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Jours tranquilles à Paris

8 septembre 2012

La Une de Libération ce matin

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8 septembre 2012

M.E.P. : Alice Springs (ou June Newton)

DSC_0065Jusqu'au 4 novembre 2012 à la MEP

En 1970, June Newton commence une carrière de photographe sous le pseudonyme d’Alice Springs. Depuis 2005, ses travaux sont régulièrement exposés à la Fondation Helmut Newton à Berlin dans la salle baptisée “June’s Room”. Cette rétrospective, exposée auparavant à Berlin et Milan, rend compte de 40 ans de travail, présentant à la fois ses photographies de publicité et de mode ainsi que des nus et des portraits.

L’épouse d’Helmut Newton a entamé sa propre carrière photographique à Paris en 1970. Son mari, alors alité avec la grippe, lui apprend à manier son appareil et son luxmètre, pour qu’elle puisse réaliser à sa place une photo publicitaire pour la marque de cigarettes Gitanes. Le célèbre portrait qui en résulte sera le point de départ de sa nouvelle carrière.

Installée à Paris, cette actrice de théâtre d’origine australienne, ayant dû renoncer à sa carrière, s’est investie dans la peinture, avec les pinceaux et les couleurs que son mari lui avait donnés. Mais après cette fameuse photo publicitaire, José Alvarez, alors directeur d’une agence publicitaire, lui passe une commande pour des campagnes pharmaceutiques.

Dès le milieu des années 70, Alice Springs reçoit de nombreuses commandes de portraits, dont certains deviennent légendaires. La multitude d’artistes, d’acteurs et de musiciens qu’elle photographie au cours de ces 40 dernières années est à un véritable “Who’s Who” de la scène culturelle internationale des deux côtés de l’Atlantique – d’Yves Saint-Laurent à Karl Lagerfeld, de Billy Wilder à Diana Vreeland, en passant par les Hell’s Angels. La plupart de ces portraits sont des commandes pour des magazines publiés à Paris et à Los Angeles, d’autres résultent d’initiatives privées.

La majorité de ses modèles appartiennent à la jet-set internationale, mais Alice Springs porte cependant le même regard empreint d’innocence et de simplicité sur tous ses sujets. Elle révèle leur singularité, mais aussi leur vulnérabilité.

Ses portraits se distinguent par une approche intime et spontanée. Traduire l’intensité des telles personnalités artistiques ne peut se faire que grâce à son ouverture d’esprit, sa sensibilité et sa psychologie. On pourrait imaginer que ces célébrités se prêtent aux séances photos dans une incessante quête de notoriété. Mais en fait, une séance photo peut se transformer une sorte de duel entre le modèle et le photographe, dont l’appareil devient arme.DSC_0066

Dans un portrait photographique, la force créatrice vient en second ; le photographe doit dépasser le simple document afin de créer une image nouvelle, imprévue, qui transgresse les stéréotypes. Alice Springs y réussit à maintes reprises dans ses portraits. C’est peut-être sa connaissance du théâtre qui l’amène à voir au-delà de l’être humain, en particulier dans ses doubles portraits qui mettent subtilement en scène l’interaction des protagonistes.

Alice Springs fait plus que capter l’apparence de ses contemporains, célèbres ou anonymes ; elle canalise leur charisme, leur aura. Derrière ses magnifiques portraits, se dessine une connivence implicite, une complicité spirituelle. Son regard se concentre surtout sur le visage ; parfois, elle rétrécit le champ pour s’attarder sur un détail, généralement les mains. Dans ses petits formats, les sujets nous regardent de manière directe, curieuse, candide – ce qui est rare dans la photographie contemporaine. Peu de ses portraits sont réalisés en atelier, la majorité est prise dans des espaces publics ou dans la maison de ses sujets. Il règne un sentiment de familiarité, entre distance et intimité. Les poses sont rarement affectées ; les prises de vue se font avec simplicité. La photographe ne trahit jamais son sujet.

