Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
francois hollande
27 octobre 2016

Viennoiseries....

croi (1)

croi (2)

croi (3)

Publicité
13 octobre 2016

Ces pages qui ébranlent la hollandie

Livre « Consternant », « horrible », « pitoyable » : les socialistes jugent sévèrement les dernières confidences du président.

« Je viens de finir ma boîte de Prozac », lâche un proche de François Hollande. Hier matin, la parution dans nos colonnes des bonnes feuilles d’« Un président ne devrait pas dire ça »*, qui paraît aujourd’hui, a consterné le clan des hollandais. « Comment il peut faire un truc pareil ? Je lui en veux, c’est pas possible », fulmine un baron de la hollandie. « C’est horrible, horrible, se lamente une responsable socialiste. Il va avoir du mal à s’en remettre. »

Islam, terrorisme, Nicolas Sarkozy, etc. Au fil des 663 pages de ces confidences explosives, Hollande commente en spectateur son action. « Hollande donne une image assez pitoyable de lui-même », soupire un député qui le soutient pourtant. Ses détracteurs au sein du Parti socialiste (PS), eux, ne se gênent pas pour l’étriller.

« Le mec n’a toujours pas acté qu’il est président de la République. C’est crépusculaire », tacle le député frondeur Laurent Baumel, soutien d’Arnaud Montebourg dans la primaire de gauche. Tous sont effarés par le temps que le président a consacré aux deux auteurs de cet ouvrage (soixante et un rendez-vous dont huit dîners privés au domicile d’un des journalistes). Sans compter tous les autres entretiens accordés pour d’autres livres… « Si seulement il nous en avait accordé autant. Sa majorité ne serait peut-être pas disloquée », peste Christian Paul, le chef de file des frondeurs que le président aura reçu en groupe une seule fois durant son quinquennat ! « Mais quand est-ce qu’il bosse ? s’exaspère une cadre socialiste, fidèle de toujours. Il devrait faire une psychanalyse. Il est son pire ennemi. Il n’est pas fait pour ce job. »

« Il ne préside pas, il commente »

« Il paie cash le fait de ne pas maîtriser son expression », déplore un de ses supporteurs. Le jour où il s’adresse à la gauche dans une interview à « l’Obs » où il fait un pas de plus vers sa candidature, la sortie du livre brouille totalement son message.

« Il ne préside pas, il commente », s’agace un de ses partisans. Quitte à se contredire. Comme sur la déchéance de la nationalité dont il se dit hostile à titre privé… après avoir voulu la faire voter par le Parlement ! De quoi exaspérer certains élus. « Ceux qui l’ont soutenu par loyauté le regrettent aujourd’hui », affirme un député. Et que dire de l’énorme pataquès autour de Notre-Dame-des-Landes ? Le jour même où Manuel Valls déclare que les opposants au projet seront bien expulsés cet automne, le président confie que d’après lui, l’aéroport ne verra pas le jour ! D’autres préfèrent en rire. Alors qu’une salle de shoot vient d’ouvrir à Paris, un député PS suggère d’interdire l’accès de l’Elysée aux journalistes, « puisque Hollande se shoote aux médias ». Mais une question les taraude tous : quelle sera l’ampleur des dégâts ? « Ça restera sans doute assez parisien mais ça participe d’une ambiance générale. C’est du bruit négatif pour lui », analyse un responsable socialiste. Un fidèle soupire : « Faire campagne pour lui, ça va être dur… »  Par Ava Djamshidi et Philippe Martinat

  • « Un président ne devrait pas dire ça », Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Stock.
13 octobre 2016

Livre de François Hollande

13 octobre 2016

François Hollande. Étalage de confidences

Entre perplexité, agacement, indignation et de rares encouragements, le livre de confidences de François Hollande à des journalistes a suscité, hier, une cascade de réactions qui ont parasité le travail d'inventaire de son quinquennat ébauché, par ailleurs, dans l'Obs.

