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Jours tranquilles à Paris

30 novembre 2014

LUI est paru avec Laetitia Casta an couverture - Shooting de Mario Sorrenti (photographe)

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30 novembre 2014

Nicolas Sarkozy président de l'UMP : pourquoi c'est une mauvaise nouvelle pour le parti (analyse de Francetv info)

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La Une de Ouest France de ce matin

 

Nicolas Sarkozy président de l'UMP : pourquoi c'est une mauvaise nouvelle pour le parti (analyse de Francetv info)

L'ancien chef de l'Etat a remporté l'élection à la présidence de l'UMP. Francetv info vous explique pourquoi sa victoire est une mauvaise chose pour sa famille politique.

Fin de partie. Comme prévu, Nicolas Sarkozy est parvenu à s'emparer de la présidence de l'UMP, samedi 29 novembre. Les militants ont décidé d'accorder leur confiance à l'ancien président, plutôt qu'à Bruno Le Maire ou Hervé Mariton. Mais Nicolas Sarkozy dans le fauteuil du président de l'UMP, est-ce vraiment le meilleur des scénarios pour la droite ? Francetv info vous démontre que l'UMP n'a peut-être pas fait le bon choix.

Sarkozyste convaincu, vous n'êtes pas d'accord avec cette analyse ? Pas de problème : comme un peu de mauvaise foi n'a jamais fait de mal à personne, nous vous expliquons dans un autre article pourquoi Nicolas Sarkozy président de l'UMP, c'est une bonne nouvelle pour le parti.

Il ne fera pas l'unanimité dans son camp

Le messie n'a pas fait de miracles. A l'annonce de son retour, les soutiens de Nicolas Sarkozy annonçaient un vaste rassemblement derrière leur champion. Mais le scénario était trop beau. L'ancien président a rencontré l'hostilité d'un nombre conséquent d'élus. Une centaine de parlementaires UMP ont rejoint le camp de Bruno Le Maire ou d'Hervé Mariton dans la bataille pour l'UMP.

Au risque de passer pour des ingrats, certains n'hésitent plus à dire ouvertement du mal de l'ancien chef. Répliquant à une attaque de son ancien leader, son ancien ministre de la Santé Xavier Bertrand lâche froidement : "Qui est-ce qu'il aime, à part lui ?" C'est un fait, Nicolas Sarkozy ne fait plus peur à ses anciens disciples.

Plus grave encore, ses propres troupes osent désormais contredire le chef. "Il y a quand même un problème d'autorité quand je vois ses soutiens exprimer leurs désaccords après le meeting de Sens commun [pendant lequel Nicolas Sarkozy a exprimé sa volonté d'abroger la loi Taubira]", souligne le député Franck Riester, soutien de Bruno Le Maire. Le candidat Sarkozy a promis de rassembler sa famille en mettant fin aux courants et aux chapelles au sein de son parti, mais il reste toujours aussi clivant. "Il prétend dépasser les clivages tout en tenant des discours très à droite", n'a pas manqué de critiquer son rival Hervé Mariton pendant sa campagne.

Il va s'engager dans une guerre des chefs

Nicolas Sarkozy se rêvait en homme providentiel, il reste pour l'instant un chef de clan. Prendre du recul peut s'avérer salutaire dans une carrière politique, mais dans le cas de Nicolas Sarkozy, ses deux ans d'absence ont obligé la droite à se débrouiller sans lui. Ses concurrents se sont organisés et les ambitions ont émergé. L'ancien président doit désormais composer avec François Fillon, Alain Juppé ou même Xavier Bertrand, tous candidats à la primaire 2016, l'élection qui doit désigner le candidat de droite pour la présidentielle de 2017.

"Je ne crois pas au rassemblement derrière lui, on aura la guerre des chefs et l'UMP sera incapable de parler d'une seule voix", prédit ainsi Franck Riester. Une bataille des egos qui menace l'unité de la droite républicaine, selon Jean Petaux, politologue à Sciences Po Bordeaux : "Il ne faut pas exclure un nouvel affrontement fratricide entre deux leaders de l’UMP. Il est possible que la violence soit telle que la situation ne soit pas récupérable." Les souvenirs de la guerre Chirac-Balladur en 1995 restent dans les mémoires de droite. Une telle division face à un Front national en pleine ascension pourrait priver la droite républicaine de second tour.

