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Jours tranquilles à Paris

8 novembre 2014

"Good Bye Lenin" - dans le cadre du 25ème anniversaire de la chute du mur de Berlin. Un excellent film à (re)voir


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8 novembre 2014

Extrait d'un shooting - portrait en mode Halloween...

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8 novembre 2014

Jacquemus...

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7 novembre 2014

Nicolas Sarkozy, en meeting à Paris, veut bâtir un "parti de la France", tendu vers la République

UMP - Nicolas Sarkozy entend "tout remettre à plat" à l'UMP, mouvement fourbu dont il brigue la présidence, pour bâtir "le parti de la France", qu'il veut rassembleur, ouvert au débat et tendu vers "la République". "République". Un mot qu'a martelé près de 80 fois l'ex-chef de l'Etat vendredi lors de grand meeting parisien, au Palais des expositions de la Porte de Versailles. Cette République, a-t-il dit, est incompatible avec le communautarisme. Dans cette République, "il n'y a qu'une seule communauté qui vaille, c'est la communauté nationale". Multipliant les références à de Gaulle, l'ex-chef de l'Etat a parlé Nation, identité, laïcité, fermeté, refus de l'assistanat, tout au long de ce dixième meeting de campagne, devant un public conquis. 2700 places assises, toutes occupées, des entassements dans les allées latérales: ils étaient 5000, selon les organisateurs à applaudir leur champion, favori du scrutin UMP par Internet du 29 novembre dans lequel il affronte les ex-ministres Bruno Le Maire et Hervé Mariton.

Bernadette Chirac ovationnée

Dans les premiers rangs, deux de ses ferventes supportrices, Bernadette Chirac –"grande dame" qu'il a fait ovationner– et son épouse, Carla Bruni-Sarkozy. Autour d'elles, outre le porte-parole, Gérald Darmanin, une forte délégation de la turbulente droite parisienne, de la députée Nathalie Kosciusko-Morizet au sénateur Pierre Charon. Et aussi des fillonistes qui le soutiennent pour reprendre l'UMP, Eric Woerth ou Valérie Pécresse, et ses inconditionnels, Patrick Balkany et Nadine Morano. Dans un discours de cinquante minutes où l'on reconnaissait la patte d'Henri Guaino, présent dans la salle, Nicolas Sarkozy a détaillé les facettes de "sa" République, sans cesse opposée à la vision de l'exécutif de gauche, jamais nommé, toujours désigné comme responsable de la "France qui sombre". La République, c'est "la souveraineté du peuple", c'est "le recours au référendum", et "quand on délaisse la pratique référendaire, on abandonne une partie de la République", a lancé Nicolas Sarkozy. La République "réclame l'assimilation", elle "est incompatible avec l'assistanat". Ceux "qui n'éprouvent pas la fierté d'être français", ceux-là "abîment la République!", a-t-il martelé. A François Hollande qui avait ironisé jeudi soir sur TF1 sur sa soif de candidature, Nicolas Sarkozy a rétorqué, sans nommer le président, que le mot République signifie pour lui "le refus de la mise en scène de l'impuissance de la politique, comme celle que les Français ont vue hier soir".

