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Jours tranquilles à Paris

1 janvier 2014

Kat Graham photographiée par Terry Richardson

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1 janvier 2014

C'est dans trente minutes.... sur les Champs Elysées

Participez à la parade festive sur les Champs-Elysées le mercredi 1er janvier 2013 de 11h30 à 15h. Les Champs-Elysées seront piétonniers entre la Place de la Concorde et la station Champs-Elysées Clémenceau ce 1 er janvier et accueillera une grande parade autour du thème du cirque.

De 11h30 à 13h30 : Spectacle de jongleurs, de danseurs, de musiciens et de cavaliers présents sur de nombreux chars... Le tout dans une ambiance carnaval de confettis, de ballons et de bonbons.

- 18 CHARS (de nombreux cirques seront présents dont PINDER, BOUGLIONE, GRUSS, ROMANES accompagné de musiciens tziganes...mais aussi LE MUSEE DES ARTS FORAINS, JOURS DE FETE AU GRAND PALAIS, LA CHOPE DES PUCES...)

- DES FANFARES (« Tropic carolo combo » et Guggen musik « Lus bueva »)

- DES ORCHESTRES (dont un orchestre bavarois, un orchestre brésilien et ses danseuses et un orchestre bolivien et ses danseuses)

- DES CORTEGES IMPRESSIONNANTS (cortège de La république et des poulbots de MONTMARTRE, de peluches géantes pour la FÊTE DE LA BASTILLE, de voitures anciennes de collection...)

- 200 CAVALIERS SUR PONEYS

- De 13h30 à 15h, "la plus belle avenue du monde" restera ouverte aux piétons sur toute la longueur du Marché de Noël.

>> Entrée libre et gratuite

1 janvier 2014

Karl Lagerfeld

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1 janvier 2014

L'année 2013 chez TREATS Magazine (rétrospective)

1 janvier 2014

Crazy Horse de Paris

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Bonne Année 2014

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1 janvier 2014

NYMPHOMANIAC - Sortie aujourd'hui... Un film de Lars von Trier

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"Nymphomaniac", le pot-pourri érotico-porno de Lars von Trier

Après un an d’une promotion savamment orchestrée, le premier volet des frasques sexuelles d’une nymphomane mises en scène par Lars von Trier sort sur les écrans français mercredi. Une odyssée érotique aussi ambitieuse que bancale.

Décidemment, Lars von Trier ne nous facilitera jamais la tâche. Difficile au sortir de la première partie de son "Nymphomaniac" de faire le tri entre les sentiments qui nous animent. Avons-nous été séduits, agacés, soulagés ou frustrés par ce récit des frasques d’une jeune femme qui se dit droguée au sexe ? Un peu de tout cela en même temps.

Après douze mois d’une campagne promotionnelle savamment orchestrée par un Lars von Trier qui, à la suite de ses malheureux propos sur Hitler lors du festival de Cannes 2011, s’est contraint au silence, ce n’est pas sans une certaine excitation qu’on aborde le film. Bien avant sa sortie, d’abscons extraits délivrés au compte-gouttes plusieurs mois durant (voir la vidéo ci-dessous), nous avaient permis de "fantasmer" ce qui s'annonçait comme le nouvel opus choc de l’incorrigible cinéaste danois. Les affiches, les photos et les "teasers" nous le promettaient : "Nymphomaniac" serait un festival de subversion, de tensions et d’érotisme, sinon de pornographie. Mais, génie du marketing, ces "amuse-gueules" renfermaient bien plus d’énigmes que d’informations précises sur le déroulement des agapes.

Aussi nous réjouissons-nous d’apprendre, dès le début du film, que Joe, la nymphomane en question (Charlotte Gainsbourg), allait tout révéler de sa vie sexuelle. Un récit qu’elle délivre en flash-backs à Seligman (Stellan Skarsgard), un vieux célibataire qui l’a recueillie chez lui après l’avoir découverte inanimée dans une ruelle.

Assez classiquement, la sulfureuse histoire de l’héroïne est découpée en chapitres qui constituent autant de moments charnières dans son éducation puis ses activités sexuelles. On découvre alors Joe à 15 ans  (sous les traits de Stacy Martin) qui se fait brutalement déflorer par un certain Jerome (Shia LaBeouf) avant de la suivre dans ses défis d’adolescentes consistant à conduire le plus grand nombre d’inconnus dans les toilettes d’un train. Suivent ensuite les insouciants ébats à cadence industrielle puis la perte de l’innocence marquée par la confrontation brutale avec une femme trompée (Uma Thurman) et la mort du père (Christian Slater), seul homme qu’elle ne pourra jamais posséder.

