Un SDF photographie les VIP qui entrent dans la Pavillon Platinum (St Denis)
Photos JS. Photos prises vendredi 7 septembre vers 18h00.
Commandant Massoud
"Il y a très exactement 6 ans, jour pour jour, le commandant Massoud mourrait. Qui se souvient qu'il était venu, durant l'été 2001, en France, pour mettre en garde le monde politique français contre le risque d'une prise de pouvoir définitive par les Talibans et d'une recrudescence à venir d'attentats en Occident ?"
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Dans la rue Philippe de Girard - 18ème arrondissement de Paris
Photo JS
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Kishin Shinoyama par Snap
J’ai rencontré un grand maître de la photographie aujourd’hui. En allant au vernissage de l’exposition de Kishin Shinoyama je ne m’attendais pas à le rencontrer…. Je connais ses « twin » depuis bientôt une quarantaine d’années. Je me souviens très bien avoir découvert ce photographe japonais (et beaucoup d’autres photographes) grâce au magazine « PHOTO » auquel je sui toujours abonné. J’étais donc particulièrement heureux et excité de le rencontrer. Il était accompagné d’une traductrice qui traduisait immédiatement et avec une facilité déconcertante mes questions et ses réponses. Ce fut pour moi un grand honneur de rencontrer ce maître du soleil levant. J’ai été tellement surpris que je n’ai pas pu réaliser une véritable interview. Il faut dire qu’une interview se prépare et là je ne m’attendais vraiment pas à cela. La prochaine fois je vous ferai partager ces moments formidables en filmant l’interview grâce à mon « pistolet à images » qui ne me quitte plus et devient le matériel idéal pour immortaliser ces moments forts. JS
Photos JS
EXPOSITION DE KISHIN SHINOYAMA TOKYO NUDE
Chaque jour, chaque heure, chaque minute, Tokyo poursuit sa mutation. Cité chimérique et indomptable, dont le métabolisme urbain échappe à nos regards. Inlassablement la ville poursuit sa folle métamorphose.
L'œil du monstre se nourrit de l'énergie de la mégapole. L'œil du maître capte la construction et la déconstruction.
Kishin Shinoyama dresse son regard, insuffle ses fondements, dompte l'évolution du temps.
Comment le commun des mortels peut-il émerveiller, dérouter, inventer inlassablement pendant plus de quatre décennies? Pourquoi l'œil du monstre ne s'éteint-il jamais?
En 1969, Shinoyama photographie ses nus sur sa propre lune: Death Valley. Dans l'univers argentique, un pionnier est né. The Birth, Twin et autres séries de nus seront édités dans son premier Opus: Nude.
Dans les années 80, la bulle économique marque une époque. Le paysage urbain est dévisagé par la pulsion de l'argent facile. On casse pour construire une utopie qui ne durera pas longtemps. La ville ne reflète rien. Juste le vide grandiloquent d'une époque.
Shinoyama invente un nouveau terme: le Shinorama. En disposant plusieurs objectifs simultanément, il capte les vues panoramiques de la ville en pleine décadence.
Une nouvelle approche du nu où la femme n'est qu'alibi: Ici, il capte cette femme lisse et comme vide, qui est le reflet même de cette ville dénudée d'esprit.
En 1991, Shinoyama travaille sur le livre Water Fruit. Encore aujourd'hui record inégalé du livre de photographies le plus vendu au Japon. Dans ce pays où le pubis est encore caché, ou le mot poil rime avec tabou, Shinoyama prend des photographies de la très respectée actrice
Kanako Higuchi et ose l'inosable, dévoile sa nudité entière. « Hair Nude » devient le mot clé d'une nouvelle époque. Shinoyama permet l'impossible.
Nous sommes en 2006, Shinoyama capte la renaissance de son propre quartier, Roppongi. On rase et fait surgir agressivement de gigantesques bâtiments qui ovationnent l'art contemporain et le design. Shinoyama capte l'évolution de ce quartier, les nouveaux habitants de cette ville dans la ville.
En mai 2007 il présente le fruit de 37 années de collaboration avec le célèbre acteur de kabuki, Bando Tamasaburo, Shinoyama suit cet acteur depuis 20 années. Cet ouvrage dépasse le concept de photographies d'art. De par les différents rôles féminins de Tamasaburo et des époques historiques qu'il relate dans ses différentes pièces, ici, Shinoyama transcode la mentalité, les manières, l'art de vivre dans l'histoire du Japon. 800 pages d'art que l'on pourrait aussi appeler les traces d'une histoire. Loin des phénomènes d'avant-garde et de mode, Shinoyama nous livre une œuvre majeure et nécessaire.
Juillet 2007, Shinoyama prépare une grande exposition pour la rentrée à la galerie Jousse Entreprise.
Septembre 2007, l'exposition débute le 8, jour du vernissage en présence de l'artiste.
En parallèle, Le Bon Marché expose ses dernières photographies sur le thème de Tokyo.
GALERIE JOUSSE ENTREPRISE: DU 8 SEPTEMBRE AU 13 OCTOBRE 2007, 24&34 RUE LOUISE WEISS 75013
EXPOSITION AU BON MARCHÉ: DU 25 AOUT AU 13 OCTOBRE 2007. 24 RUE DE SÈVRES 75007
Vernissage le 08 septembre : Kishin Shinoyama
Kishin Shinoyama
08 septembre - 13 octobre 2007
Galerie Jousse Entreprise
24 et 34 rue Louise Weiss - Paris 13ème
Métro Chevaleret. De 16h à 21h
Dossier de Presse : cp_fr
Vernissage de 16h à 21h samedi 08 septembre 2007
Twin 1969
Twin 1969
Mario Sorrenti : "Home improvement"
Photography Mario Sorrenti
Styling Jane How
Makeup Linda
Cantello
Hair Recine for Infinium by L’Oréal Professionnel
Models Lara
Stone (IMG), Masha Novoselova (Marilyn), Christian Brylle (Bananas)
Manicure
Tatyana Molot (Mark Edward Inc.)
Photo assistants Lars Beaulieu and Javier
Villegas
Stylist assistant Helen Cooper
Makeup assistants Joy Fennell
and Fernando Haddad
Hair assistant Amber Duarte
Production Katie Fash
On-site production Steve Sutton
Digital technician Heather
Sommerfield
Prop styling Philipp Haemmerle
Prop stylist assistants Shaun
Kato-Samuel, Matt Jones, Travis Breitenbach
Printing Pascal Dangin for Box