Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
poutine
25 avril 2014

UKRAINE - RUSSIE

poutine ukraine

Publicité
22 mars 2014

Commémoration des 60 ans du débarquement en Normandie

Poutine reste invité pour les commémorations du 6 juin

Puisque l’ex-URSS avait été « solidaire de la France » et avait payé « un lourd tribut » contre le nazisme, François Hollande a maintenu l’invitation lancé à son homologue russe pour les célébrations du Débarquement le 6 juin. « Nous avons en partage les millions de morts qui ont été les victimes de ce conflit », a souligné le chef de l’État français ajoutant que « nous devons tout faire pour que ce soit l’esprit de paix qui l’emporte ».

article

21 mars 2014

Poutine

Bi0qKYUCUAEiHRM

17 mars 2014

Crimée...

Après le référendum en Crimée, l'Union européenne sanctionne 21 responsables russes et ukrainiens

Un plébiscite. La Crimée a dit "oui" au rattachement à la Russie, à plus de 95%, dimanche 16 mars, lors d'un référendum dénoncé par les Occidentaux. Lundi 17 mars, les ministres des Affaires étrangères européens ont décidé de sanctionner 21 responsables ukrainiens et russes. Ces sanctions de l'UE comprennent des interdictions de voyage et des gels d'avoirs, ainsi que d'autres mesures précisées dans les jours à venir.

===============================

Le président russe Vladimir Poutine reconnaît officiellement la Crimée comme Etat souverain

L'intégration de la Crimée à la Russie est en marche. Au lendemain du référendum en Crimée approuvant un rattachement de la province ukrainienne à la Russie, le président russe Vladimir Poutine a signé, lundi 17 mars, l'acte de reconnaissance de la Crimée comme Etat souverain. Plus tôt, le vice-président de la Douma avait indiqué que la chambre basse du Parlement russe adopterait dans un "très proche avenir" une loi autorisant la Crimée à rejoindre la Russie.

13 mars 2014

La crise en Ukraine dope la popularité de Vladimir Poutine

« La Crimée est russe ! » Ce n’est pas qu’un slogan agressivement diffusé ces dernières semaines sur les chaînes de télévision nationales. La plupart des Russes en sont convaincus. Ils sont donc d’autant plus réceptifs au message diffusé par les médias officiels sur la nécessité de protéger les Russes ou Ukrainiens russophones de Crimée contre les« fascistes » ,« extrémistes » et autres« radicaux » qui ont pris le pouvoir à Kiev et n’auraient qu’un seul objectif : annihiler tout ce qui est russe.

« Rectifier » l’erreur historique de Khrouchtchev

Il est délicat de mesurer l’opinion publique à l’aune des manifestations de soutien à l’intervention armée et à l’annexion de la Crimée, organisées par le pouvoir lui-même. Néanmoins, il apparaît que la majorité des Russes est favorable aux opérations militaires en Crimée, du moment que leur objectif est de« rectifier » l’erreur historique commise par Nikita Khrouchtchev, qui a offert la péninsule à l’Ukraine, en 1954, pour célébrer le 300e anniversaire de sa réunification avec la Russie. Dans une interview au quotidien Komsomolskaya Pravda , l’ancien maire de Moscou, Iouri Loujkov, a exprimé une conviction répandue en Russie :« Khrouchtchev a donné la Crimée à l’Ukraine de manière totalement impérieuse. Mais ensuite, a eu lieu un divorce ,et en cas de divorce, ceux qui ont fondé une famille doivent partager les biens. À ce moment-là, la Crimée aurait dû revenir à la Russie. » Selon un sondage de l’agence Narodny Rating , 56,6 % des répondants se sont prononcés en faveur d’une intervention armée en Crimée, et plus de la moitié d’entre eux pour l’extension des manœuvres militaires à l’Ukraine de l’Est« en cas de menace pour la population locale » . Ce pourcentage correspond à la cote de Vladimir Poutine (entre 58 et 69 %, selon les instituts de sondage). Globalement, donc, les Russes approuvent la politique de leur Président. Toutefois, ces résultats sont à manier avec précaution, car« la consolidation autour du leader et du drapeau est naturelle au début de n’importe quelle action armée ,assure Igor Bounine, directeur du Centre des technologies politiques.Ce ne sont que les premiers résultats. Il faut attendre quelques mois, quand le rouble aura pris un coup de plus, quand la Bourse sera menacée, quand et si des produits alimentaires disparaissent ou deviennent trop chers. C’est alors qu’il faudra mesurer les réactions de la population. » Article de Veronika DORMAN.

Publicité
7 mars 2014

UKRAINE - RUSSIE - ETATS UNIS

#UKRAINE Ils se sont entretenus pendant une heure au téléphone : Barack Obama et Vladimir Poutine ont échangé hier soir, après que la région ukrainienne de Crimée a demandé son rattachement à la Russie.

Le président américain "a insisté sur le fait que la Russie agit en violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine", explique la Maison Blanche. Son homologue russe a lui tenté de temporiser, évoquant "des problèmes internationaux isolés, bien qu'extrêmement importants", selon le Kremlin.

