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Jours tranquilles à Paris
morbihan
20 mai 2020

Pourquoi certaines plages bretonnes vont devoir fermer

kerkerhillio

L’ouverture des plages bretonnes, acquise de haute lutte, va-t-elle se solder par une marche arrière toute ? L’afflux de promeneurs et le non-respect des consignes, le week-end dernier, a déjà conduit le maire d’Erdeven (56) à refermer son rivage, pour ce pont de l’Ascension. D’autres communes du Morbihan pourraient lui emboîter le pas.

1 La plage de Kerhilio,à Erdeven, fermée les quatre prochains jours

Le maire, Dominique Riguidel, ne veut pas revoir les débordements des derniers jours. Il préfère anticiper avant le gros week-end qui se profile. La plage de Kerhillio avait fait l’objet d’une demande de dérogation pour bénéficier de l’option deux, celle qui autorise l’ouverture d’une « plage dynamique ». « Il était entendu qu’une surveillance visuelle serait assurée par une équipe d’ambassadeurs de "bonne conduite" rappelant les consignes de distanciation et les gestes barrières élémentaires. » Mais, à l’ouverture, le week-end dernier, tout ne s’est pas déroulé comme prévu. Non seulement les plages ont été prises d’assaut mais « la gestion des chiens a été très compliquée, pour ne pas dire impossible », déplore Dominique Riguidel. « Dès qu’ils étaient empêchés de rentrer par un accès, un autre chemin moins surveillé était emprunté. » Quant à leurs maîtres : « Beaucoup n’en faisaient qu’à leur guise avec des remarques très désobligeantes ».

Résultat : « L’ensemble du littoral de la commune d’Etel a été envahi par une population irresponsable ignorant les secteurs sensibles, négligeant la nidification récente et la biodiversité en général ». Dominique Riguidel est amer : « J’espère que ce week-end n’a pas réduit à néant ces deux mois qui ont, au moins, profité à la nature », émet-il, alors que, dans le Finistère voisin, l’accès à l’intégralité des plages de l’archipel des Glénan a été temporairement suspendu pour protéger la nidification des oiseaux. L’édile d’Erdeven considère ne plus être « en capacité de surveiller efficacement les plages de la commune ». Écœuré de pénaliser ses administrés, il a décidé de surseoir à la dérogation obtenue, de ce mercredi, 20 h, jusqu’à lundi, 8 h.

2 Trop d’incivilités sur la presqu’île de Rhuys...

« Si ça continue, on va fermer  !», préviennent, de leur côté, les maires de la presqu’île de Rhuys (56), déplorant : « Il y a 5 % des gens qui pensent avoir tous les droits et qui ne respectent pas les conditions d’accès aux plages. Si le week-end de l’Ascension se passe mal, dans quatre jours, on ferme ».

À Arzon, comme à Saint-Gildas de Rhuys, les restrictions d’accès aux plages imposées par un arrêté préfectoral ne sont pas toujours respectées. Dans cette dernière commune, le maire, Alain Layec, a fait le tour des serviettes, mardi, plage des Govelins, pour demander aux baigneurs qui y étaient allongés de l’aider à maintenir la plage ouverte en respectant les consignes, « sinon le préfet referme lundi », informe-t-il.

Le maire de Damgan, Jean-Marie Labesse, a, lui, déjà quasiment le doigt sur l’arrêté de fermeture. « Les gens s’assoient sur leurs serviettes, pique-niquent, emmènent leurs chiens. On a eu des barrières enlevées. On se fait parfois incendier. » Sans compter les camping-cars qui, privés de campings, « se garent comme ils peuvent » le long des plages.

3 Les gendarmes veillent a u grain

La règle des 100 km autour du domicile est, elle aussi, largement contournée… et verbalisée, moyennant une amende de 135 euros. Des PV qui ont plu, le week-end dernier déjà, dans le Finistère. Dans ce département, le préfet, Pascal Lelarge, a appelé à la vigilance et averti : « Les forces de sécurité intérieure continueront à être fortement présentes sur le terrain au cours des deux prochaines semaines ».

