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Jours tranquilles à Paris
laetitia casta
21 janvier 2020

Laetitia Casta, au top : son étincelant retour sur les podiums !

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Après presque 10 ans d'absence sur les podiums des défilés de mode, Laetitia Casta a effectué un superbe retour lors du défilé Jacquemus.

Voilà un come-back qui fait plaisir à voir ! Cela faisait plus de dix ans que Laetitia Casta n'était pas montée sur un podium.  Mais qu'on se le dise, il n'est jamais trop tard pour afficher sa beauté ! À 41 ans, le mannequin a fait son retour sur un podium, samedi 18 janvier, lors du défilé Jacquemus, à la Défense à Paris.

L'ex-top model star des années 1990, reconvertie depuis comédienne, a ouvert le défilé du jeune styliste français, lors de la Fashion Week Homme automne-hiver 2020-2021. "Je rêve de Laetitia Casta depuis petit. Elle est l'incarnation de la beauté française par excellence, de la beauté tout court. J'étais si heureux qu'elle participe à ce défilé", s'embrasait le créateur dans un entretien accordé à Vogue qui réalise ainsi l'un de ses rêves.

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20 janvier 2020

Laetitia Casta fait une rare apparition sur un podium pour le défilé Jacquemus

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Après 10 ans d'absence sur les podiums des défilés de mode, Laetitia Casta a fait son grand retour, samedi 18 janvier 2020, lors du défilé Jacquemus. Un rêve qui se concrétise pour le jeune styliste.

Depuis qu'il est tout petit, Simon Porte Jacquemus rêvait de voir défiler pour lui la mannequin et comédienne Laetitia Casta. C'est maintenant chose faite. En effet, samedi 18 janvier 2020, elle a ouvert son défilé lors de la Fashion Week Homme automne-hiver 2020-2021. Le show s'est déroulé à l'Arena de la Défense à Paris. "Je rêve de Laetitia Casta depuis petit. Elle est l'incarnation de la beauté française par excellence, de la beauté tout court. J'étais si heureux qu'elle participe à ce défilé", a confié l'artiste dans Vogue. Ainsi, c'était donc l'actrice de 41 ans qui a donné le coup d'envoi de son show, après dix ans loin des podiums. Sa dernière apparition remonte au défilé Louis Vuitton lors de la Fashion Week automne-hiver 2011-2012.

Bien entendu, Laetitia Casta n'était pas la seule mannequin à défiler pour le compte Jacquemus samedi. Au total, 70 looks ont pris vie à l'intérieur de l'Arena. Les créations étaient portées entre autres par Jill Kortleve, figure du mouvement body positive et cover girl du numéro de février 2020 de Vogue Paris. Bella et Gigi Hadid ont également défilé, pour la première fois, pour le créateur de 30 ans. Parker van Noord, Jarrod Scott, Cyrus Amini et le boxeur Alexis Chaparro ont aussi défilé côté hommes.

Laetitia Casta portait une tenue avec un camaïeu de beiges

Pour son grand retour, Laetitia Casta était habillée d'un ensemble décliné dans un camaïeu de beiges, d'un top en maille, jupe, de chaussettes et de sandales estivales. Simon Porte Jacquemus a voulu faire un clin d'oeil aux années 90 avec son défilé. "C'est l'année où j'ai fait d'un rideau en lin, une jupe pour ma mère", a-t-il expliqué. Toutes ses pièces étaient monochromes : le beige. Il est parvenu à décliner cette couleur dans toutes ses nuances, que ce soit pour les vêtements ou hommes.

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Laetitia Casta - Défilé Jacquemus Homme automne-hiver 20/2021 intitulé 1997 à Paris, le 18 janvier 2020.

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19 janvier 2020

Laetitia Casta

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16 janvier 2020

Une île sur ARTE - 2ème partie - avec Laetitia Casta, ce soir

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12 janvier 2020

ARTE - Une île avec Laetitia Casta

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12 janvier 2020

Laetitia Casta dans la magazine ELLE

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11 janvier 2020

Laetitia Casta en couverture de ELLE

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9 janvier 2020

Laetitia Casta : «Mon corps est un outil de travail»

Dans la série «Une île», diffusée à partir de ce jeudi soir sur Arte, la comédienne incarne Théa, une inconnue magnétique et dangereuse, retrouvée nue dans un bateau à la dérive. Nous l’avons rencontrée.