Au début des années 1970, Alice Springs s’est vu confier plusieurs campagnes par le coiffeur Jean-Louis David ; ses photographies apparaissent sous son propre nom, dans des publicités en pleine page publiées par de grands magazines de mode, tels que Elle, Vogue, Marie Claire et Nova. Elle commence également à travailler pour le magazine Dépêche Mode en 1971 et, trois ans plus tard, fait pour la première fois la couverture de l’édition française du magazine Elle. Certains de ses premiers travaux de mode et de publicité sont présentés au début de cette rétrospective, qui comporte également les nus provocateurs qu’elle a réalisés dans les années 70. (Commissaire de l'exposition : Matthias Harder)

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DSC_0072Voir mes précédents billets sur Alice Springs en cliquant ICI

 

8 septembre 2012

Lou Doillon en couverture de TELERAMA

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8 septembre 2012

Le Manoir de Paris

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Le Manoir de Paris

Le Manoir de Paris ouvre ses portes sur les mystères de la capitale. Concept inédit en France, ce nouveau site d'animation fait revivre, au coeur même de la Ville Lumière, dix-sept légendes parisiennes. A mi-chemin entre un musée et un parc d'attractions, cette demeure hantée développe sur deux niveaux et près de 1000 m2 un parcours interactif invitant le public à vivre des émotions fortes et à devenir acteur de l'histoire.

I. Les catacombes de Paris

Le 3 novembre 1793, Philibert Aspairt s'aventure dans les carrières situées sous le couvent du Val de Grâce. Il ne revient jamais de son expédition. 11 ans plus tard, son corps est découvert sous la rue de l'Abbé de l'Epée. Un trousseau de clés permet d'identifier le squelette de celui qui fut portier du Val de Grâce.

II. Le crocodile des égoûts de Paris

En mars 1984, les égoûtiers qui travaillent sous le Pont Neuf découvrent un animal d'1m de long, tapi dans un coin, à quelques mètres d'eux. Il s'agit d'un crocodile du Nil.

III. Le fantôme de l'Opéra

La légende veut qu'un monstre défiguré hante l'opéra Garnier. De mystérieux événements surviennent à la fin du XIXe siècle accréditant cette rumeur : le 20 mai 1886, le grand lustre de la salle se décroche faisant une victime au cours d'une représentation du Faust de Gounod. L'ironie du sort veut que ce spectateur ait été assis à la place N° 13.

IV. La prison du masque de fer

Le 19 novembre 1703, décède à La Bastille, après 34 années de détention, l'un des prisonniers les plus fameux de l'histoire française : l'homme au masque de fer. Quelle était l'identité de ce mystérieux prisonnier "toujours masqué d'un masque de velours noir" selon le registre d'écrou de la prison ?

V. La cave aux vampires

Si les Carpates sont la terre originelle des vampires, de nombreux récits ont élu Paris pour scène. Au nombre des plus connus figurent les "Chroniques de Vampires" de l'écrivain américain Anne Rice avec pour personnage principal, Lestat de Lioncourt, un noble français transformé en vampire au cours du XVIIIe siècle. Avant de quitter Paris, il lègue son théâtre au doyen des vampires sur terre, Armand.

VI. Le métro de Paris

Le dimanche 16 mai 1937, à 18H30, une jeune femme en robe verte et chapeau blanc est retrouvée poignardée sur la ligne 8. Laetitia Toureaux, seule passagère du wagon de 1ere classe, s'écroule à terre lorsque la rame 382 s'arrête à la station de La Porte Dorée, un laguiole planté dans le cou...

VII. Les tombes profanées du sergent Bertrand

A la fin des années 40, des tombes profanées et des corps de femmes de tous âges mutilées, aux entrailles arrachées, sont retrouvés dans différents cimetières de Paris. Ces faits, perpétrés entre 1846 et 1849, seraient l'oeuvre d'un sergent nécrophile, François

Bertrand, autrement surnommé le « vampire de Montparnasse ». Ils inspirent notamment la légende du loup-garou de Paris.

VIII. Le cimetière du Père Lachaise

Le cimetière du Père Lachaise ouvre le le 21 mai 1804 sur l'ancienne propriété du Père Lachaise, autrefois confesseur du roi Louis XIV. Réputé pour abriter la sépulture de gens célèbres, le cimetière du Père Lachaise l'est aussi pour ses mystères. La rumeur veut que des messes noires y soient régulièrement célébrées et que certaines tombes donnent accès aux catacombes...