En voici les passages les plus croustillants, tirés, pour les uns, du livre, pour les autres de l'hebdomadaire. Valérie Trierweiler. « L'obsession de Valérie, ce n'était pas Julie (Gayet) ou une autre, c'était Ségolène ». Leur rupture a été « le pire moment personnel du quinquennat ». Le livre « Merci pour ce moment » ? « Pas un acte malveillant, mais l'acte d'une femme malheureuse ». Mais il n'a pas digéré l'expression « sans-dents », même s'il a bien employé ces mots : « Je lui ai dit : je vois les gens qui viennent vers moi dans les manifestations, ce sont des pauvres, ils sont sans dents ». « C'est odieux, c'est une trahison. Quand je dis : j'aime les gens, c'est vrai ». Tweet vengeur et embarrassant. Réplique immédiate de Valérie Trierweiler, hier, sur son compte Twitter. L'ex-compagne répudiée a posté sur le réseau social un SMS reçu de son ancien compagnon, le 31 mai 2008, à 12 h 39 : « Je suis avec ma copine Bernadette dans une grande manifestation dans son canton. Je lui ai fait un numéro de charme. Mais tu ne dois pas t'inquiéter. Dans son discours, elle a fait un lapsus formidable. Rire général, même chez les sans-dents ». Embarrassant, y compris pour le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. Interrogé lors de son point de presse hebdomadaire, il s'est d'abord refusé à commenter cette information avant qu'un journaliste ne lui tende son portable pour lui montrer les tweets de Valérie Trierweiler. « En plus, il y en a plusieurs », a-t-il d'abord relevé avant de se plonger longuement dans leur lecture, et d'ajouter, visiblement désemparé : « Avec ça, je laisse les Français faire leur jugement... » Ségolène Royal. « Celle qui me connaît le mieux », « celle dont je suis le plus proche ». Notre-Dame-Des-Landes. « Le plus probable, c'est que ce projet ne sera pas annulé, mais ne verra pas le jour ! » Sarkozy. « C'est le petit De Gaulle. On a eu Napoléon le petit, eh bien là, ce serait De Gaulle le petit ». « Les cassettes » de l'ex-conseiller, Patrick Buisson, « sont très importantes, non pas qu'elles révèlent quoi que ce soit mais elles vont révéler ce qu'est ce type. Sa grossièreté, sa méchanceté, son cynisme ». Fillon. L'ex-Premier ministre a bien demandé à l'Élysée d'accélérer les procédures en cours contre Sarkozy : « Il a dit à Jouyet (secrétaire général de l'Élysée) : " Mais comment ça se fait que vous ne poussiez pas la justice à en faire davantage ? " ». Islam. « La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain. Parce que d'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions de son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal ». Son avenir. « J'aimerais que l'on dise de moi, puisque c'est la vérité, que j'ai été courageux. » « Je n'ai pas peur de perdre. Je n'aurai pas de frustration et je n'en voudrai pas aux Français. » « Je ne courrai pas le cacheton en faisant des conférences. » Manuel Valls, par sa « loyauté absolue », serait son héritier. Emmanuel Macron, avant sa démission du gouvernement ? Un « garçon gentil », « authentiquement de gauche ». Najat Vallaud-Belkacem. « Elle est bonne, Najat, très forte en langue de bois ». Jean-Marc Ayrault, Premier ministre . « Il est tellement loyal qu'il est inaudible ». Les Verts et les frondeurs. Les premiers sont « des cyniques et des emmerdeurs », les seconds, la preuve qu'une « agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote ». Les électeurs de gauche tentés de participer à la primaire de la droite. « Le premier devoir d'un électeur, c'est de faire valoir ses idées. Je pense que si nous installons l'idée que pour éviter l'extrême droite il faut voter pour la droite, eh bien, à ce moment-là, il n'y aura plus de gauche ». Source : Le Télégramme

12 octobre 2016

La visite en France de Vladimir Poutine, prévue le 19 octobre, est reportée

Publicité
11 octobre 2016

Poutine bientôt à Paris...

d9MAJ :

La visite en France de Vladimir Poutine, prévue le 19 octobre, est reportée

Un séjour gênant, et finalement annulé. La Russie avait annoncé, au printemps, une visite privée de Vladimir Poutine, le 19 octobre à Paris. L'exécutif français, qui fustige les "crimes de guerre" commis à Alep, ville écrasée sous les bombes du régime syrien et de son allié russe, hésitait sur l'attitude à adopter. Finalement, la visite du président russe est reportée sine die, indique mardi 11 octobre l'Elysée contacté par franceinfo. 

 

9 septembre 2016

Terrorisme. Hollande en défenseur de l'État de droit

terrorisme-hollande-en-defenseur-de-l-etat-de-droit_3079617

Toujours aussi impopulaire, François Hollande s'est posé, ce jeudi, en défenseur de l'État de droit face au terrorisme, dans un discours aux airs de pré-campagne.