===================================

Vladimir Poutine

"La Russie ne peut pas ignorer les appels à l'aide dans cette affaire."

#UKRAINE Après que la Crimée a demandé son rattachement à la Russie hier, Vladimir Poutine assure que son pays prend en compte "les appels à l'aide" dans la crise ukrainienne, "dans le respect absolu du droit international". Le président est cité par le Kremlin après une conversation téléphonique d'une heure avec son homologue américain Barack Obama.

6 mars 2014

Femen

m3

STOP À LA GUERRE DE POUTINE - DEPUIS NYC

FEMEN attaque Poutine aux quatre coins du monde! FEMEN a déchiré le drapeau Russe à Times Square en solidarité avec le peuple Ukrainien et contre les agressions excessives militaires et l'opportunisme du gouvernement Russe sous le contrôle du régime de Poutine. Nous demandons aux États-Unis et à la communauté internationale d'imposer des sanctions économiques, d'exercer une pression politique, afin de mettre fin à la montée impérialiste de la campagne militaire Russe contre la souveraineté du peuple ukrainien.
Fini les blabla il est temps de passer à l'acte!
Arrêtez la guerre de Poutine avant qu'il ne vous arrête!

L'action a été menée par des activistes FEMEN ainsi que les artistes Julie Atlas Muz, Dirty Martini, et Kristin Arnesen.

Stop Putin's war " from NYC

FEMEN is attacking murderer Putin all over the world!
FEMEN staged a topless protest at Times Square to stand in solidarity with the Ukrainian people against the excessive military aggression and opportunism of the Russian government under the command of the Putin regime. We demand that the United States, and the international community, impose economic sanctions, and apply political pressure, to stop the escalating imperialistic Russian military campaign against the sovereignty of the Ukrainian nation and the interests of the Ukrainian people. Stop talking, start acting!
Stop Putin's War before he stopped you !

1920498_301879386629969_377013416_n

5 mars 2014

Poutine vu par les Femen

1779142_298345440319113_301396172_n

4 mars 2014

Ukraine : "Quand Poutine parle, il faut le prendre au sérieux"

Au moment où le président russe sort de son silence pour justifier une éventuelle intervention en Ukraine, francetv info a interrogé François Heisbourg, expert en géostratégie, qui estime que les faits et gestes de Vladimir Poutine rappellent ceux des tsars.

Propos recueillis par Hervé Brusini

La crise ukrainienne, un remake de la Guerre froide ? Lundi 3 mars, Barack Obama a accusé la Russie d'être "du mauvais côté de l'histoire". Quelques heures plus tard, Vladimir Poutine a répliqué, expliquant que "la Russie se réserve le droit de recourir" à une action militaire "en dernier recours".

Pourtant, s'il considère que la crise présente un risque réel d'escalade à tout moment, François Heisbourg, expert en géostratégie, insiste : "Tout rapprochement avec ce que fut l'ère soviétique est une erreur si l'on veut comprendre le conflit actuel", explique ce conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique, dont le siège est situé à Paris. Ce spécialiste, qui vit entre Londres, Genève et Paris, pense que les faits et gestes de Vladimir Poutine rappellent plutôt l'attitude des tsars de Russie. Explications.

Francetv info : Pourquoi estimez-vous que la crise actuelle n'a rien à voir avec la Guerre froide ?

François Heisbourg : Nous ne sommes plus à l'époque de l'Union soviétique. Certes, la Russie est l'un des Etats héritiers de l'URSS. Mais cette dernière était un concept idéologique avant d'être un territoire et une puissance. La lutte entre le communisme et son contraire était une lutte globale qui rassemblait tous les aspects de la vie économique, politique, sociale. Cela n'a pas grand-chose à voir avec les luttes de puissance actuelles.

Aujourd'hui, nous sommes face à la Russie d'un Poutine qui cherche à avancer ses intérêts, à développer ses ambitions. De leurs côtés, les Etats voisins sont impuissants. Quant aux Occidentaux, ils n'ont pas envie de voir se multiplier les zones de conflit et d'instabilité. Il faut toujours rappeler que l'Ukraine possède une frontière commune avec l'Union européenne et l'Alliance atlantique (Otan).

Pendant vingt ans, les choses se sont assez bien passées. L'Ukraine a joué son rôle d'Etat tampon entre la Russie et les pays occidentaux. Mais voilà, Poutine a voulu faire monter les enchères en affirmant que l'Ukraine devait être "avec" la Russie et cette dernière lui a répondu qu'elle n'était pas d'accord. Autrement dit, Poutine a réussi à transformer l'Ukraine – qui stratégiquement était une solution favorable aux intérêts de sécurité russe – en un très gros problème pour la Russie. Dans cette affaire, Poutine n'opère pas en position de force. Pour moi, il est en état de faiblesse. Il a perdu l'énorme pari qui consistait à faire entrer l'Ukraine dans le pacte euro-asiatique [ou Union eurasiatique, qui rassemblerait la plupart des ex-républiques soviétiques]. L'idée était alors de donner corps à une refondation de l'empire russe. A présent, Poutine essaie de se refaire. Ce n'est pas le leader confiant qui avancerait ses pions l'un après l'autre. Celui auquel on a affaire tente de rétablir ses positions. En ce sens, Poutine relève beaucoup plus de l'histoire des tsars que de la Guerre froide.