IX. La Voisin, empoisonneuse et sorcière

Empoisonneuse et sorcière de renom, La Voisin exerçait ses talents dans le quartier du Marais.  Odeur de soufre, messes noires, avortements illégaux –  elle  aurait  tué  2  500 avortons -  étaient  pratique  courante  pour  cette  sorcière qui  fut mêlée à l’affaire des poisons. Elle aurait agi pour le compte de la marquise de Montespan alors délaissée par Louis XIV. Elle finit brûlée vive en place de Grève le 22 février 1680.

X. Le fantôme du jardin des Tuileries

En 1564, la reine Catherine de Medicis décide d'acquérir un terrain à proximité du Louvre où elle réside pour faire construire le palais des Tuileries. Y résident, outre deux tuiliers, un boucher surnommé, Jean l'Ecorcheur. La reine charge un noble du nom de Neuville de l'assassiner au motif qu'il connaissait trop bien ses secrets. Au moment de mourir, Jean l'Ecorcheur lance une sombre prédiction : "Je reviendrai".

XI. La bibliothèque de l'alchimiste

Les livres sont un puits de savoir et la bibliothèque l'antre de l'alchimiste à la recherche de la Pierre Philosophale. L'un des plus célèbres d'entre eux, Nicolas Flamel (1330 env - 1418), était libraire rue des Escrivains à Paris. Fulcanelli, le mystérieux auteur du «Mystère des cathédrales», aurait découvert le Grand Oeuvre au XIXe siècle.

XII. Le barbier sanguinaire

En 1387, une série d’étudiants étrangers disparaissent à Paris. Ils sont victimes d’un barbier fou qui leur tranche la gorge pour le compte d’un pâtissier voisin.

XIII. Le pâtissier sanguinaire

Après avoir haché menu les corps, le pâtissier, acolyte du barbier, réalise dans son laboratoire de succulents pâtés “à la chair délicate” qu’il propose à sa clientèle.

XIV. Le cabaret des assassins

Fréquenté par des artistes célèbres tels que Picasso, Debussy ou Maupassant, Le Lapin Agile est l'un des plus vieux cabarets de Paris. Cette auberge de Montmartre, dénommée en 1860 "Au rendez-vous des voleurs" fut un temps connue sous le nom de "Cabaret des Assassins".

XV. Gargouilles et chimères

La légende raconte que les gargouilles et les chimères de Notre-Dame de Paris s'animent la nuit pour faire peur aux mauvais esprits. Monstres hybrides, mi-bêtes ou mi-hommes, ces animaux fantastiques sculptés dans la pierre sont les gardiens du Bien.

XVI. Le bossu de Notre-Dame de Paris

Quasimodo est le personnage principal du célèbre roman de Victor Hugo, Notre Dame de Paris. Ce personnage effrayant, défiguré, vivait dans les tours de la cathédrale. A la fois applaudi et hué par la foule, celui qui fut surnommé le bossu de Notre-Dame fascine le peuple comme un monstre.

XVII. Guillotine

Créée en 1789, inaugurée en 1792, la guillotine a fait rouler de nombreuses têtes, sévissant notamment avec le Tribunal révolutionnaire et ses bourreaux sous la Terreur. Cet instrument qui porte le nom de son inventeur, le docteur Joseph Guillotin, fut surnommé « la veuve ».

Deux de ses plus illustres victimes furent le roi Louis XVI et la reine Marie-Antoinette, respectivement guillotinés en place publique le 21 janvier et le 16 octobre1793.

8 septembre 2012

Extrait d'un shooting - portrait

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Photos prises chez le modèle (avec mon studio portatif)

Extraits de mes shootings

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7 septembre 2012

C'était 21 cm pour Alain Bernardin (créateur du Crazy Horse)

Vingt centimètres. C'est la distance minimale que les jeunes femmes doivent avoir entre leurs mamelons pour participer à un concours chinois de beauté, rapporte le Huffington Post. D'autres critères très précis doivent être remplis par les candidates. Par l'exemple, l'écartement entre leurs pupilles doit représenter 46% de la distance entre leur pupille et leur oreille.