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13 mai 2020

Lorient - Les plages vont rouvrir en mode « dynamique »

Les communes de Larmor-Plage, Ploemeur et Guidel travaillent à des réouvertures coordonnées de leurs plages, qui seraient accessibles à toutes les activités nautiques ou terrestres, à partir du moment où les personnes restent actives. Les surfeurs pourront, par exemple, de nouveau pratiquer leurs activités sur la plage de Pen Er Malo, à Guidel. Photo d’archives François Destoc/Le Télégramme

Article de Julien Boitel

Il va falloir encore attendre quelques jours. Ce mardi 12 mai, l’ensemble des maires du littoral du pays de Lorient travaillait sur leur demande de dérogation de réouverture des plages en mode dynamique, que la préfecture devrait valider avant la fin de semaine.

1 Trois options possibles

Annoncées à partir de ce mercredi 13 mai, les réouvertures des plages morbihannaises devront encore attendre quelques jours. Lundi soir, le préfet du Morbihan a rassemblé les maires du département lors d’une réunion à distance. Il leur a présenté les trois options possibles pour la réouverture de leurs plages.

En premier, une plage réservée aux activités nautiques (surf, kite-surf, longe-côte,…). En deuxième, une plage « dynamique » avec activités nautiques et physiques à terre (marcher, courir). En troisième, une plage ouverte à toutes les activités, y compris « statiques » comme le fait de rester allongé sur sa serviette.

Chaque commune doit maintenant envoyer un dossier à la préfecture avec son choix en fonction de chaque plage et les dispositions qu’elle entend mettre en place. La préfecture les validera ou non dans les 48 heures. Avec des ouvertures d’ici la fin de semaine, si tout se passe bien.

2 La plage « dynamique » privilégiée

Dans le pays de Lorient, tous les maires interrogés ce mardi matin (Guidel, Ploemeur, Larmor-Plage, Port-Louis, Gâvres et Plouhinec) plaident, dans un premier temps, pour la deuxième option de plage dynamique. « Il faut que l’on soit prudent et ne pas aller trop vite », préconise Jo Daniel, maire de Guidel, qui veut une ouverture par étapes. « Après le 2 juin, on pourra envisager une ouverture totale ». Avec les maires de Larmor-Plage et Ploemeur, il travaille pour prendre les mêmes décisions et avoir une « cohérence territoriale ». Toutefois, en fonction des particularités de chaque plage, des niveaux différents pourraient y être attribués, entre l’option 1 et 2. Leur objectif est simple : éviter tous les regroupements de plus de dix personnes. Des sens de circulation, des entrées et des sorties, seront mis en place quand cela est possible.

À la Grande-Plage, à Port-Louis, une signalétique avec « un sens prioritaire » sera, par exemple, installée au niveau des deux portes étroites pour y accéder. Quant aux sentiers côtiers, ils devraient être en majorité ouverts, à quelques exceptions près en raison de l’étroitesse de certains passages qui pourraient être fermés ou réglementés avec un sens de circulation.

3 Surveillance accrue

L’option n° 2 présentée par le préfet inclut toutefois une surveillance humaine des plages. Mais sur ce point, tous les maires n’ont pas entendu le même discours. Obligatoire pour certains, fortement recommandée pour d’autres. Selon le maire de Gâvres, Dominique Le Vouëdec, cela pose problème.

« Nous n’avons pas les moyens de surveiller nos plages. Nous sommes une petite commune de 700 habitants. Nous n’avons pas de Police municipale. Je ne me vois pas, moi ou mes adjoints, aller faire la police. Je ne pourrais donc mettre en place que l’option n° 1, mais je ne le souhaite pas car cela créera des conflits. Les surfeurs et kite-surfeurs, qui viennent en majorité de l’extérieur, pourraient aller à l’eau et les Gâvrais ne pourraient pas aller sur la plage. C’est une position intenable ! ».