Pourquoi serait-on plus proche de l'histoire des tsars que de celle de l'Union soviétique ?

Cela tient d'abord à la nature du conflit qui nous occupe : ce n'est pas un conflit mondial, mais une confrontation entre les voisins de la Russie et les pays qui ont un intérêt à ce que ces voisins-là ne constituent pas les bases d'un nouvel empire. Et puis, le Poutine d'aujourd'hui n'est pas dans la logique immuable de bloc contre bloc. Il a conscience des réalités fortes de son pays comme du contexte international. A la différence de l'ex-URSS, la Russie a développé une vraie classe moyenne qui a commencé à acquérir un niveau de vie proche du nôtre. Déjà, la stagnation économique de l'année passée a produit des effets négatifs. Si le pays s'enfonce maintenant dans une crise sévère, cela aura de graves conséquences pour Poutine. Pour les oligarques aussi. Ils aiment envoyer leurs enfants dans les grandes écoles occidentales ou séjourner dans leurs villas sur la Riviera. Or, les Américains comme les institutions européennes ont appris à mettre en place des sanctions économiques qui font mal, sur le plan des transactions bancaires en particulier. Tous ont appris cela grâce à la crise du nucléaire iranien. Bien sûr, cela prend du temps, mais c'est redoutablement efficace.

Toujours en référence à l'URSS et plus largement à l'histoire russe, n'a-t-on pas sous-estimé l'importance de l'Ukraine pour Moscou ?

Peut-être, ces sentiments existent. Mais nous sommes en 2014. Cela reviendrait un peu à dire que la France a un attachement viscéral pour la rive gauche du Rhin et que donc cela lui donne carte blanche pour occuper Cologne ! Ce ne serait pas très raisonnable. Il faut quand même tenir compte non seulement de l'avis des gens concernés, mais aussi des traités et des accords qui ont été conclus. Or les gens de Kiev se sont exprimés. Et puis, la Russie comme le Royaume-Uni, la France et les Etats-Unis se sont engagés il y a vingt ans à ne pas remettre en cause l'intégrité territoriale de l'Ukraine. Dans ce même accord, l'Ukraine renonçait aux armes nucléaires soviétiques qui étaient basées chez elle. Tout cela est très important. Pensez à ce que serait la situation si l'Ukraine avait gardé ces armes....

Mais une grande partie de la flotte russe est basée à Sébastopol, et cela depuis bien longtemps...

Absolument. Et il n'y avait aucun problème. Le bail qui permet cette présence court jusqu'en 2042. Il est renouvelable tous les cinq ans. Il n'y avait pas péril en la demeure du point de vue des intérêts navals russes. Certes, on peut comprendre un attachement sentimental. Mais vous savez, c'était dur aussi quand la flotte française a dû quitter Mers El-Kébir [après l'indépendance de l'Algérie, en 1962, la marine française a dû évacuer cette base navale qu'elle utilisait depuis plus d'un siècle].

Il n'empêche, Poutine reste un interlocuteur incontournable dans les dossiers syrien, iranien...

En tout état de cause, la Russie est un grand pays. Par définition, on doit la respecter, et effectivement les voies de la démocratie doivent rester ouvertes à son endroit. Ainsi, je n'ai pas trouvé très intelligent que le Canada rappelle son ambassadeur de Moscou. C'est justement dans ce genre de situations qu'on a besoin de diplomates. Mais en attendant, comme la Russie, nous avons, nous aussi, des intérêts à défendre, de même que l'Europe. Dans cet ordre d'idée, l'Ukraine, pays frontalier, doit rester stable.

Comment voyez-vous la suite des événements ?

Je ne suis ni optimiste, ni pessimiste. Poutine est quelqu'un de relativement simple. Quand il parle, comme il vient de le faire, il faut le prendre au sérieux. Il ne faut pas partir du principe qu'il galèje. Quand il dit qu'il est prêt à intervenir en Ukraine ou en Crimée (ce qu'il a fait), je le prends très au sérieux. Poutine est tout sauf un fanfaron. C'est un type structuré et on le voit dans la façon dont il joue ses coups, y compris quand il les annonce. Et puis surtout, quand vous avez des soldats qui sont face à face, comme c'est en ce moment le cas sur l'aéroport près de Sébastopol par exemple, il peut arriver n'importe quoi, et très rapidement. Si quelqu'un tire, on change d'univers. Ce n'est pas une image, c'est la stricte et dangereuse réalité.

1798524_758562457487993_1183073738_n

4 mars 2014

UKRAINE - RUSSIE

On se demande ce qui pourrait faire plier Poutine et l'amener à la raison. Surement pas Obama en pâle copie de JFK dans la crise des missiles de Cuba. Ni les leaders européens et leurs menaces de sanctions. Non, ce qui pourrait faire plier Poutine, c'est la chute du rouble et la chute de la Bourse Russe. Une vraie déroute hier qui continue encore ce matin.

Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 > >>
Publicité