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Jours tranquilles à Paris
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19 juillet 2018

MEMORIA : PHOTOGRAPHIES DE JAMES NACHTWEY (derniers jours)

A la MEP jusqu’29 juillet 2018

L'exposition rassemble près de 200 photographies de celui que l'on peut considérer comme le photoreporter le plus prolifique de ces dernières décennies, un observateur exceptionnel des conflits de notre monde contemporain et probablement l'un de ses témoins les plus clairvoyants. Depuis quarante ans, James Nachtwey photographie la douleur, l'injustice, la violence et la mort. Cette mort si particulière qui ne connaît ni la plénitude de la vieillesse ni la chaleur des êtres chers, mais qui a les yeux d'un enfant, les mains émaciées d'une femme ou le visage d'un homme que la pauvreté a ravagé. Mais pour que jamais ne soient oubliées la souffrance et la solitude humaines, il crée des images d'une beauté vertigineuse, impeccablement cadrées et éclairées.

L'extraordinaire beauté et l'infinie tendresse qui en émanent sont autant de moyens de lutter et de résister.

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15 juillet 2018

M.E.P. = « MEMORIA. Photographies de JAMES NACHTWEY » Exposition jusqu’au 29 juillet 2018 - (vu hier)

Réalisée en étroite collaboration avec James Nachtwey et Roberto Koch, cette exposition est la plus grande rétrospective jamais dédiée au travail du photographe.

À travers son regard personnel, elle propose une remarquable réflexion sur le thème de la guerre, dont la portée est nécessairement collective. Dix-sept sections différentes constituent le parcours de l’exposition, formant un ensemble de près de deux cents photographies.

Elle rassemble ainsi les images de celui que l’on peut considérer comme le photoreporter le plus prolifique de ces dernières décennies, un observateur exceptionnel de notre monde contemporain et probablement l’un de ses témoins les plus clairvoyants.

Jusqu’au 29 juillet 2018 - James Nachtwey (niveaux +3 et +2) Cette importante exposition consacrée au photojournaliste américain JamesNachtwey prend la forme d’un parcours rétrospectif. Né en 1948, ce photographes s’est très tôt attelé à couvrir les conflits contemporains, donnant naissance à des reportages saisissants capturés dans le monde entier.

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A la M.E.P. : Réalisée en étroite collaboration avec James Nachtwey et Roberto Koch, cette exposition est la plus grande rétrospective jamais dédiée au travail du photographe. À travers son regard personnel, elle propose une remarquable réflexion sur le thème de la guerre, dont la portée est nécessairement collective. Dix-sept sections différentes constituent le parcours de l’exposition, formant un ensemble de près de deux cents photographies.

Elle rassemble ainsi les images de celui que l’on peut considérer comme le photoreporter le plus prolifique de ces dernières décennies, un observateur exceptionnel de notre monde contemporain et probablement l’un de ses témoins les plus clairvoyants.

James Nachtwey, dont la carrière est jalonnée par de nombreux prix et récompenses dans des domaines variés, est mondialement reconnu comme l’héritier de Robert Capa. Sa force morale et ses engagements sociaux et civils l’ont mené à consacrer sa vie entière à la photographie documentaire. Il n’a de cesse de photographier la douleur, l’injustice, la violence et la mort. Mais pour que jamais ne soient oubliées la souffrance et la solitude humaines, il crée des images d’une beauté vertigineuse, impeccablement cadrées et éclairées, et aux effets quasi cinématographiques. L’extraordinaire beauté et l’infinie tendresse qui en émanent sont autant de moyens de lutter et de résister.

Dans une posture toujours de compassion, il saisit des scènes et des contextes variés : en Bosnie, à Mostar, où un tireur d’élite vise à travers une fenêtre, la famine au Darfour, les malades de la tuberculose ou bien encore les terribles effets de l’agent orange au Vietnam.

Les photographies de l’exposition sont issues des reportages les plus significatifs de James Nachtwey : Le Salvador, les Territoires palestiniens, l’Indonésie, le Japon, la Roumanie, la Somalie, le Soudan, le Rwanda, l’Irak, l’Afghanistan, le Népal, les États-Unis avec entre autres un témoignage singulier des attentats du 11 septembre, ainsi que de nombreux autres pays. L’exposition s’achève sur un reportage traitant de l’immigration en Europe, aujourd’hui plus que jamais d’actualité.

James Nachtwey dépeint la guerre depuis 40 ans, montrant sans détour le sort des populations qui en font la terrible expérience. Ses images révèlent une humanité mutilée par la violence, dévastée par les maladies et la faim, une humanité qui, par nature, semble se fourvoyer.

« J’ai été un témoin. Un témoin de ces gens à qui l’on a tout pris – leurs maisons, leurs familles, leurs bras et leurs jambes, et jusqu’au discernement. Et pourtant, une chose ne leur avait été soustraite, la dignité, cet élément irréductible de l’être humain. Ces images en sont mon témoignage. »

James Nachtwey

1 juin 2018

Actuellement à la MEP - James Nachtwey : memoria

James Nachtwey : memoria

Horaires

Du mercredi au dimanche de 11h à 20h.       