Il ne se dévoile pas pour 2017

Mais pour lui, il ne faut pas confondre les échéances: "à ceux qui attendraient que je dévoile mes intentions pour l'élection présidentielle de 2017, je veux dire: chaque chose en son temps", a déclaré l'ex-chef de l'Etat. C'était, selon son entourage, "un moment important de la campagne" dont l'enjeu semble être l'ampleur de sa victoire. Ses amis tablent sur environ 65%. Les plus récents sondages ont cependant montré un net recul de sa cote de popularité, y compris parmi les sympathisants de droite. "Le pire pour Sarkozy serait de faire un score de maréchal", veut convaincre un de ses amis députés, conscient que son champion n'est pas en mesure d'égaler son score de 2004, quand il avait pris le parti pour la première fois avec 85%. Nicolas Sarkozy s'est contenté de dire qu'il voulait faire émerger une "grande formation politique moderne qui ne sera pas qu'une force d'opposition, mais de proposition, d'imagination". En revanche pas de détail sur les changements qu'il souhaite (nom, organisation, fonctionnement), pour remettre en ordre un parti divisé, entaché par l'affaire Bygmalion et ses six mises en examen dont un proche de Nicolas Sarkozy, Éric Cesari. "Le vote sera notre mode de fonctionnement", a-t-il simplement assuré. Prochain but: aborder en force les élections de 2015, départementales en mars, régionales de décembre. Des victoires conforteraient Nicolas Sarkozy dans ses ambitions pour la suite : gagner l'investiture de son camp en vue de 2017. Ce qui passera, a-t-il redit, par des primaires. "Quand on prend le parti, on a le micro, la lumière, les finances et les investitures. Ça aide à fabriquer son armée", résume l'un de ses amis. Source : Site Huffingtonpost

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7 novembre 2014

Chute du mur de Berlin: 8000 ballons illuminés sur le tracé de la frontière

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7 novembre 2014

BERLIN : 25ème anniversaire de la chute du mur de Berlin

Le 9 novembre 1989, le mur qui avait divisé Berlin vingt-huit ans durant chutait, ouvrant la voie à la réunification de l'Allemagne et à la fin de l'URSS. Pour fêter comme il se doit ce quart de siècle historique, la capitale allemande a décidé d'ouvrir les célébrations dès aujourd'hui. Une chaîne de 8 000 ballons illuminés, longue d'une quinzaine de kilomètres, sera ainsi installée sur le tracé de l'ancien Mur, de la Bornholmer Strasse au Reichstag et la porte de Brandebourg, en passant par la Potsdamer Platz et l'ancien poste frontière Checkpoint Charlie. Une exposition sera également présente tout au long du parcours, retraçant des événements marquants de l'histoire du Mur ou des anecdotes moins connues. Le plus gros des festivités aura toutefois lieu dimanche, avec une cérémonie en présence de la chancelière Angela Merkel et une série de concerts, dont celui de l'orchestre de l'opéra de Berlin.

7 novembre 2014

Taux de glycémie....la courbe fait du yoyo

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7 novembre 2014

Helmut Newton (photographe)

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7 novembre 2014

Exposition : Raymond Depardon au MuCEM

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7 novembre 2014

Guido et les femmes en argent... à découvrir

Italien installé en Californie, Guido Argentini a passé plus d’une décennie à photographier des femmes, généralement des artistes ou sportives (danseuses, gymnastes), entièrement nues et couvertes des pieds à la tête d’une peinture (un genre de maquillage plus précisément) argentée faisant ressortir en pleine lumière chaque nuance de leur corps. Le résultat en est ce livre, Argentum… Et ce texte, qu’il nous a envoyé et que nous reproduisons ici avec plaisir :

« J’ai toujours trouvé que la photographie était trop proche de la réalité. La peinture et la sculpture vous autorisent à faire un travail plus abstrait à partir du visage humain. Les aquarelles de Rodin, ses ébauches de danseurs en position érotique et dynamique, et les bronzes abstraits et polis de Brancusi sont ma plus grande source d’inspiration.

« Les déesses, symboles des femmes et de la vie, ont été complètement bannies des religions monothéistes. »

J’ai donné à chaque image un titre, le nom d’un dieu ou d’une déesse de différents cultes et religions : grecs, égyptiens, celtiques, et beaucoup d’autres. Ce livre est, une fois encore, un hommage aux femmes. Avec la montée en puissance des religions monothéistes, les rôles importants joués par les femmes dans les cultes anciens ont disparu. Les déesses, symboles des femmes, créatrices de la vie, ont été complètement bannies des religions monothéistes actuelles. En attribuant des noms de déesses à mes photographies, je rends hommage à leur beauté et leur spiritualité.

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Voir mon précédent billet sur ce photographe

Site de l'artiste en cliquant ICI

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