Le risque de dissensions est d'autant plus fort que le projet de Nicolas Sarkozy pour l'UMP agace certains barons de sa formation. Bruno Le Maire s'oppose catégoriquement au changement de nom du parti, tout comme il rejette l'idée d'une fusion avec l'UDI. "Nicolas Sarkozy doit comprendre qu'il n’est plus le patron incontesté et que s'il tombe dans la dérive d'un pouvoir fort, ça ne passera pas auprès des autres ténors de l'UMP", prévient Jean Petaux.

Il ne sera pas concentré sur le parti

Hervé Mariton et Bruno Le Maire ont tous deux axé leur campagne sur cet argument. Selon eux, Nicolas Sarkozy ne peut pas être un bon président de parti en étant focalisé sur 2017. Difficile effectivement de développer un nouveau projet pour la France tout en s'occupant de la refondation du parti.

"On va se retrouver avec un président de l'UMP ancien président de la République et candidat à la primaire, donc avec une gestion de l'opposition assez difficile", s'inquiète le député juppéiste Benoist Apparu. Concentré sur les primaires de 2016, Nicolas Sarkozy risque de peiner à remettre les mains dans le cambouis de la politique de parti. Difficile, par exemple, de l'imaginer une fois par semaine sur les plateaux des chaînes d'information en continu pour assumer son rôle de chef de l'opposition.

Il pourrait faire perdre la droite

Nicolas Sarkozy serait-il devenu un "loser" ? Pour beaucoup, la défaite de 2012 n'est pas encore digérée. "J’entends beaucoup dire qu'il reste une bête politique, qu'il est incontestable, mais je rappelle qu'on a perdu sur fond d’antisarkozysme en 2012", taclait le député UMP Thierry Lazaro au moment du retour de l'ancien président.

Considéré comme l'homme de la défaite, Nicolas Sarkozy est aussi empêtré dans les affaires judiciaires. Le danger vient surtout de l'affaire des écoutes, dans laquelle l'ancien pensionnaire de l'Elysée a été mis en examen pour corruption active, trafic d'influence actif et recel de violation du secret professionnel.

Usé, Nicolas Sarkozy ? Lui qui avait su imposer une image de modernité politique n'a pas réussi, pendant sa campagne pour la présidence de l'UMP, à se renouveler. "On a assisté à un remake de 2004, de 2007 ou de 2012, c'est le même acteur, le même filon, la même mise en scène un peu vieillotte", regrette le député Franck Riester.

L'ancien champion de la droite n'a pas non plus brillé par la nouveauté de ses idées, ni par la constance de son discours. Il a donné l'impression d'adapter ses propositions en fonction de son auditoire. Très à droite à Nice, il s'est montré plus centriste dans l'Aube, par exemple. "Son côté versatile est frappant. Au meeting de Sens commun, il a peut-être cédé un peu vite devant la foule, ce qui n'est jamais très bon pour l'éthique de conviction", analyse Jean Petaux. Article de Clément Parrot

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30 novembre 2014

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30 novembre 2014

Tous tatoués !

A voir sur ARTEplus7          

Comment le tatouage est-il passé d'une pratique marginale à un phénomène de masse ? Ce film met en perspective une pratique à la frontière du rituel, de l'œuvre d'art et du phénomène de société.

Signe extérieur de hardiesse des prostituées, des bagnards et des marins, propagé par les cultures marginales, des rockers aux punks, le tatouage marquait, jusqu’à une époque récente, l'appartenance à un groupe opposé à l'ordre établi. Qu'en est-il de ce pouvoir subversif et contestataire, quand il s'affiche désormais sur toutes les peaux ? Comment interpréter ce déplacement de la marge aux masses, de l'underground au mainstream ? Que traduit ce désir de tatouage ? En nous emmenant à la découverte des principaux maîtres du tatouage, des tendances anciennes ou avant-gardistes, le documentaire nous dévoile un monde encore sulfureux, où les corps s'exposent pour mieux se cacher et où la création se fait au prix de la douleur et du sang. Car cet art paradoxal, à la fois élitiste et populaire, pérenne et fragile, esthétique et mutilant, porte à son paroxysme les contradictions qui traversent notre société, ainsi que chaque individu.

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30 novembre 2014

Calendrier Pirelli 2015 par Steven Meisel...

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30 novembre 2014

Alcool, drogue et création : Lars Von Trier passe à confesse

Le réalisateur danois Lars Von Trier, 58 ans, passe à confesse dans le quotidien danois Politiken, rapporte le Guardian. Dans cet entretien, le réalisateur de Breaking the Waves, Les Idiots, Antichrist, Melancholia et Nymphomaniac dit qu'il n'est plus accro à la drogue et qu'il se rend tous les jours à des réunion des Alcoolique anonymes.