Terrorisme.

Salle Wagram, du nom de l'une des victoires décisives de Napoléon, et devant un public acquis, le chef de l'État s'est dit déterminé à poursuivre « obstinément le combat » contre le terrorisme, même s'il a reconnu que ce dernier serait de longue haleine. Il a évoqué des « tentatives » d'attentats déjouées « ces derniers jours ». François Hollande, qui avait déclenché, au soir du 13 novembre, un état d'urgence, prolongé jusqu'à aujourd'hui malgré des réticences à gauche, et s'est englué dans un interminable débat sur la déchéance de nationalité, a voulu se poser en défenseur de l'État de droit, rejetant tout « État d'exception » contre les attaques jihadistes. Il n'a pas ménagé ses coups contre ceux qui, à droite, « battent les estrades en recourant à toutes les surenchères pour mieux se distinguer à l'intérieur de leur camp ». Il a plus particulièrement éreinté les « arguties juridiques » évoquées par Nicolas Sarkozy qui empêcheraient, selon l'ancien président, de lutter contre le terrorisme, ou balayé l'idée d'interner sans jugement les personnes radicalisées.

15 juillet 2016

Intervention de François Hollande, Président de la République

14 juillet 2016

François Hollande

19 juin 2016

Primaire à gauche. Hollande prend le risque pour se représenter

Fait inédit dans la Ve République pour un président sortant : François Hollande passera, selon toute vraisemblance, par une primaire pour se représenter en 2017, après la décision du Conseil national du PS d'organiser une telle consultation, les 22 et 29 janvier.

À moins d'un an de la présidentielle, le parlement des socialistes a en effet approuvé « à l'unanimité », hier, une résolution affirmant que, « faute de soutien des Verts et du PCF à une primaire de toute la gauche », le Parti socialiste décide d'organiser une primaire ouverte à tous les citoyens, mais resserrée « aux acteurs de la Belle Alliance populaire » (autrement dit PS, PRG et écologistes pro-gouvernement) et à « tous ceux qui soutiendraient la démarche ».

Les 22 et 29 janvier

« C'est une primaire qui sera plus large que celle de 2011 », a assuré, hier, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, réaffirmant, sur TF1, qu'il « souhaitait » que le président de la République se soumette à l'exercice. « Si je ne suis pas en mesure de remporter la primaire, comment pourrais-je espérer remporter la présidentielle ? », a, pour sa part, confié à des visiteurs le chef de l'État, élu en 2012 après avoir remporté la primaire de son parti.

Le texte propose d'organiser ces « primaires de l'unité les 22 et 29 janvier ». La date d'ouverture des candidatures est fixée au 1er décembre et leur clôture au 15 décembre. Compte tenu de « l'urgence » du calendrier, « il n'y aura pas autant de votants que la dernière fois », a, d'ores et déjà, prévenu Jean-Christophe Cambadélis.

« Dernier clou sur le cercueil »

Primaire de « relégitimation » pour certains, aveu de faiblesse pour d'autres : l'organisation de la primaire est la preuve qu'il n'y a « plus de candidat naturel » du PS à la présidentielle, selon le député et ancien ministre, Benoît Hamon (aile gauche du PS).

Un sentiment partagé dans l'opposition : « C'est un peu le dernier clou sur le cercueil électoral du Parti socialiste que d'imposer à un sortant (...) de passer par une primaire », a ironisé, sur BFMTV, Thierry Solère (LR), président du comité d'organisation de la primaire de droite. Source : Le Télégramme

============================

Présidentielle : le PS approuve à l’unanimité l’organisation d’une primaire

Le conseil national du Parti socialiste a approuvé à l’unanimité, samedi 18 juin, l’organisation en janvier 2017 d’une primaire ouverte à « la gauche de gouvernement » sur une proposition de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis. Ce dernier souhaite donner une suite à la Belle Alliance populaire, créée en juin 2015 après le congrès socialiste à Poitiers, qui rassemble le PS, le Parti radical de gauche (PRG) et les écologistes progouvernement.

Pourquoi une primaire de la « gauche de gouvernement » et pas de la gauche ?

