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Jours tranquilles à Paris
francois hollande
18 avril 2015

Hollande dans l’arène de Canal+

Le chef de l’État sera l’invité, dimanche midi, d’une émission décalée. Une opération « bilan et perspectives ».

À partir de 12 h 30, le président de la République sera sur le plateau du « Supplément », l’émission de Canal+ présentée par la journaliste Maïtena Biraben. Deux heures durant, interviews, reportages et… chroniques humoristiques se succéderont avec plus ou moins de cohérence. À deux semaines de la date anniversaire de son élection, le 6 mai 2012, François Hollande fera le bilan de ses trois ans à l’Élysée et mettra en perspective les deux dernières années avant la présidentielle de 2017. Défaites électorales en série, manque de résultats sur le front économique et social, popularité au plus bas… Le contexte n’incite guère à l’optimisme. Un de ses conseillers assure que le Président« aura à cœur de préciser le sens des réformes engagées, leur articulation, leur priorisation (sic)» .« Terrorisme et sécurité » ,« lutte contre les extrémismes » ainsi que« la jeunesse, fil rouge de son quinquennat » , seront les principaux thèmes abordés. Peut-être s’appuiera-t-il sur les préconisations des rapports remis, cette semaine, par les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Pour faire vivre« l ’engagement citoyen et l’appartenance républicaine » , le développement du service civique et le vote obligatoire ont été envisagés. Mais, globalement, peu d’annonces sont à attendre, les grandes réformes du quinquennat étant déjà sur les rails. Sur la forme, le choix de Canal+ illustre la volonté de François Hollande de« parler à tout le monde » .Avec un risque, toutefois. Le style du « Supplément », mélange de proximité et de dérision, pourrait décrédibiliser encore un peu plus la parole présidentielle.

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16 avril 2015

François Hollande, dimanche prochain, invité de l'émission "Le Supplément"

11 avril 2015

François Hollande dans «le Supplément» de Canal+ (le 19 avril) - save the date

En direct et en clair. Le président de la République François Hollande sera l'invité d'une «émission spéciale» le dimanche 19 avril sur Canal+ «à l'occasion de ses 3 ans de mandat».

Le chef de l'Etat sera invité dans le cadre de l'émission «le Supplément», présentée par la journaliste Maïtena Biraben, diffusée à partir de 12H30. François Hollande avait été élu à la présidence de la République le 6 mai 2012. Il avait officiellement pris ses fonctions à l'Elysée le 15 mai, succédant à Nicolas Sarkozy.

21 février 2015

François Hollande au Salon de l'Agriculture

12 février 2015

Ukraine : espoir d'une signature ?

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11 février 2015

Ukraine

Ukraine : un sommet à l’issue incertaine

Quatre chefs d’État se retrouvent ce soir pour l’une des dernières chances de régler le conflit en Ukraine. Le président François Hollande se rend à Minsk (Biélorussie), ce mercredi soir, avec« la ferme volonté d’aboutir » à un accord de paix pour l’Ukraine. Ce sommet doit réunir le Russe Vladimir Poutine, l’Ukrainien Petro Porochenko, ainsi que la chancelière allemande, Angela Merkel, et le président français. Ce sommet, de la dernière chance, selon de nombreux observateurs, devrait porter notamment sur un retrait des armements lourds, la mise en place d’une zone démilitarisée dans l’est de l’Ukraine (de 50 à 70 km de part et d’autre de la ligne de démarcation entre pro-Russes et Ukrainiens) et l’établissement d’un dialogue entre l’Ukraine et les séparatistes. Quinze tués hier Il n’est pas prévu, toutefois, qu’un accord soit signé au sommet de Minsk, selon une source russe. Quant à la Crimée, annexée au printemps dernier par les Russes, elle ne figure pas à l’ordre du jour. Hier soir, selon une source diplomatique française, les négociations étaient« difficiles » et achoppent sur plusieurs sujets litigieux. Dans la journée, quinze personnes sont mortes et soixante-trois autres ont été blessées dans des tirs de roquettes sur la ville de Kramatorsk, où est installé le quartier général de l’armée ukrainienne pour l’est du pays. Ces victimes s’ajoutent aux sept soldats ukrainiens et cinq civils tués un peu plus tôt. Hier soir, le groupe de contact (Ukraine, Russie, rebelles ukrainiens et OSCE) réuni à Minsk, annonçait être parvenu à un accord sur un cessez-le-feu et sur les moyens de le contrôler. Il est également parvenu à un accord sur un plan de retrait des armes lourdes.