C'est sa première interview depuis qu'il avait décidé, en 2011, de ne plus s'exprimer en public ni d'accorder d'interviews, conséquence de son exclusion de la 64e édition du festival de Cannes pour avoir déclaré, sous forme de boutade, être un sympathisant nazi et « comprendre » Adolf Hitler.

« PAS DE STONES OU D'HENDRIX SANS BEUVERIE OU HÉROÏNE »

Le réaslisateur, connu pour son combat contre la dépression, explique que toute son œuvre a été réalisée sous l'emprise de l'alcool ou de la drogue. Il affirme que la consommation d'une bouteille de vodka lui permettait d'entrer dans « l'univers parallèle dans lequel il a eu beaucoup de plaisir » nécessaire à la création. Et cesser de consommer de l'alcool et de la drogue pourrait l'entraîner à réaliser des « films de merde ».

« Je ne sais pas si je pourrai encore tourner, cela m'inquiète. Rien de créatif n'a jamais été réalisé par d'ancien alcoolique et d'ancien drogués. Qui s'intéresserait à un disque des Rolling Stones ou de Jimi Hendrix s'ils n'avaient pas été enregistrés dans une atmosphère de beuverie ou sans l'influence de l'héroïne ? »

Dans cet entretien, on apprend que l'écriture de Nymphomaniac a duré dix-huit mois, pendant lesquels il a été sobre, tandis que celle de Dogville,ne lui a pris que douze jours de consommation effrénée de drogue.

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30 novembre 2014

Male sex dolls with interchangeable parts - No comment !

ça aussi.... ça existe !

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Voilà enfin l’homme-jouet sexuel

Mesdames, messieurs, une grave injustice vient enfin d’être réparée dans l’univers impitoyable des sex dolls… Et on dit merci à la société Sinthetics qui a su rétablir l’équilibre des forces en matière de partenaires en plastoc. Désormais, plus obligé de se carer Jean-Paul le hipster ou Max le camionneur. Pour tes longues soirées d’hiver, tu peux en effet pour un paquet de $$$ prendre du plaisir avec LE MALE SEX DOLL.

29 novembre 2014

Nicolas Sarkozy : "Ce vote marque un nouveau départ pour notre famille politique"

Sans surprise, Nicolas Sarkozy sort vainqueur du scrutin, dès le premier tour. L'ancien chef de l'Etat a remporté, samedi 29 novembre, l'élection pour la présidence de l'UMP, avec 64,5% des suffrages. Il devance ses adversaires Bruno Le Maire et Hervé Mariton, qui récoltent respectivement 29,18% et 6,32% des voix. "Le temps est désormais venu de passer à l’action", prévient le nouveau président de l'UMP sur Facebook.

29 novembre 2014

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29 novembre 2014

Vandalisme. Les portraits des Femen lacérés au CAP de Brest

La série de Vincent Gouriou consacrée aux activistes féministes a été vandalisée, mercredi au Centre Atlantique de la Photographie, au Quartz. Un acte non revendiqué.

« Les Femen m'avaient prévenu : nous avons beaucoup d'ennemis. Attendez-vous à être critiqué, voire pire... » Le photographe Vincent Gouriou n'a donc pas été très surpris par la mauvaise nouvelle : mercredi après-midi, trois de ses portraits consacrés aux activistes féministes ont été vandalisés, leurs visages lacérés, dans la galerie du Centre Atlantique de la Photographie, au Quartz.

« Ce n'est certes pas un acte gratuit, réagit, devant « cet incident sans précédent et non revendiqué », François-Nicolas L'Hardy, directeur du CAP et commissaire de l'expo La Vague #2, où est présentée, depuis début novembre, la série des Femen: « Les photos endommagées des Femen seront vite remplacées. Nous soutenons sans réserve le travail et l'engagement de Vincent Gouriou. »

Les Femen, qui utilisent leur corps et leur nudité comme arme pacifique, ont contacté le talentueux photographe brestois, remarqué pour ses portraits intimes ou différents, après son exposition au Centquatre à Paris: « Même si je ne me reconnais forcément dans leurs actions, je les rejoints sur leurs messages. Et ça me fait plaisir de les faire passer. En les photographiant, je prends parti, c'est ma façon de les soutenir. Artistiquement, je parle souvent de genre, d'identité sexuelle. Le féminisme en est une inspiration essentielle. »

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