Alain Bernardin

Pas facile de devenir une Crazy from Joan Roels on Vimeo.

7 septembre 2012

Paris sous toutes les coutures...

Tous les jours, des milliers de personnes photographient Paris sous tous les angles. Histoire de profiter de certains de ces clichés, le site http://paris-now.jit.su/ affiche en temps réel toutes les photos publiées sur les réseaux sociaux avec la mention #paris. Un joli condensé de la capitale qui évolue au fil de la journée.

7 septembre 2012

RUSSIE. Les Pussy Riot brûlent un portrait de Poutine

 

VIDEO. Les membres du groupe punk encore en liberté publient sur Youtube une vidéo dans laquelle elles enflamment une effigie du président russe.

Les Pussy Riot mettent le feu à une affiche de Poutine. DR

Les Pussy Riot mettent le feu à une affiche de Poutine

Les Pussy Riots refont parler d'elles. Alors que trois membres du groupe punk russe ont été arrêtées et envoyées en colonie pénitentiaire, trois autres ont brûlé à Moscou un portrait de Vladimir Poutine. Dans une vidéo postée jeudi 6 septembre sur Youtube, on voit les jeunes femmes cagoulées enflammer une bâche à l'effigie du président russe.

Une voix clame en anglais : "nous nous battons pour avoir le droit de chanter, de penser, de critiquer, d'être des musiciennes et des artistes prêtes à faire n'importe quoi pour changer notre pays. Peu importe les risques, nous continuons notre bataille musicale en Russie."

Les Pussy Riots profitent de cette vidéo pour remercier les artistes qui leur ont apporté leur soutien, citant Madonna, les Red Hot Chili Peppers, Björk et Green Day.

Elles affirment également : "notre pays est dominé par un démon, qui pense qu'il est illégal de se réclamer du féminisme, de chanter de la musique punk, de défendre les droits de la communauté lesbienne et gay, de critiquer le gouvernement. Cet homme pense que si tu danses et chantes d'une façon inappropriée, tu vas deux ans en prison."

Pour finir elles lancent un appel à l'émeute : "Start Pussy Riot !". Source : Le Nouvel Observateur.

7 septembre 2012

Flash expo Pussy Riot au Palais de Tokyo

Le Palais de Tokyo, dont l’entrée et la visite sont gratuits durant la période d’interexposition jusqu’au 27 septembre, propose jusqu’au 15 septembre une exposition en soutien au groupe russe Pussy Riot.

En février 2012, un trio de rockeuses Russes pro-écologie et féministe baptisé Pussy Riot organisait un happening dans la cathédrale du Christ Saint-Sauveur à Moscou. Au son d’un Te Deum revisité, elles invitaient notamment la Vierge Marie à congédier Vladimir Poutine, le président de la fédération de Russie.

Les punkettes étaient immédiatement arrêtées et placées en détention provisoire. Six mois de détention plus tard, les trois jeunes femmes ont été condamnées à deux ans de réclusion chacune au sein de camps de travail, les goulags de l’ère moderne.

Parmi toutes les manifestations de soutien organisées un peu partout dans le monde, celle du Palais de Tokyo est à l’initiative d’Andreï Erofeev, commissaire et critique d’art russe, invité à réagir à cette nouvelle preuve que la Russie vit sous une dictature.

Alerte Pussy Riot

Jusqu’au 15 septembre

Palais de Tokyo (13, avenue du Président Wilson, 75016 Paris)

Métro Iéna

Gratuit

7 septembre 2012

Film : "The secret"

Synopsis et détails

Interdit aux moins de 12 ans

À Cold Rock, petite ville minière isolée des Etats-Unis, de nombreux enfants ont disparu sans laisser de traces au fil des années, et n’ont jamais été retrouvés. Chaque habitant semble avoir sa théorie sur le sujet mais pour Julia (Jessica Biel), le médecin dans cette ville sinistrée, ce ne sont que des légendes urbaines. Une nuit, son fils de 6 ans est enlevé sous ses yeux par un individu mystérieux. Elle se lance à sa poursuite sachant que si elle le perd de vue, elle ne reverra jamais son enfant.

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