Comme lui, les maires de petites communes ont fait entendre leur voix. Ils attendent des réponses. « Je vais proposer à la préfecture qu’on puisse ouvrir, avec l’option 2, mais sans surveillance ». Pour appuyer sa demande, Dominique Le Vouëdec fait appel à la raison. « À Gâvres, les plages sont grandes, même au plus fort de la fréquentation en été, les gens respectent une distanciation et ne se collent pas les uns aux autres ». À Port-Louis, où les plages sont plus restreintes, le maire a lancé un appel à volontariat, comme cela a été fait pour son marché. « Des personnes iront sur nos trois sites pour rappeler les règles à respecter ». Dans tous les cas, les maires en appellent à « la responsabilité et au bon sens de chacun ».

4 mai 2020

Morbihan : un préfet sur le pied de guerre

préfet du morbihan

« Des crises, j’en ai connu quelques-unes, certains réflexes reviennent d’une fois sur l’autre », confie Patrice Faure, préfet du Morbihan, ici à son bureau. Photo A.-C. J.

Anne-Cécile Juillet

Certaines décisions du préfet du Morbihan ont fait grincer des dents. Mais sa gestion précoce et radicale de la crise sanitaire tient pour l’heure du sans-faute.

Il était à peine plus de 23 h, ce dimanche pluvieux du 1er mars, lorsque les portables ont sonné chez les maires de Carnac, Crac’h et Auray. La préfecture du Morbihan leur annonce qu’un arrêté sera effectif dans quelques minutes, faisant basculer leurs habitants dans un confinement immédiat, exigeant la fermeture des écoles, interdisant les rassemblements. Le lendemain, le réveil est brutal : la Bretagne découvre que le lointain virus se propage désormais en son sein. Il faut stopper l’épidémie avant qu’elle ne devienne incontrôlable.

Au journal télévisé et sur les chaînes info, qui ont toutes missionné leurs envoyés spéciaux, un visage apparaît : celui de Patrice Faure, 52 ans. Cheveu court, lèvres fines, regard volontaire, l’homme n’est pas très grand mais il occupe l’espace. Le verbe est clair, tranchant, le style affûté.

Nul besoin pour lui de filer la métaphore guerrière : le préfet Faure est déjà dans le combat. Si les crises en terrorisent certains, en tétanisent d’autres, lui, il semble qu’elles le galvanisent.

Du CAP de pâtisserie à la DGSE

« J’ai un peu d’expérience en la matière », sourit-il, lorsqu’on le rencontre, ce mardi de fin avril, attablé pour écouter Édouard Philippe annoncer son plan de déconfinement, Moleskine et stylo-bille en main. « Des crises, j’en ai connu quelques-unes, certains réflexes reviennent d’une fois sur l’autre ». Il y a eu celle de la grippe H1N1 ou de la vache folle… Il y a surtout eu celles, plus nombreuses et plus discrètes, qu’il a affrontées dans sa carrière d’avant la préfectorale. Cette carrière militaire qui l’a « structuré » : « J’ai commencé avec un CAP de pâtissier : mon grand-père, boulanger dans la Drôme, m’a dit un jour qu’un métier de bouche nourrirait toujours son homme ». Un pragmatisme resté ancré, comme son accent rhônalpin. À 17 ans, bac en poche et sur dérogation, il s’engage dans l’infanterie parachutiste. « Un chef m’a encouragé à passer le concours de sous-officier. » Il réussit.

À 23 ans, il devient officier, intègre un régiment de forces spéciales et se fait repérer par la DGSE. C’est là qu’il passe la plus grande partie de sa carrière, et c’est évidemment celle dont il ne parle quasiment pas. À peine comprend-on qu’il a séjourné en Europe de l’Est et grenouillé vers les Comores.