Une version provisoire du texte de la « résolution sur les primaires » qui a été soumise au vote du conseil national expliquait que « faute de soutien des Verts et du PCF à une primaire de toute la gauche, le Parti socialiste décide d’organiser une primaire ouverte aux acteurs de la Belle Alliance populaire, et tous ceux qui soutiendraient la démarche ».

Samedi, au cours d’une conférence de presse, M. Cambadélis a déclaré que « pendant six mois, nous avons été baladés » par d’autres partis de gauche, et que « nous sommes obligés de faire une primaire dans l’urgence, pas de notre fait ».

La proposition de M. Cambadélis, révélée la veille de la réunion du conseil, vendredi 17 juin, a créé la surprise. Quelques jours avant, en effet, pour éviter l’organisation d’une primaire, la direction du parti avait émis l’idée de changer les statuts du PS.

Une primaire de toute la gauche est devenue impossible depuis que Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) a refusé d’y participer, et a annoncé sa candidature à la présidentielle, tout comme le Parti communiste et Europe Ecologie-Les Verts.

« Nous ferons tout pour » que cette primaire « soit représentative et qu’elle permette de clarifier et de désigner notre candidat à l’élection présidentielle », a dit M. Cambadélis, samedi, ajoutant qu’« il n’y aura pas autant de votants » que pour celle de 2011, compte tenu de cette « urgence » dans laquelle elle sera organisée.

Quand cette primaire aura-t-elle lieu ?

Un nouveau conseil national, prévu le 2 octobre, devra ratifier des modalités de vote et de débats, après une discussion en commission de suivi des primaires et une consultation des partenaires du PS, selon le texte soumis au conseil national.

Le texte propose d’organiser ces « primaires de l’unité les 22 et 29 janvier ». La date d’ouverture des candidatures est fixée au 1er décembre et leur clôture au 15 décembre.

François Hollande sera-t-il l’un des candidats de cette primaire ?

Le calendrier retenu est compatible avec celui du président de la République, qui a annoncé qu’il se déterminerait sur une candidature à un second mandat « en décembre ».

Concernant une participation de M. Hollande à cette primaire, M. Cambadélis a répondu qu’il « la souhaite ». Et selon les informations du Monde, la décision de M. Cambadélis a été prise en accord avec l’Elysée.

« Je crois que le président de la République a hâte d’expliquer quels ont été ses choix (…) et de souligner devant l’ensemble des Français comment il a réussi et comment les résultats, que ce soit de la croissance ou de l’emploi, sont bons aujourd’hui et comment tous les indicateurs sont au vert », a déclaré M. Cambadélis, samedi sur TF1.

Dans un entretien au Journal du dimanche, dimanche 19 juin, Manuel Valls revient sur la question de savoir si, dans l’hypothèse où François Hollande serait bel et bien candidat, la primaire ne dévaloriserait pas sa fonction. Le premier ministre fait valoir : « Qu’y a-t-il de dévalorisant à retourner devant les Français, à défendre ses idées, à expliquer son action ? C’est cela, la démocratie ! »

Quelles sont les réactions à cette annonce du PS ?

« Si dans les faits, on a une primaire, c’est qu’il n’y a plus de candidat naturel. Le premier secrétaire vient de le confirmer », avait déclaré samedi l’ancien ministre redevenu député Benoît Hamon. « Cela va permettre d’ouvrir un débat très large, un débat de ligne, un débat de stratégie, ce qui me va bien. »

La sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, membre de l’aile gauche du PS avait dit, vendredi sur LCI, que « comme 85 % des Français de gauche, nous souhaitons cette primaire, et par ailleurs nous l’exigeons ». Elle avait ajouté qu’elle était « plus que jamais » candidate à cette primaire.

François de Rugy, président du parti Ecologistes ! et l’un des vice-présidents de l’Assemblée, a fait savoir qu’il pourrait être candidat à cette primaire. « Je pense que les Ecologistes ! auront une place dans la primaire et que je pourrai y représenter les écologistes réformistes », a déclaré le député de la Loire-Atlantique, précisant qu’il devait en discuter avec ces derniers.

« La primaire correspond à un besoin de participation démocratique dans notre société », estime de son côté Manuel Valls, qui fut l’un des participants à la primaire du PS de 2011 : « Plus que jamais le pays a besoin d’une parole forte, d’une autorité et d’un projet qui repose sur le progrès, le compromis et la défense de la république. » Source : Le Monde

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
Publicité