 

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Dans «Une île», Laetitia Casta joue une sirène meurtrière qui «incarne tout ce qui fait peur à l’homme, ce qui dérange, ce qui n’est pas contrôlable». Angela Rossi

Par Stéphanie Guerrin

Une communauté en détresse, des morts suspectes et le mythe des sirènes en trame de fond. Avec « Une île », qui démarre ce jeudi 9 janvier à 20h55 sur Arte (et disponible en intégralité sur Arte.tv le jour même) la chaîne franco-allemande propose une nouvelle série audacieuse. Laetitia Casta, 41 ans, y interprète une inconnue retrouvée nue dans un bateau à la dérive. Prix de la meilleure série française au dernier festival Séries Mania en mars 2019, « Une île » nous a séduits grâce à son très beau casting – avec Sergi Lopez et les jeunes Noée Abita et Alba Gaïa Bellugi – mais déroutés par son intrigue au rythme très lent. Laetitia Casta revient sur son rôle très animal.

En quoi Théa, votre personnage, est différente de la sirène que vous avez jouée au théâtre dans « Ondine » ?

LAETITIA CASTA. Ce n'est pas du tout le même genre. Ondine tombe amoureuse d'un chevalier et veut se transformer en être humain pour vivre son histoire d'amour alors que dans « Une île », Théa est une meurtrière en série. Elle incarne tout ce qui fait peur à l'homme, ce qui dérange, ce qui n'est pas contrôlable. Elle va se servir de son propre désir et de son pouvoir de séduction, c'est une femme fatale, mais au sens propre.

Théa communique davantage par le corps que par les mots…

C'était le côté un peu casse-gueule du rôle. J'ai décidé de travailler avec la danseuse et chorégraphe Blanca Li pour trouver une démarche, une manière de renifler, de toucher, de capter mes proies. Nous avons fait des recherches comme dans un laboratoire. Il fallait que je me trompe, que je tombe parfois dans la caricature à ce moment-là pour pouvoir trouver ce qu'il y avait de plus juste et de plus fin.

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Laetitia Casta a travaillé avec la chorégraphe Bianca Li le côté animal du personnage. Angela Rossi 

Elle magnétise les regards et suscite le désir. Un peu comme vous tout au long de votre carrière, non ?

Ce qui est différent, c'est le côté naturel, animal de Théa. L'animal, contrairement à l'homme, n'est pas dans la représentation. Moi, ça fait longtemps que j'ai dépassé ça. Comme une danseuse, mon corps est un outil de travail.

La série est très sensuelle avec beaucoup de nudité. C'est délicat pour vous ?

Non parce que ce n'est jamais cru, ça correspond au personnage, il n'y a pas de voyeurisme. Je n'ai pas de problème avec ça, tant que c'est justifié, que ça raconte quelque chose, et pas juste pour être vulgaire. J'étais dans mon personnage, j'étais dans le contrôle.

Comment voyez-vous l'évolution du monde de l'audiovisuel ?

Il se passe pas mal de choses, ça bouge au niveau de la place des femmes surtout… Mais je trouve qu'il y a un pas en arrière sur le puritanisme, la censure, le jugement très dur qui se développe derrière les écrans. Il faut faire attention à ce que la libération de la parole n'entraîne pas ça aussi.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

« Une île », série française écrite par Gaia Guasti et Aurélien Molas, réalisée par Julien Trousselier (2020), avec Laetitia Casta, Noée Abita… Episodes 1 à 3/6 (3x45 minutes).

9 janvier 2020

Bande annonce de la série "Une île", diffusée sur Arte les 6 et 16 janvier 2020, avec Laetitia Casta.

9 janvier 2020

Laetitia Casta à l'affiche de la série «Une île» sur Arte

«J'ai hésité avant d'accepter de jouer une sirène en Corse», confie Laetitia Casta à l'affiche de la série «Une île» sur Arte

INTERVIEW -  Arte propose à partir de jeudi soir, et dès ce lundi sur son site, la série inédite «Une île», où Laetitia Casta incarne une sirène pas comme les autres. Un tour de force pour l'actrice, et une interview passionnante pour «20 Minutes»

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Laetitia Casta joue une sirène loin des clichés du genre, dans «Une île», la nouvelle série d'Arte

Il y a maintenant plus d’un an, 20 Minutes était convié en Corse sur le tournage d'une nouvelle série Arte au titre générique mais mystérieux : Une île. Sur place, notre journaliste s’était laissée séduire par cette relecture moderne du mythe de la sirène, en résonance avec les thématiques fortes du moment, le féminisme et l’écologie, et par la sirène elle-même, incarnée par Laetitia Casta. Confirmation quelques mois plus tard à Séries Mania, où Une île était sacrée meilleure série française. C’est également à cette occasion que l’on a retrouvé Laetitia Casta pour tenter de percer l’étrange personnage de Théa, qui débarque sur une île frappée par une pénurie de pêche et dans la vie de la jeune Chloé (Noée Abita). La série sera diffusée les jeudis 9 et 16 janvier sur Arte à 20h55, et les trois premiers épisodes sont d’ores et déjà en ligne sur le site de la chaîne.

