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Jours tranquilles à Paris

28 septembre 2014

Fashion Week de Paris 2014

A l’occasion de la "Fashion Week" parisienne, ARTE propose un défilé de documentaires inédits consacrés à la mode et aux plus grands créateurs le week-end des 27 et 28 septembre. La top-model Nadja Auermann présentera, du haut de ses jambes interminables, l’ensemble de cette programmation fashion.

• Louboutin : Samedi 27 à 22h35

Marilyn a dit un jour "Donnez à une femme les bonnes chaussures, et elle pourra conquérir le monde". C’est exactement ce qu’a réalisé Christian Louboutin. Il est aux pieds des plus belles femmes du monde.

• Balmain, Olivier Rousteing, des amazones, du cuir et Rihanna : Dimanche 28 à 17h35

La patte de Rousteing c’est du cuir, du cuir, du cuir qu’il travaille comme si c’était du coton, le tout agrémenté de passementerie ou bien de cordes. La femme Balmain est une guerrière en ceinturon, une amazone aérodynamique, une conquérante harnachée, personnifiée à merveille par Rosie Huntington Whiteley, ou l’astre barbadien Rihanna.

Le diable qui s’habille en Prada, c’est ELLE : Diana Vreeland : Dimanche 28 à 22h45

"Je déteste le narcissime mais j’approuve la vanité" - Le diable qui s’habille en Prada, c’est ELLE ! Sauf que Prada n’existait pas encore à l’époque où Diana Vreeland réinventa le métier de rédactrice de mode.

jour d'avant

"Le jour d’avant" extraits de la collection de films de Loïc Prigent

Vous aimez les films de Loïc Prigent, vous en redemandez ? Voici un florilège des meilleurs moments de la série du Jour d’avant avec Alber Elbaz, Sonia Rykiel, Isabel Marant, Karl Lagerfeld, Jean Paul Gaultier.

"Pourquoi ne pas nous balader simplement à poil ?"

Nous avons interviewé l'un des protagonistes de la série documentaire "Berlin - A l’école de la mode" Jan-Philipp Gerlach.

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Jan-Philipp s'est aussi prêté au jeu du surcyclage pour notre grand jeu concours "Fully Fashioned".

Un Tracks special Mode! Samedi 27 à 00h25

Des habits qui servent à se couvrir et à être beau ? Ahhh, c'est so twenty century !

Avec les artiste Melissa Coleman, Di Mainstone, Olivier Nourisson de Fashion Garage entre autre...

100 ways to use a bra

Et un nouveau concours de créativité s'ouvre ce week-end ! Le soutien-gorge va bientôt fêter ses 100 ans. Une programmation spéciale est prévue fin novembre. En attendant nous vous invitons à réfléchir aux multiples fonctions que peut adopter un soutien-gorge : genouillère, pot de fleur, masque à gaz...

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28 septembre 2014

Christian Louboutin

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Revoir le reportage en cliquant ICI

28 septembre 2014

Fashion Week sur ARTE....

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28 septembre 2014

"Mondial de l'Automobile"

Le 4 octobre prochain, le Mondial de l’Automobile de Paris ouvrira ses portes. Retour sur un évènement que la Capitale accueille depuis... 1898 !

1.231.416 visiteurs, 12.000 journalistes, plus de 270 marques réunies pour présenter une centaine de nouveautés, le tout sur une surface d’exposition de 96.000 m² (près de 20 terrains de foot)... Des chiffres qui donnent le tournis et font du Mondial de l’Automobile de Paris, le plus grand et le plus fréquenté des salons au monde! Autant vous dire que la 82e édition qui ouvrira ses portes le 4 octobre prochain au Parc des Expositions de la Porte de Versailles, nourrit elle aussi de grandes ambitions.

Ce statut, à part entière, le salon automobile parisien l’a acquis au fil des ans… Auto Plus vous propose une rétrospective de l’évènement en 10 dates, de sa création en 1898 à nos jours.

1898 : Exposition Internationale de l’automobile, du cycle et des sports

Dès 1889, les "voitures sans chevaux" apparaissent à l’Exposition Universelle. L’automobile connait alors un succès retentissant. Les premiers modèles à moteur à explosion (des Panhard et Levassor à moteur Benz) sont commercialisés en 1891, tandis qu’en 1895 nait l’Automobile Club de France. L’organisme, qui se donne pour mission de promouvoir "l’automobilisme", organise en 1898 la première "Exposition internationale de l’automobile, du cycle et des sports". Pour être exposées, les voitures doivent impérativement effectuer un trajet Paris-Versailles (23km) sous l’œil d’un commissaire. 140.000 visiteurs viennent découvrir les quelques 220 modèles exposés sur 6000m², au Jardin des Tuileries.