Lieu

Maison européenne de la photographie

5-7 rue de Fourcy      

75004 Paris

Date

Du mercredi 30 mai 2018 au dimanche 29 juillet 2018

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James Nachtwey : memoria

Cette importante exposition consacrée au photojournaliste américain James Nachtwey prend la forme d’un parcours rétrospectif. Né en 1948, ce photographe s’est très tôt attelé à couvrir les conflits contemporains, donnant naissance à des reportages saisissants capturés dans le monde entier.

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22 mars 2018

Actuellement à la MEP - Olivia Gay

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«Envisagées»: les femmes vues par Olivia Gay!

L'exposition présente des photographies dans la figure féminine trouve, volontairement ou non, en marge de la société. Une partie particulière de l'attention particulière à la composition, la lumière, la couleur, la gestuelle et souvent l'utilisation d'un neutre neutre, Olivia Gay donner une valeur iconique et intemporelle à ses clichés

Photo: Olivia Gay, Yuleisy, Jineteras, Cuba, 1997 © Olivia Gay

#MEP #PhotographieFrancaise #OliviaGay #Portrait

12 mars 2018

LA PHOTOGRAPHIE FRANÇAISE EXISTE… JE L’AI RENCONTRÉE à la MEP

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 Dominique Issermann

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Pierre et Gilles

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 Orlan

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 Salgado 

 

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11 mars 2018

Fragments d’une histoire d’amour - actuellement à la MEP

jusqu'au 20 Mai 2018 MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE - GUILLAUME DE SARDES

L’exposition « Fragments d’une histoire d’amour » à la Maison Européenne de la Photographie dévoile une série de photographies que Guillaume de Sardes a consacrée à une relation amoureuse, chaque cliché fixant des instants partagés comme autant d’étapes d’un processus inéluctablement voué à l’érosion.

L’exposition « Fragments d’une histoire d’amour » à la Maison Européenne de la Photographie, à Paris, présente la nouvelle série photographique de Guillaume de Sardes, à travers laquelle il retrace les étapes d’une relation amoureuse.

Guillaume de Sardes fixe en photos les fragments d’une histoire d’amour

La série Fragments d’une histoire d’amour de Guillaume de Sarde se lit comme un carnet intime photographique dans lequel est consignée, année après année, la lente évolution d’une relation amoureuse. Débutée en 2012, année de la rencontre de Guillaume de Sardes avec celle qui allait devenir sa compagne, la série suit à travers des portraits de cette dernière le développement de leur relation, de l’intensité passionnée des premières années à la progressive retombée, jusqu’à l’effritement et la disparition du lien.

Chacune des photographies qui constituent la série Fragments d’une histoire d’amour est datée et légendée à la main par Guillaume de Sarde qui la replace ainsi dans son contexte temporel, géographique, relationnel et sentimental. La première photographie, en noir et blanc, désignée comme « la première image, un premier portrait » fixe l’image de la femme qu’il a rencontrée depuis peu et qui vient d’arriver chez lui. Alors qu’elle pose dans des vêtements qu’elle lui a empruntés se dessine la fantaisie, le mystère et les promesses d’un amour naissant.

Chez Guillaume de Sardes, la photographie épouse la mémoire

En couleur ou en noir et blanc, la vingtaine de photographies de cette chronique d’un amour sont traversées d’une interrogation de Guillaume de Sardes sur la capacité du médium photographique à garder la trace de moments presque insignifiants, dont la grâce repose sur des sensations impalpables. Surtout, captant des instants qu’elle fige dans le temps, la série montre le fonctionnement commun de la photographie et de la mémoire, qui d’une expérience continue ne conserve que des fragments.

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10 mars 2018

ROGER MOUKARZEL : DES FEMMES DANS LA PHOTOGRAPHIE - à la MEP

Parallèlement à la grande exposition qu’il consacre ce printemps à la photographie française, Jean-Luc Monterosso, Directeur de la MEP, a souhaité réserver une place toute particulière aux femmes qui font la photographie française contemporaine. Pour l’occasion, Roger Moukarzel, photographe franco-libanais, a réalisé une série de portraits de quelques-unes des femmes qui ont collaboré avec la MEP au cours de ces dernières années, qu’elles soient artistes, mais également les femmes de l’ombre, commissaires d’expositions, éditrices, etc.