« Certains énarques me prennent pour un hurluberlu »

Puis Patrice Faure se retrouve en cabinet ministériel. Un nouveau chef (il aime citer ceux qui l’ont fait avancer) lui souffle le conseil de passer dans la préfectorale : « Je n’ai pas le parcours typique du préfet, certains énarques me prennent pour un hurluberlu ! ». Avec sa femme - haut fonctionnaire également-, et leurs six enfants, il enchaîne les postes, à l’outre-mer et en métropole, à Paris ou à Rennes, dans cette Bretagne où il retape une maison et où il est inscrit dans un club d’aéromodélisme. Dans le privé, aussi, où il a fait une incursion pendant deux ans, à la tête d’une entreprise. On comprend son appétit pour la chose économique.

Une boucle Whatsapp pour les maires

Lorsqu’il arrive à Vannes, fin août 2019, c’est sa 26e mutation en 33 ans de service. Cette fois, il débarque de Guyane. En souvenir, il baptise du nom de fleuves guyanais les quatre jeunes poules qu’il a installées dans le parc de la préfecture.

Dans le Morbihan, il secoue le cocotier : réforme de l’action des services, dématérialisation tous azimuts, instauration de journées de cohésion à la préfecture et boucle Whatsapp pour répondre aux maires en direct…

Rapidement, on le raille sur son « style cow-boy » contre les trafics de stups et l’alcool au volant. Il se défend d’être autocrate : « J’assume de trancher mais tout le monde est autour de la table avant ».

De son passé, il sait la force du groupe. Et vante les mérites de sa directrice de cabinet, Véronique Solère, avec qui il affronte la bagarre contre le Covid-19 comme un binôme de commando. « Les mesures prises, radicales, ont été efficaces, et les études épidémiologiques le diront certainement : en les prenant sans attendre, Patrice Faure a certainement évité à la Bretagne un tsunami épidémique », loue Olivier Lepick, le maire de Carnac.

« L’image que je renvoie, je m’en fous »

Le style va-t-en-guerre du préfet Faure a eu davantage de mal à passer lorsqu’il a interdit l’achat à emporter d’alcools forts, après une augmentation significative des violences intrafamiliales en temps de confinement. « Paternaliste », « liberticide », « coup de comm’ » : onze jours plus tard, après avoir « marqué les esprits », il abroge son arrêté. Les insultes, reçues par dizaines, il les balaie d’un revers de la main, pour avoir traversé bien pire. « Moi, j’aurais dû finir adjudant-chef. Tout le reste, c’est du bonus. Je m’efforce de servir l’État, de lui rendre ce qu’il m’a donné. L’image que je renvoie, je m’en fous. »

19 avril 2020

Auray - Baie de Quiberon : « La saison n’est pas encore perdue »

cote sauvage

Photo ci-dessus : la côte sauvage un jour de tempête

Presqu'ile de Quiberon

Bernard Hilliet est maire de Quiberon et président de l’Office de tourisme Baie de Quiberon La Sublime. Il veut rester positif sur la qualité de la saison touristique.

Mathieu Pelicart

Pour Bernard Hilliet, président de l’Office de tourisme intercommunal Baie de Quiberon La Sublime, la saison touristique n’est pas encore perdue. Malgré le manque de visibilité, il invite les acteurs du territoire à se tenir prêts.

Quelle est la situation chez

les professionnels du tourisme ?La situation est pour le moins difficile. Le confinement national est intervenu au plus mauvais moment, soit trois semaines avant le début des vacances de Pâques des Parisiens, qui marquent traditionnellement ici le lancement de la saison touristique. Tout le monde était prêt. Les travaux sont faits, les promesses d’embauche et les commandes de matériel étaient passées. Mais le pire, c’est que nous n’avons à ce jour toujours aucune visibilité. On ne sait pas quand les hôtels et les campings auront le droit d’ouvrir. Sans parler des bars et des restaurants.

Quel est l’enjeu pour les prochaines semaines ?