1930 : l’avènement de la Première Guerre

Le Grand Palais voit débarquer l’exposition un beau jour de 1901. L’automobile est un objet de luxe qui fait rêver. L’édifice sera le "symbole" du Salon de l’Automobile (nom adopté en 1919) pendant près de 60 ans. Si la notoriété de l’évènement grandit, les pro-cycles (le salon du vélo se tient simultanément) ne tardent pas à mettre des bâtons dans les roues de leurs "concurrents". Repris en mains par les constructeurs, l’évènement poursuit sa croissance jusqu’à la Première Guerre. Le salon rouvre en 1919. En 1930, les effets de la crise se font sentir. Le nombre d’exposants baisse (526 en 1938, contre 1339 en 1929) jusqu’à l’éclatement de la Seconde Guerre Mondiale. Vidéo du salon en 1930.

1946 : l’après-guerre

Ce n’est qu’en octobre 1946 que le Salon de l’Automobile de Paris retrouve de sa superbe. Seulement, les exposants y présentent des modèles qu'ils ne peuvent pas vendre, faute de matières premières. Qu’importe les Français se ruent au Grand Palais. Ils seront près de 810.000 en dix jours à venir fouler les moquettes du salon. Cette année-là, les voitures électriques (elles font déjà parler d’elles) signent leur grand retour, après 24 ans d’absence! Le salon connait là encore un enthousiasme grandissant. Ce n’est qu’en 1949 que les ventes deviennent libres (jusqu’ici, il fallait un bon de l’administration), mais elles sont encore soumises au contrôle des prix.

1950 : le salon fait coup-double !

En 1950, le salon automobile ne se tient plus seulement au Grand Palais : les cycles et les véhicules utilitaires investissent également le parc des expositions de la Porte de Versailles. L’affluence atteint sans cesse de nouveaux sommets, démocratisation de l'automobile aidant. Les constructeurs en profitent donc pour multiplier le nombre de nouveautés et se lancer, au cours des années 50, dans des animations ludiques. Une tendance qu’ils proposent aujourd’hui encore ! Voir le salon de 1950 en vidéo.

1952 : Une vendeuse sur les rangs

Si le salon a toujours vu son nombre d’exposants croître (épisodes des guerres mis à part), il s’amenuise en 1952. Pour la première fois, les hommes ne sont plus seuls à vendre des voitures et se retrouvent concurrencés par les femmes. Lors de cette édition, on consacre pour la toute première fois une exposition aux loisirs automobiles, avec en chef de file, des caravanes de camping stockées dans les sous-sols du Grand Palais ! Voir la vidéo du salon de l'auto en 1952.

1954 : la barre du million

80.000 m² sont désormais consacrés aux stands des constructeurs, en 1953. Les embouteillages grandissent aux abords du Grand Palais, sans inquiéter les organisateurs outre-mesure. Trop affairés, ils préfèrent remettre au gout du jour les nocturnes (une première tentative avait été faite dans les années 20) et instaurent les tickets d’entrée à différents tarifs. En 1954, il y a 60 ans tout juste, le Salon de l’Automobile franchit le cap du million de visiteurs ! Un record absolu pour l’époque.

1955 : la DS attire les foules

1.037.000 visiteurs se rendent en 1955 au salon (vidéo). Les nouveautés y sont nombreuses et le public se presse particulièrement voir la mystérieuse DS 19 qui vaudra à nos confrères de L’Auto-Journal (auteur d’un scoop à son sujet) un joli procès. Face à l’engouement que suscite l’évènement, une garderie pour enfants est même mise en place! Mais le salon a atteint son âge d’or et les années qui suivent enregistrent une baisse sensible de la fréquentation. L’une des raisons vient du fait que les constructeurs lancent désormais leurs nouveautés, hors salons. En 1957, on note l’arrivée de la 1ère voiture japonaise: la Skyline de Prince qui deviendra par la suite Nissan. Vidéo du salon en 57.

1962 : le salon désormais au Parc des Expositions

Clap de fin pour le Grand Palais. Le Salon Automobile pose définitivement ses valises à la Porte de Versailles en octobre 1962. Des installations plus vastes qui permettent de remettre au goût du jour les expositions thématiques. Cette année-là, le Général de Gaulle instaure un nouveau style de visite: il s'y rend en petit comité et sans public. Dans les années 60, le nombre de visiteurs est toujours au-dessus du million, mais la progression est plus lente. En 1976, décision est prise de n’organiser l’évènement que tous les deux ans, les années paires, et en 1988, le "Salon de l’Automobile" change officiellement de nom et devient le "Mondial de l’Automobile". Vidéo du salon en 1962.