Le bon grain de l’ivraie

À la structure très ordonnée du fond s’oppose l’hétérogénéité de la forme. Constitué en chapitres quasi indépendants, "Nymphomaniac" confine au pot-pourri cinématographique empruntant tour à tour à l’iconographie pornographique, aux gadgets visuels à la "Fight Club", à la crudité du Dogme 95 (mouvement cinématographique lancé en 1995 par des réalisateurs danois sous l'impulsion notamment de Lars von Trier), ou à l’austérité d’Ingmar Bergman (la magnifique séquence en noir et blanc dans la chambre d’hôpital où décède le père). À nous de séparer le bon grain de l’ivraie. Si très vite on se lasse de la métaphore filée rapprochant la nymphomanie à la pêche à la ligne (de l’art d’appâter de gros poissons), on se laisse volontiers entraîner par celle, moins grossière, apparentant les multiples aventures de l’héroïne à une œuvre polyphonique de Jean-Sébastien Bach.

Mais le plus surprenant dans ces deux heures qui constituent le premier volume de "Nymphomaniac" reste la bienveillance dont Lars von Trier fait preuve avec son sujet d’étude. Près de cinq ans après sa pénible charge misogyne "Antichrist", nous avions toutes les raisons de penser qu’avec un tel sujet, le cinéaste nous préparerait l’un de ses mauvais coups dont il a le secret. Étonnamment, rien de véritablement tordu ou d’abject ne vient troubler le récit de ces révélations. De fait, la nymphomanie de Joe est réduite à sa plus simple expression : un appétit sexuel que des hommes, êtres de chair que l’on sait faibles, viennent assouvir presque machinalement. Seul Jerome, le premier – et seul ? – amour de la protagoniste, apparaît comme le personnage masculin le plus pervers ou, tout du moins, le plus apte à la manipulation (à moins que ce soit Joe, par le portrait qu’elle en fait, qui nous manipule…).

L’esprit vicieux que l’on pensait voir gouverner sur le premier volet du film se révèlera peut-être dans le second (sortie prévue le 29 janvier en France). Peut-être est-il là le mauvais coup tant redouté de Lars von Trier : nous rasséréner d’un côté pour mieux nous déconcerter de l’autre. À en croire la production, le réalisateur avait initialement conçu son film en un seul bloc d’une durée de 5 heures 30. Son découpage en deux parties de deux heures délestées des scènes de sexe les plus osées répondrait davantage à des logiques d’exploitation en salles. Pour l’heure, personne n’est en mesure de dire si la version initiale sera un jour montrée au public (le premier volet non censuré sera présenté au prochain festival de Berlin). En attendant, il demeure difficile d’avoir un avis tranché sur une œuvre amputée de sa moitié. Non, décidemment, Lars von Trier ne nous facilitera jamais la tâche. Source : France 24

Lire également pour les abonnés au Monde uniquement => http://abonnes.lemonde.fr/culture/article/2013/12/31/sexe-mensonges-et-promotion-histoires-d-un-film-coupe-en-deux_4341577_3246.html

1 janvier 2014

"Je vous adresse tous mes Meilleurs Voeux pour l'année nouvelle". Jacques Snap

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31 décembre 2013

Voeux du Président de la République

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Le chef de l'Etat a assuré ce soir lors des vœux aux Français vouloir réduire la dépense publique et «assumera la responsabilité» du programme d'économies.

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François Hollande a proposé ce soir un «pacte de responsabilité», avec «moins de contraintes» pour les entreprises, afin de «gagner» la «bataille» de l’emploi, lors de ses voeux à l’Elysée. «Nous aurons besoin de la mobilisation de tous pour gagner cette bataille» et «c’est pourquoi je propose un pacte de responsabilité aux entreprises. Il est fondé sur un principe simple: moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie: plus d’embauches et plus de dialogue social», a-t-il déclaré.