L’enjeu est de savoir quand et combien de vacanciers vont venir sur notre territoire pour pouvoir réorganiser la saison. Et de tout mettre en œuvre pour soutenir nos entreprises. Dans des stations touristiques comme Quiberon, Carnac ou La Trinité-sur-Mer, 70 % de l’activité repose sur le tourisme, directement ou indirectement. C’est l’intercommunalité, forte de ses compétences en matière d’économie et de tourisme, qui est chargée de faire l’interface entre les acteurs du territoire et les aides de l’État et des collectivités. Nous avons déjà reporté le versement de la taxe de séjour, ce qui n’est pas rien, en attendant une éventuelle annulation.

La saison est-elle d’ores et déjà perdue selon vous ?

Non, il faut rester optimiste. Elle sera amputée des mois d’avril et de mai, peut-être d’une partie de juin, et sera globalement bien inférieure aux années précédentes. Mais on peut espérer une première arrivée massive de vacanciers en juillet. Reste à savoir dans quel volume.

On peut penser qu’on aura beaucoup plus de Français, alors que 60 % des vacanciers de l’Hexagone partent d’habitude à l’étranger à cette période de l’année. Les premières remontées du terrain nous indiquent aussi que certains résidents secondaires, qui d’habitude louent leurs biens en juillet, seront présents dès le début de l’été. Et, dans ces conditions, on peut espérer de très bon mois d’août et de septembre. Sachant qu’avec juillet, ces trois mois d’été concentrent 70 % des nuitées annuelles sur le territoire, tout type d’hébergement confondu.

Comment s’organise l’Office de tourisme intercommunal Baie de Quiberon La Sublime dans ces conditions ?

L’accueil physique est fermé dans les dix offices du tourisme du territoire, mais une permanence téléphonique est assurée. On se concentre sur le plan de sortie de crise, en lien avec le Département et la Région. Nous avons rapidement décidé de décaler la campagne d’affichage dans le métro parisien, qui devait avoir lieu initialement en mars, à la fin du mois de juin. De même pour nos actions de communication à Nantes. Nous allons enfin renforcer notre communication digitale.

Quel message souhaitez-vous faire passer auprès des acteurs du tourisme ?

Nous traversons une période inédite et très compliquée, mais il n’est pas l’heure de baisser les bras. Nous avons déjà eu à surmonter ensemble d’autres crises par le passé. Il s’agit désormais de se tenir prêt à très bien accueillir, et avec le sourire, le plus grand nombre de vacanciers, dès que cela sera possible. L’enjeu est aussi de marquer les esprits pour les saisons prochaines. Et de rappeler à nos habitués et nos anciens habitués que nous sommes sur le plus beau territoire du monde !

Pratique

L’intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique (Aqta) a mis en ligne un guide pratique pour aider les entreprises du territoire à faire face à la crise. Il est téléchargeable sur le site Internet auray-quiberon.fr

17 avril 2020

Morbihan - Saint Cado

saint cado fete

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17 avril 2020

Saint Cado - pleine lune

saint cado lune

8 avril 2020

ALERTE Politique-Décès: Christian Bonnet, ancien ministre de l’Intérieur de VGE, est mort (famille)

bonnet

Christian Bonnet est mort à l’âge de 98 ans dans un EHPAD de Vannes (Morbihan), annonce sa famille. Elle précise qu’il est mort de « sa belle mort » et qu’aucun cas de Covid-19 n’a été constaté dans la maison de retraite où il résidait.

Après « Ponia » (Michel Poniatowski), il fut de 1977 à 1981 Le 2e ministre de l’Intérieur du président Valéry Giscard d’Estaing. Son action est notamment marquée par l'arrestation de « l’ennemi N°1 » Jacques Mesrine et l'attentat à la moto piégée devant la synagogue de la rue Copernic, à Paris.

7 avril 2020

En Bretagne le jardin est en fleurs....

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IMG_0350... et moi je suis confiné dans mon appartement à Paris ! 

 

6 avril 2020

Saint Cado - Morbihan

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29 mars 2020

Cimetière de bateaux - Ria d'Etel

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