1998 : 100 ans d’automobile à Paris

1998 marque un tournant dans l’histoire du Mondial de l’Automobile : l’évènement célèbre ses 100 ans! Lors de cette édition, le marché automobile reprend des couleurs après une année 1997, noire. Les citadines ont particulièrement la cote. La Peugeot 206 y fait ses débuts au côté de la Twingo 1 phase 2, de la Toyota Yaris ou de la Volkswagen Lupo. C’est aussi l’essor des monospaces avec le lancement en grande pompe de la Citroën Xsara Picasso destiné à concurrencer la Renault Mégane Scénic. Opel en profite pour dévoiler le Zafira et Fiat, le Multipla. Des modèles fonctionnels à vocation familiale et aux tarifs attractifs.

Les années 2000 : une fréquentation hallucinante !

Si le grand rendez-vous parisien n’a plus rien de la fête mondaine où se réunit le tout Paris chic, le Mondial de l’Automobile est devenu une fête très populaire. Le salon ne cesse d’enregistrer de nouveaux records de fréquentation: 1,461 million pour l’édition 2004 et 1,433 millions en 2008 avec des horaires d’ouverture réduits. Le salon automobile distance largement les évènements organisés à Tokyo, Francfort ou Détroit faisant de lui "le salon le plus important du monde en termes de fréquentation".

28 septembre 2014

Happy Birthday BB !

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28 septembre 2014

"Brèves de comptoir" - Vu hier

28 septembre 2014

Extrait d'un shooting - fétichisme (J'veux du cuir !)

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27 septembre 2014

Nuit Blanche samedi prochain... Qu'on se le dise !

27 septembre 2014

Vu sur internet - J'aime bien

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27 septembre 2014

Manifestation de grande ampleur samedi à Nantes pour une réunification bretonne

«Comme les cinq doigts de la main, les cinq départements bretons». C'est autour de ce thème que devraient se réunir samedi à Nantes des dizaines de milliers de manifestants. L'association Bretagne Réunie, à l'origine de l'évènement, espère rassembler 30.000 personnes pour répondre à la «mobilisation générale». Soit l'une des plus grandes manifestations pour la réunification de la Bretagne des quarante dernières années, alors que le débat sur la réforme territoriale doit reprendre dans quelques semaines.

«Une cinquantaine de cars au départ de toute la Bretagne ont déjà été réservés», se réjouit Gilbert Deshayes, secrétaire de Bretagne Réunie. «L'ampleur du mouvement sera nettement supérieure à celle des manifestations du 19 avril (entre 5500 et 10.000 personnes, NDLR) et du 28 juin (entre 8500 et 17.000 personnes, NDLR). Nous ne voulons pas d'une fusion Bretagne-Pays de la Loire, ni de la nouvelle carte des régions. Cela conduirait à une perte de l'identité même de la Bretagne, voire à sa disparition» s'inquiète-t-il.

Des «bonnets rouges» non-violents attendus

Et pour tenter de faire plier le gouvernement, Gilbert Deshayes voit encore plus grand: «Il faudra que l'on soit encore plus nombreux lors des prochaines manifestations pour nous faire entendre. Nous avons d'ailleurs dores et déjà prévu de nous rendre devant l'Assemblée nationale et le Sénat. Certes, nous serons moins nombreux, mais c'est le symbole que nous irons y chercher» assure celui qui regrette de ne pas avoir le soutien de Jean-Marc Ayrault. En effet, l'ancien premier ministre, élu à Nantes depuis 1986, est favorable à une fusion des régions Bretagne et Pays de la Loire. «Il a une vision métropolite, qui concoure à renforcer le centralisme de la France contre lequel nous voulons justement lutter».

Pour autant, le secrétaire de Bretagne Réunie ne désespère pas de se faire entendre grâce à un large rassemblement pacifique, et ce malgré le climat de tension qui règne dans la région. «La situation est tendue, beaucoup de monde ici est exaspéré, comme le sont notamment les agriculteurs ou les anti-aéroport... et aussi les bonnets rouges. Mais nos deux précédents mouvements n'ont pas été violents, et celui de demain ne le sera pas non plus. D'ailleurs des bonnets rouges sont attendus demain, et certains étaient déjà là en juin. Nous serons à la fois déterminés et calmes». L'évènement devrait ainsi se conclure dans le calme, et la bonne humeur, puisqu'un grand concert gratuit a été annoncé par les organisateurs.

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