«Je vous le redis ce soir: je n’ai qu’une priorité, qu’un objectif, qu’un engagement, c’est l’emploi», a-t-il affirmé. Selon lui, «en 2013, le chômage est resté à un niveau encore élevé, même si la tendance de ces derniers mois s’améliore». «Les résultats sont forcément longs à apparaître, mais ils sont là. Et j’ai confiance dans les choix que j’ai faits pour le pays», a dit Hollande. «Chaque emploi créé, c’est un peu de force reconquise. Chaque chômeur qui reprend un travail, c’est une famille qui respire, c’est de l’espoir qui revient, c’est du pouvoir d’achat qui est regagné, de la justice sociale qui est retrouvée», a-t-il souligné.

Alors que le président s’était engagé à inverser la courbe du chômage fin 2013, celui-ci est reparti à la hausse en novembre avec 17.800  demandeurs d’emploi sans activité supplémentaires. Fin novembre, 3,29 millions de demandeurs d’emploi sans activité pointaient à Pôle Emploi.

François Hollande a aussi estimé que la crise s’était «révélée plus longue, plus profonde que nous l’avions nous-mêmes prévu». «Et nous en avons payé le prix avec une croissance faible et une succession de plans sociaux»: «L’état même du pays a justifié que je vous demande des efforts», a-t-il souligné. «Et je sais ce qu’ils représentent. Les impôts sont devenus lourds, trop lourds, à force de s’accumuler depuis de nombreuses années», a-t-il dit.

Par ailleurs, le chef de l'Etat s'est à nouveau posé en rassembleur. «Je serai intransigeant face à tout manquement, face au racisme, face à l’antisémitisme, face aux discriminations. La République, elle n’est pas négociable», a déclaré le chef de l’Etat dans une allocution radiotélévisée.

31 décembre 2013

Une fin d'année dénudée...

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
31 décembre 2013

108 journalistes tués en 2013 (FIJ)

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Sans le travail des journalistes que ferait les gouvernements vis à vis de l’information ?

108 journalistes tués en 2013 (FIJ)

Au moins 108 journalistes et professionnels des médias ont été tués dans le monde en 2013, la Syrie étant devenue le pays le plus dangereux devant l'Irak et le Pakistan, a annoncé aujourd'hui la Fédération internationale des journalistes (FIJ). Même si le nombre de tués a reculé de 10% par rapport à 2012, la FIJ a lancé "un appel désespéré aux gouvernements du monde entier pour mettre un terme à l'impunité des violences perpétrées contre les journalistes et les professionnels des médias". L'organisation basée à Bruxelles demande "instamment à des pays tels que les Philippines, le Pakistan et l'Irak de prendre des mesures drastiques pour que cesse de couler le sang du personnel des médias". Le pays le plus meurtrier a été la Syrie avec 15 journalistes tués, devant l'Irak (13), le Pakistan (10), les Philippines (10), l'Inde (10), la Somalie (7) et l'Égypte (6). 29% des journalistes tués l'ont été en Asie-Pacifique et 27% au Moyen-Orient et dans le monde arabe, précise l'organisation qui affirme représenter plus de 600.000 journalistes dans 134 pays. La FIJ note que la violence touche de plus en plus les femmes journalistes, car six d'entre elles ont été tuées alors que de nombreuses autres étaient "victimes de sévices sexuels, d'intimidation et de discrimination". Dans son rapport annuel publié le 18 décembre, l'association Reporters sans frontières (RSF) avait évalué à 71 le nombre de journalistes tués dans l'exercice de leurs fonctions depuis le début de l'année, et notait l'augmentation "importante" des enlèvements (87). Pour le Comité de protection des journalistes (CPJ), le nombre de journalistes tués dans l'exercice de leurs fonctions a atteint 70 en 2013. Selon le CPJ, 28 journalistes ont été tués en Syrie et 10 en Irak, les deux pays les plus meurtriers pour les reporters en 2013. Le bilan de l'ONG basée à New York intègre les morts dus au bombardement d'une station télévisée irakienne et d'autres morts de journalistes en Irak, en Syrie et en Inde. Il est fondé sur ce que la CPJ présente comme un "processus de recherche rigoureux" destiné à vérifier si les journalistes ont bien été tués dans l'exercice de leur métier

Reporters sans frontières

le Comité de protection des journalistes (CPJ)

la Fédération internationale des journalistes

select & comment La Demeure du Chaos - The Abode of Chaos

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