiquait vendredi matin que la SNCF lancera un appel d’offres pour proposer un accès Wi-Fi dans les TGV. Une technologie complexe et coûteuse, qui fonctionne pourtant chez nos voisins européens.

Pourra-t-on bientôt surfer librement sur Internet pendant notre trajet Paris-Lille ou Lyon-Marseille ? La secrétaire d’État chargée du Numérique Axelle Lemaire indiquait vendredi matin que la SNCF lancera un appel d’offres pour proposer un accès Wi-Fi dans les TGV. Une technologie complexe et coûteuse, qui fonctionne pourtant chez nos voisins européens.

L’échec du TGV Est

Le 1er décembre 2010, la SNCF lançait l’offre BoxTGV : un accès à Internet en haut débit testé en premier lieu sur le réseau entre Paris et l’Est de la France (Reims, Strasbourg, Nancy…) et facturé 4,99 € l’heure. La société ferroviaire envisageait alors de généraliser cette initiative. Mais, en 2013, à une question écrite de Lionel Tardy, député UMP de Savoie, le ministère des Transports répondait qu’en raison des exigences techniques, « équiper un TGV en Wi-Fi requiert, du fait de la vitesse du train, la mise en œuvre de solutions plus élaborées que celles utilisées pour équiper un lieu public ». Il précisait qu’en raison de ces coûts une offre Wi-Fi déployée sur tout le réseau à court terme n’était pas envisageable.

L’argument du prix est la principale défense de la SNCF face aux demandes parfois pressantes des usagers, voire de la ministre du Numérique, Axelle Lemaire, qui en octobre, twittait : « Toc toc toc, la SNCF : on peut se voir pour discuter wifi dans le train ? » L’entreprise estime qu’équiper sa flotte en Wi-Fi lui coûterait 350 000 € par rame et il y a plus de 450 rames dans le parc TGV…

La SNCF avait tenté d’équiper le réseau TGV Est de Wi-Fi en 2010, mais l’équipement a été abandonné car trop cher. (Photo : Sébastien Bozon/AFP)

Des obstacles techniques

De fait, équiper un train en connexion Wi-Fi est complexe et il existe plusieurs possibilités. Les TGV de l’Est de la France avaient opté pour un système satellitaire mais d’autres sociétés ont développé des solutions de connexion Wi-Fi via le réseau terrestre. Pour chacun des deux systèmes, le problème principal est la vitesse du train.

Un train qui veut distribuer un réseau Wi-Fi à ses voyageurs doit disposer d’un routeur avec des modems qui captent les signaux d’un réseau, les lisent pour les retransmettre à des points d’accès (hotspot). Ce qui est compliqué c’est la maîtrise et le contrôle du signal des réseaux dans un train qui roule à 320 km/h. Plus il roule vite, moins la captation du signal est possible.

Le train Thalys, qui relie Paris à Bruxelles, s’est équipé du Wi-Fi en 2005. Dix ans plus tard, Thalys cherche à renforcer sa connectivité. (Photo : DR)

Compliqué mais pas impossible

Mais comparée à ses voisins européens, la France a un train de retard. Car d’autres sociétés ferroviaires ont équipé leurs trains de connexions Wi-Fi qui fonctionnent comme la Norvège, la Suède, le Royaume-Unie ou l’Italie.

Parmi les fournisseurs de cette nouvelle technologie, la société britannique Nomad Digital qui va équiper les nouveaux trains Eurostar (Paris-Londres). « Nomad se base sur le réseau terrestre et pas satellitaire, détaille Olivier Bourhis, directeur France de Nomad Digital. Les antennes installées sur les trains captent en anticipation le signal des bornes d’Orange, de SFR ou de Bouygues. » Nomad Digital compte bien s’appuyer sur le marché du réseau terrestre en plein boom : la preuve, il est déjà tourné vers la 5G.

« C’est une technologie compliquée et longue à mettre en place, admet cependant Olivier Bourhis Mais c’est moins cher que le satellite. En fonction du contrat, on pourrait proposer notre système pour200 000 € par train pendant quatre ans à la SNCF », assure-t-il. Nomad a déjà fait des tests avec la SNCF et entend bien répondre à l’appel d’offres qu’elle va lancer.

D’ici deux ans en France ?

En Europe, le principal concurrent de Nomad Digital est le Belge 21net. Celui-ci avait d’ailleurs été choisi par Thalys, le train reliant Paris à Bruxelles, pour l’équiper en Wi-Fi en 2007. Chez Thalys, la lenteur de la connexion est souvent critiquée. Mais une nouvelle entreprise a été embauchée il y a quelques semaines pour la renforcer. 2015 devrait voir donc naître un meilleur accès à Internet du côté de la ligne Paris-Bruxelles.

Quant au reste du réseau en France, après l’échec du TGV Est, la SNCF va jouer la carte de la prudence. Mais elle assure qu’elle y travaille et présentera son plan numérique en février. La Wi-Fi dans les trains français, d’ici deux ans peut-être ?

3 janvier 2015

Quelques événements marquants de 2014...

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3 janvier 2015

Conseil Constitutionnel

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3 janvier 2015

Et vous, c'est comment ?

Les modèles c'est "French Bikini Wax" ou "Hollywood Wax"...

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2 janvier 2015

Vu près du Centre Pompidou

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2 janvier 2015

Mario Testino (photographe)

TASHA TILBERG STANDING TWO METRES TALL IN MY NEW EXHIBITION. SHOT IN PARIS, 1997. CARINE ROITFELD AND I WORKED A LOT TOGETHER IN THE 90'S AND THIS IS ONE OF MY ALL TIME FAVOURITES OF THAT PERIOD. WE WERE ALWAYS PUSHING OUR BOUNDARIES.

‪#‎MarioTestino‬ ‪#‎InYourFace‬ ‪#‎Exhibition‬ ‪#‎Berlin‬ 20.01.15 - 26.07.15.SWAROVSKI

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2 janvier 2015

Comme ça c'est dit !

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