10 février 2015

L’Ukraine suspendue aux visées de Poutine

L’initiative diplomatique franco-allemande pour obtenir un cessez-le-feu se poursuit. Berlin, Paris, Kiev et Moscou pourraient se retrouver demain, mercredi, à Minsk, en Biélorussie. Sous certaines conditions.

Quel calendrier ?

À Paris, on l’appelle le« format Normandie » . Celui qui, le 6 juin dernier, permit de dialoguer à quatre sur le sort de l’Ukraine. Porochenko, Poutine, Merkel et Hollande. Entre les quatre leaders, le contact est permanent depuis quelques jours. Les dirigeants allemand et français sont allés à Kiev, puis à Moscou samedi. Hier, les négociations ont continué par téléphone. Aujourd’hui, les hauts fonctionnaires prendront le relais à Berlin. Avec comme objectif la tenue d’un sommet, mercredi à Minsk. L’objectif est d’arracher un accord de cessez-le-feu et mettre un terme aux combats qui, depuis dix mois, ont fait plus de 5 300 morts dans l’est de l’Ukraine. Un premier accord avait déjà été trouvé à Minsk, en septembre, mais il est resté lettre morte. Le forcing diplomatique en cours aura-t-il plus de succès ? Les espoirs sont minces, car c’est une bataille beaucoup plus vaste qui est en cours. Entre Moscou et Washington.

Que veut Poutine ?

Si les conditions posées par Poutine à la tenue du sommet de mercredi restent confidentielles, ses visées géopolitiques ne sont pas un mystère. Que dit le président russe ? Que son pays ne veut pas la guerre, mais qu’il n’accepte plus l’ordre américain. Il l’a redit à Sotchi, samedi, en niant à Washington le rôle de« leader incontestable » . Moscou veut retrouver son rang international et le clame. Traduit concrètement, ce désir de restaurer la puissance russe passe par la revendication de zones d’influence bien déterminées. L’Ukraine est une pièce maîtresse de ce jeu, pour mille raisons. Historiques, culturelles, religieuses, militaires, linguistiques et surtout, symboliques. Voir Kiev se rapprocher de l’Union européenne, et y voir se déployer les armes de l’Otan, est vécu au Kremlin comme une menace majeure.

Que veut l’Occident ?

Écartons un instant les visées russes et demandons-nous ce que recherche l’Occident. L’Union européenne est-elle prête à intégrer l’Ukraine ? Pas le moins du monde. L’Otan veut-elle de Kiev en son sein ? Berlin et Paris sont contre, et ce serait un casus belli pour Moscou. Alors, profitant de cet entre-deux, Poutine exploite toutes les divisions du camp occidental. En jouant l’Europe contre les États-Unis, en soutenant les populismes nationalistes contre l’Europe. Prêt à souffler sur les braises en Moldavie, voire en Estonie. À soutenir Budapest, Belgrade et pourquoi pas, Athènes. Certes, l’économie russe souffre beaucoup. Sanctions, chute des cours du pétrole et du rouble. L’Occident mise beaucoup sur cet essoufflement. Mais Moscou mise sur les ambiguïtés de l’Occident vis-à-vis de l’Ukraine. Et ce bras de fer en trompe l’œil risque, hélas pour les civils, de durer encore longtemps. Article de Laurent MARCHAND.

poutine

5 février 2015

Conférence de Presse du Président de la République

5 février 2015

Conférence de Presse de François Hollande en fin de matinée

1 février 2015

Save the date - Conférence de Presse du Président de la République

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