Jours tranquilles à Paris

Sites intéressants

En vrac, voici quelques sites intéressants à consulter : 

Tout d’abord, le blog sur l’actualité du 15^ème anniversaire de Disneyland, animé par Tristane Banon, jeune journaliste et écrivain (« J’ai oublié de la tuer », « Trapéziste »).Et si durant ces vacances d’avril, vous avez l’irrésistible envie de retourner à Disneyland Paris, cliquez ici.

Si ne vous voulez pas retourner en enfance mais plutôt voir la tête que vous aurez à 70 ans, voici le site « Futurize you » qui vous permet à partir d’une photo et grâce à une simulation de découvrir le visage que vous aurez dans quelques années...

Dans un tout autre registre, voici un documentaire inédit et jamais diffusé sur le candidat UMP : « Sarko, mot à mot », Nicolas Sarkozy décrypté par 25 français, personnalités connues ou simples citoyens. Un film très intéressant proposé et écrit par Gérard Leclerc et Florence Murraciole et réalisé par Claude Therret, en quatre parties : Parties 1, 2, 3 et 4.

Photo JS

Cachée dans de mystérieux entrepôts à Paris et à New York, la collection d'art d'Absolut est l'un des trésors les mieux gardés. Son existence n'est jamais mentionnée dans les rapports financiers. Pourtant, elle compte huit cents tableaux, sculptures et vidéos signés d'Andy Warhol, de Keith Harring et d'autres grands artistes ainsi que cinq cents tenues de mode dessinées, entre autres, par John Galliano et Jean-Paul Gaultier. Depuis vingt-deux ans, Absolut s'est en effet constitué une collection unique au monde. « Imaginez un collectionneur narcissique qui se ferait tirer le portrait en permanence. Et dont le visage serait interprété à chaque fois par des artistes avant-gardistes », sourit Veerle Dobbeleir, responsable de la collection basée à Paris.

Tout a commencé en 1985 quand Andy Warhol interprète à sa façon la bouteille Absolut en bleu, noir, rouge et jaune. Au lieu d'accrocher le tableau à Stockholm, les Suédois ont une idée de génie : utiliser l'oeuvre en publicité pour vendre leur vodka aux Américains. En 1995, la marque se lance en Europe. De nombreux artistes tels Ben, Mathieu Mercier, Patrick Modiano, Helmut Newton dessinent, photographient et peignent à leur tour la célèbre bouteille.

En 2003, c'est la consécration : la collection est exposée à la Biennale de Venise. À l'heure où Absolut va être privatisée, plusieurs personnalités suédoises exigent que l'État fasse don de cette collection au Musée d'art moderne de Stockholm.

Bernard Menez révise son texte avant le spectacle...

Captures d'écran. Emission "Toutaz"

Photo JS

Vendredi 6 avril 2007, 13h10 

Né en juin 1916 à Salo, en Lombardie (nord), Luigi Comencini était un des grands réalisateurs et scénaristes de la comédie italienne, avec des films comme "Pain, amour et fantaisie" (1953), avec Gina Lollobrigida et Vittorio de Sica.

Aux côtés de Mario Monicelli et Dino Risi, ainsi que la bande de leurs acteurs-fétiches, Marcelo Mastroianni, Nino Manfredi, Vittorio Gassman et Ugo Tognazzi, il fut l'un de ceux qui incarnèrent cette "comédie à l'italienne" à laquelle ils donnèrent ses lettre de noblesse, cette qu'on appela le "néoréalisme rose".

Dans un communiqué, le maire de Rome, Walter Veltroni, a rendu hommage à un "maître, l'un des grands et inoubliables réalisateurs de l'histoire du cinéma".

Après neuf années passées avec ses parents à Agen, en France, il avait étudié l'architecture à Milan, avant de devenir, avec son copain Alberto Lattuada l'un des fondateurs la Cinémathèque italienne, où il avait réuni les premiers fonds d'archives du cinéma italien.

Critique de cinéma à la fin de la guerre, il avait connu ses premiers succès grâce aux comédies "Pain, amour et fantaisie" et "Pain, amour et jalousie".

Egalement scénariste, le cinéaste s'était intéressé à l'enfance dès sa première réalisation, "Bambini in Citta" (1946), puis avec "Casanova, un adolescent à Venise" (1969), son adaptation de "Pinocchio", le bouleversant "L'incompris" (1967), ou encore "La Storia" (1986) avec Claudia Cardinale.

"Nous l'aimions, plus que tout, pour sa vision intense et délicate du monde de l'enfance", a ajouté Veltroni.

Il s'était aussi penché sur les drames sociaux comme la prostitution dans "Volets clos" (1951) et "La Traite des blanches" (1952). Dans "Un vrai crime d'amour" (1974), il narrait une histoire d'amour qui finit mal dans la Lombardie industrielle. Il s'était également essayé à l'adaptation littéraire avec "La ragazza" (1963), film dans lequel brillait la toute jeune Claudia Cardinale.

Luigi Comencini était le père d'une véritable tribu de cinéma, les réalisatrices Cristina et Francesca Comencini, et celui de la costumière Paola Comencini, auxquelles il passe le flambeau.

Voir les liens suivants sur ce blog :

http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2007/03/28/4436259.html#comments

http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2007/03/09/4254841.html#comments

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61753.html

http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=30015.html

"S'abstenir de voter est un péché", selon l'évêque de Nanterre

Dans une interview publiée vendredi 6 avril par Le Parisien, Mgr Gérard Daucourt, évêque de Nanterre (Hauts-de-Seine), se dit "triste et déçu par cette campagne très médiatique où l'image et l'émotion l'emportent sur la réflexion et l'analyse" tout en se demandant si "la fraternité, ça vaut encore dire quelque chose ?"

Interrogé sur les programmes des candidats à l'élection présidentielle, l'homme d'église relève qu'"aucun programme ne coïncide parfaitement avec l'Evangile". Ce qu'il ne l'empêche pas de dire "aux chrétiens : faut se mouiller" car "s'abstenir est un péché".

"S'abstenir de voter est un péché", selon l'évêque de Nanterre

Dans une interview publiée vendredi 6 avril par Le Parisien, Mgr Gérard Daucourt, évêque de Nanterre (Hauts-de-Seine), se dit "triste et déçu par cette campagne très médiatique où l'image et l'émotion l'emportent sur la réflexion et l'analyse" tout en se demandant si "la fraternité, ça veut encore dire quelque chose ?"

Interrogé sur les programmes des candidats à l'élection présidentielle, l'homme d'église relève qu'"aucun programme ne coïncide parfaitement avec l'Evangile". Ce qu'il ne l'empêche pas de dire "aux chrétiens : faut se mouiller" car "s'abstenir est un péché".