J’ai lu que vous aviez hésité avant d’accepter le rôle de Théa. Pourquoi ?

J’avais besoin de réfléchir au projet, de comprendre où je mettais les pieds. Lorsqu’on vous dit que ce sera en Corse, ouhla, moi qui suis corse, j’en ai vu passer de tels projets. Puis on vous ajoute : « C’est une sirène ». Oh, tout de suite, vous pouvez avoir des a priori, ce qui est normal. Mais une fois le scénario lu, j’ai saisi l’essence du message qu’il y avait derrière, quelque chose de profond. J’ai également voulu rencontrer le metteur en scène, savoir où il voulait emmener la série, comment il pensait gérer les effets spéciaux, à quoi la sirène allait ressembler. Des questions importantes pour moi, et qui ont pu prendre un peu de temps, une mise en confiance. Comme aime le dire le réalisateur Julien Trousellier, c’est moi qui lui ai fait passer un casting. (rires)

C’est une première incursion dans le genre pour vous, non ?

J’avais déjà fait Derrière les murs, un film un peu expérimental en 3D, qui n’avait pas marché mais j’avais adoré ça. Il y a une vraie responsabilité envers ce type de personnage, car si on ne croit pas à la sirène, à ma sirène, cela peut tout foutre en l’air. Même pour les autres personnages, les autres acteurs. D’emblée, je voulais quelque chose d’animal. Comment y arriver, faire croire à l’étrangeté, être crédible ? Car il n’y a pas d’effet spécial, pas de maquillage, rien. J’ai trouvé la solution : je peux le faire, avec une chorégraphe. Je n’ai pas lâché cette idée, c’était avec ça, comme ça, ou je ne le faisais pas. On ne peut pas arriver sur un tournage en disant : « Je vais faire une sirène », même si vous avez les plus grandes qualités d’acteur. Il faut amener un mouvement, de l’incarnation, du concret.

Avec la figure de la sirène, il y a une notion de sensualité qu’il fallait représenter à l’écran.

Et ne pas tomber dans la caricature, que la nudité ne soit pas voyeuriste, mais un outil. Théa arrive comme elle est, son corps est une arme. C’était très intéressant à chercher dans l’attitude, la gestuelle. Mais très vite, je me suis rendu compte qu’avec ce personnage, tout passait par le regard, encore plus que par le corps. Et au contact des humains, de Chloé, elle va se perdre, sortir des règles qu’elle s’était fixées, et découvrir l’émotion, l’empathie… Des choses qu’elle n’avait jamais ressenties avant.

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Comment est-ce d’accompagner un personnage si longtemps, sur six épisodes, voire une saison 2 ?

Quand j’ai démarré le cinéma, j’avais la sensation de rentrer dans la peau du personnage. J’imaginais une silhouette dans laquelle je me glissais. Maintenant, c’est l’inverse, c’est le personnage qui entre en moi. Je vais chercher des choses en moi, c’est très intéressant. Être actrice, c’est comme un phare qui éclaire tout, partout, en haut, en bas, sur les côtés. Je trouve cela extraordinaire, c’est une connaissance de soi, de la vie. On peut puiser en soi, mais aussi chez les autres, ce qu’on a vu des autres, ceux qui nous ont inspiré, ce qu’on a envie de devenir.

Pour moi, souvent, dans les films ou les séries, il y a un petit côté visionnaire, mystique. Comme si ce que je joue pouvait arriver, et c’est toujours bon signe. Regardez ce qu’il se passe en ce moment, avec les femmes, il y a une sorte de prise de conscience. Je pense au livre Sorcières, la puissance des femmes de Mona Chollet. Comment se reconnecter à soi, mais aussi à la nature. Le rôle de Théa participe à cela également.

Comment s’est passée votre relation et collaboration avec Noée Abita, avec qui vous formez un vrai duo ?

Ma rencontre avec Noée m’a aussi encouragée à faire la série. Elle était parfaite, inspirante, pour mon personnage. Cela fonctionnait, ils ont réussi à créer quelque chose d’extrêmement juste avec le casting. Si on ne croit au couple d’amis, d’amours, d’âmes sœurs, ce n’est pas possible. J’ai été très à l’aise très vite, je n’ai pas eu besoin de plus avec elle et j’ai ainsi pu exprimer toute la dimension émotionnelle dans mon personnage. Après, il y a eu un moment, où la connexion de nos personnages s’est retrouvée sur le plateau, il s’est produit la même chose que dans la série. Cela a été un tournage difficile, pour une question de temps et d’argent, et il y a eu cet accompagnement, ce soutien, cette confiance entre nous. J’ai eu ce rôle de mentor, de marraine, de grande sœur.

TÉLÉVISION

«Une île»: Une série sur les sirènes et l'écologie qui, contrairement aux apparences, donne envie

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