Parmi elles figurent des conservatrices du patrimoine comme Anne Cartier-Bresson ou des commissaires d’expositions telles Sophie Bernard, Claudine Boni, Marie Docher, Françoise Docquiert, Emmanuelle de l’Écotais, Alessandra Mauro, Elisabeth Nora, Barbara Polla ou bien encore Cristianne Rodrigues. Elles sont aussi enseignantes, chercheuses, journalistes, critiques d’art, historiennes de la photographie, éditrices…

Les photographes sont représentées par Marie-Paule Nègre, Diana Michener, Anne Claverie, Barbara Luisi, Yuki Onodera, Sophie Elbaz, Patrizia Mussa, Catherine Ikam, Eugenia Grandchamp des Raux ou encore Olivia Gay. Cette dernière présente par ailleurs son travail au cours de ce même cycle d’expositions, dans la Galerie des Donateurs au rez-de-chaussée de la MEP.

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8 mars 2018

Actuellement à la MEP...

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Photos : Philippe Perrin. Vu à la MEP

5 mars 2018

Actuellement à la M.E.P....

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25 janvier 2018

SIMON BAKER : NOUVEAU DIRECTEUR DE LA MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE

Simon Baker est nommé directeur de la Maison Européenne de la Photographie.

Présélectionnée par un jury présidé par Jean-François Dubos (président de la MEP) et constitué de Xavier Canonne (directeur du Musée de la Photographie de Charleroi), Alain Fleischer (directeur du Fresnoy – Studio national des arts contemporains), Françoise Gaillard (vice-présidente du CA de la MEP), Jean-Louis Milin (trésorier du CA de la MEP), Agnès Sire (secrétaire générale du CA de la MEP) et de trois représentants de la Ville de Paris, la candidature de Simon Baker a été approuvée par le conseil d’administration de la Maison Européenne de la Photographie, le mercredi 24 janvier 2018.

Simon Baker succède à Jean-Luc Monterosso, directeur et fondateur de la MEP, dont le mandat prendra fin le 31 mars 2018. Ce dernier a dirigé la Maison Européenne de la Photographie depuis son ouverture, en 1996 et fut également le fondateur en 1978, avec Henry Chapier, Francis Balagna et Marcel Landowski, de l’association Paris Audiovisuel qui préfigura la création de la MEP.

Docteur en Histoire de l’art, diplômé de l’University College of London (UCL), Simon Baker entre en 2009, comme conservateur, au département Photographie et Art international de la Tate de Londres. En 2015, il est nommé conservateur en chef de ce département, avec pour mission principale le développement de la stratégie d’acquisition, de conservation et d’exposition de la photographie.

Il a été le commissaire de nombreuses expositions présentées à la Tate, dont celles consacrées à Boris Mikhailov, Sirkka-Liisa Konttinen, Guy Bourdin, Yutaka Takanashi, Bernd et Hilla Becher, et récemment des expositions « Salt and Silver » (2015), « Nick Waplington / Alexander McQueen : Working Progress » (2015) ou « Performing for the camera » et « The radical Eye : Modernist Photography from the Sir Elton John Collection » (2016).

Simon Baker a par ailleurs été professeur associé en Histoire de l’art à l’Université de Nottingham (2004-2009). Il est l’auteur de nombreuses publications sur l’histoire de l’art et la photographie.

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Ce mercredi 24 janvier, le conseil d'administration de la Maison européenne de la Photographie (MEP) vient de nommer le conservateur britannique Simon Baker à la tête de l'institution. Il succédera ainsi à Jean-Luc Monterosso, à compter du mois de mars.

Diplômé en histoire de l’art, Simon Baker a enseigné l’histoire de la photographie, du surréalisme et de l’art contemporain à l’université de Nottingham, avant de rejoindre la Tate Gallery à Londres en tant que conservateur en chef du département Photographie et Art international. Il a contribué au développement de la stratégie d’acquisition, de conservation et de présentation de la photographie en faveur d’un large public. Simon Baker a exposé notamment le duo de photographes William Klein/Daido Moriyama, en 2012. En France, il a organisé plusieurs expositions sur la photographie japonaise au festival des Rencontres d’Arles, telle que « Another Language» en 2015, réunissant les travaux de huit photographes nippons. Sa candidature pour le poste de directeur de la MEP a été présélectionnée par un jury présidé par Jean-François Dubos, président de la MEP, et composé d’Alain Fleischer, Françoise Gaillard, Jean-Louis Milin, Agnès Sire et de trois représentants de la Ville de Paris. Ce mercredi 24 janvier, cette nomination vient d’être approuvée par le conseil d’administration de la MEP. « Avec un profil international et une personnalité très dynamique, Simon Baker saura poursuivre la riche histoire de la Maison européenne de la Photographie, avec un projet centré à la fois sur la valorisation de son exceptionnelle collection et sur l’ouverture à la création et aux jeunes artistes, avec le souhait de faire de cet établissement un véritable lieu de vie », se réjouit Bruno Julliard, le Premier Adjoint à la Maire de Paris, en charge de la culture. Simon Baker succèdera à Jean-Luc Monteresso, dont le mandat prend fin le 31 mars. Fondateur en 1978 de l’association Paris Audiovisuel préfigurant la création de la MEP, Jean-Luc Monteresso dirigeait l’institution parisienne depuis son ouverture en 1996.

Caroline Dubois

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