Maillé, un crime sans assassin...
Résumé : Le 25 août 1944, le village de Maillé, en Indre-et-Loire, subit un massacre de sa population par des soldats allemands, en représailles d'actions de la résistance et 124 habitants de la commune trouvent la mort. Les survivants et les orphelins bénéficient de la générosité d'un riche couple d'Américains, jusqu'à leur mort en 1958. Redevenu un village paisible, Maillé revient sur le devant de la scène en 2008, quand la justice allemande décide d'ouvrir une enquête sur ce crime et de rendre justice. En suivant l'enquête menée par les Allemands, Christophe Weber raconte l'histoire incroyable de ce lieu.
Réalisateur: Christophe Weber
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Portes ouvertes chez les Pompiers de Paris (hier)
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Reportage photographique : Noémie
Le prestige de l'uniforme....et la beauté des camions rouges....
Les seins d’Eva Green sur une affiche de la suite de «Sin City» choquent la MPAA
CINEMA - La Motion Picture Association of America désapprouve ce poster pour le film de Rodriguez et Miller en raison de sa «nudité»...
Choquant? Selon Page Six, la Motion Picture Association of America (MPAA), dont la fonction principale est d’assurer la classification des films aux Etats-Unis, n’aurait pas approuvé une affiche pour la suite de Sin City. Sur celle-ci, on y voit l’actrice Eva Green une main sur la hanche, un flingue dans l’autre, dans une tenue blanche très diaphane. Trop au goût de la MPAA, puisqu’elle l’interdit en raison de sa «nudité, de la courbe de la poitrine, ainsi que du téton et de son aérole visibles à travers la robe transparente».
A la recherche d'un compromis
Interrogé par Page Six, la société de production Dimension Films n’a pas souhaité commenté, indiquant juste qu’elle cherchait un compromis avec le MPAA avant la sortie du film aux Etats-Unis le 22 août. L’actrice française ne s’est pas exprimée non plus sur le sujet. Mais gageons que cela doit la dépiter. En 2003, la MPAA avait carrément demandé des coupes dans un des premiers films dans lequel elle jouait. Car dans Innocents: The Dreamers de Bernardo Bertolucci, elle jouait nue dans plusieurs scènes. Au Guardian, elle déclarait au sujet de ce montage imposé pour le marché américain: «C’est assez paradoxal, car aux Etats-Unis, il y a tellement de violence, à la fois dans les rues et sur l’écran. Ils n’y trouvent rien à redire. Pourtant je pense qu’ils ont peur du sexe.»
Sin City: A Dame to kill for (Sin City : j’ai tué pour elle en français) est la suite de l’adaptation du comics de Frank Miller sorti en 2005. Réalisé par Robert Rodriguez et le bédéaste, le film verra le retour du casting original, comme Jessica Alba, Mickey Rourke et Bruce Willis. Parmi les arrivants, Eva Green, bien sûr, mais aussi Josh Brolin, Lady Gaga, Joseph Gordon-Levitt… Le film sera visible en salles en France le 17 septembre prochain.
Mademoiselle A dans Mon Gainsbourg à moi - Théâtre du Petit Hébertot, Paris
Une chanteuse, un piano, quelques rares éléments de décors, des ombres et des projections vidéos ? Oui mais pas que... Mademoiselle A raconte et chante son histoire : brulante, palpitante, politiquement très incorrecte mais aussi terriblement drôle et sensible à la fois. Au départ, rien de plus qu'une fillette de onze ans passionnée par le chant, encouragée par sa grand-mère, empêchée par un père violent qu'elle admire plus que tout. Mais quand 2 ans plus tard, sa grand-mère s'éteint et ses parents se séparent, tous ses repères volent en éclats. La recherche du bonheur va dès lors ouvrir chez la jeune femme un large champ d'expériences toutes plus extrêmes les unes que les autres. A travers l'interprétation subtile des chansons revisitées de son idole de toujours - S. Gainsbourg – la jeune femme va chercher à atteindre un épanouissement sexuel et intellectuel absolu. Où se cache le véritable amour ? Dans la réalisation artistique ? Du côté des hommes ou des femmes ? Dans la douleur ? Dans l'abandon total, la soumission ou la domination ? Et s'il était un peu partout à la fois ? A travers les textes subversifs de Gainsbourg, la curiosité et le culot de la jeune femme soulèvent une question : "jusqu'où aimer pour aimer jusqu'au bout ?"
Auteur : Mademoiselle A, Cédric Chapuis
Artistes : Mademoiselle A
Metteur en scène : Cédric Chapuis
Quand TINTIN vaut de l'or...
En 5 min : 2,6 millions d’€ pour une page de #Tintin. La #BD sur le marché de l'art. Enquête http://t.co/5jA2OTpOub pic.twitter.com/uS6eqeTAk3
— France Inter (@franceinter) 1 Juin 2014
Photos ci-dessus prises à Artcurial
2,655 mille euros avec frais. C'était il y a une semaine chez Artcurial à Paris, un record mondial pour une œuvre de BD. Une double page à l'encre de Chine réalisée par Hergé : Tintin et Milou représentés dans 34 situations différentes, pages de garde des albums publiés entre 1937 et 1958.
Il y a deux ans, déjà chez Artcurial, une couverture gouache de "Tintin en Amérique" s'était vendue 1 millions 300 mille euros. C’était à l’époqie la plus chère du monde. On est passé du simple au double donc, en 4 minutes 47 secondes de vente, ou plutôt de combat...
De l'acheteur, on ne sait pas grand chose : il vit aux Etats-Unis, c'est un vrai fan de Tintin et pas un spéculateur. La pièce va rejoindre une collection.
Ce prix qui ne reflète pas tout le marché de la BD, mais le crédibilise encore plus.
Une reconnaissance par l'argent - et reconnaissance tout court - du talent des dessinateurs de BD qui ont bataillé des années pour faire accepter l'idée qu'ils sont avant tout des artistes.
La dernière occupation...
Une géniale carte de la dernière fois que chaque pays européen a été occupé http://t.co/HqayXPDyhm pic.twitter.com/VA1q7EObYJ
— Slate.fr (@Slatefr) 1 Juin 2014