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Jours tranquilles à Paris
5 juin 2014

Travailler assis toute la journée nuit à la santé

Douleurs au dos, dégénérescence musculaire, maladies cardiaques… et même décès prématuré. Plusieurs études mettent en garde contre les risques encourus par les travailleurs sédentaires.

Travailleurs assis, levez-vous ! C’est un peu le message lancé par une flopée d’études récentes qui s’inquiètent des conséquences du travail sédentaire sur la santé.« Nous sommes une société qui s’avachit, prévient Rob Danoff, médecin et membre de l’association des ostéopathes américains.On est assis, avachi la plupart du temps, au bureau et, quand on rentre à la maison, on s’avachit sur le canapé devant la télévision. La combinaison peut être mortelle. » Pourquoi ? Parce que plus on est assis, moins le sang circule. Et se dépenser en salle de gym ne compense pas. Les risques ? Douleurs au dos, dégénérescence musculaire, maladies cardiaques, diabète, cancer du côlon… Et une augmentation de 15 % du risque de décès prématuré pour la moyenne des sédentaires (huit heures par jour) et de 40 % pour les plus statiques (onze heures) par rapport à ceux assis moins de quatre heures. C’est ce qu’a mis en avant une étude publiée dans The Archives of Internal Medecine .Les travailleurs concernés sont nombreux. Selon l’Institut américain de la Santé, un adulte américain passe en moyenne 7,7 heures par jour sédentaire, et 70 % des employés de bureau passent plus de cinq heures par jour assis à leur bureau.

« Il faut diversifier »

Que faire ? Adopter des bureaux debout, comme le font déjà la Californie et ses entreprises Google, Facebook, et autres Twitter. Travailler debout, c’est aussi ce que faisait, il y a trois siècles, Thomas Jefferson, l’un des pères fondateurs des États-Unis.« Il ne faut pas passer d’un extrême à l’autre » , prévient toutefois Rob Danoff. Si« nous ne sommes pas faits pour être assis toute la journée, nous ne sommes pas faits non plus pour être toujours debout » , ce qui peut aussi provoquer des problèmes.« Il faut diversifier, acquiesce Kathleen Hale, qui vend des bureaux debout et des tapis roulants pour marcher à faible allure.On reste debout, on marche, et quand on en ressent le besoin, on s’assoit, on prend une pause. » Adepte du bureau réglable, Bilaal Ahmed, 34 ans, en mesure les effets :« Je suis plus actif physiquement, et donc mentalement plus actif, plus productif. » À défaut de bureau réglable, on peut aussi se lever une minute toutes les demi-heures, marcher dans le couloir ou aller voir son collègue au lieu de lui envoyer un courriel…

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5 juin 2014

Emily Ratajkowski

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4 juin 2014

Quand Poutine parle....des femmes (entre autres)

Une remarque sexiste pour répondre aux insultes.Dans un entretien accordé à Europe 1 et TF1, mercredi 4 juin, le président russe Vladimir Poutine a violemment taclé Hillary Clinton, qui l'avait comparé à Hitler en mars. "Vous savez, il est préférable de ne pas débattre avec les femmes", a-t-il lancé, sourire aux lèvres, avant d'ajouter à propos de l'ancienne secrétaire d'Etat américaine : "Quant à Mme Clinton, elle n'a jamais été trop subtile dans ses déclarations."

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4 juin 2014

In memorem : Place Tienanmen

4 juin 2014

Extrait d'un shooting - topless

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Photos prises dans mon studio (Paris 15)

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4 juin 2014

Les premiers libérateurs parachutés à Plumelec

La veille du Débarquement, un premier commando de SAS a été parachuté à Plumelec pour lancer l’opération d’armement du maquis de Saint-Marcel. Les hommages commencent demain matin.

Entretien

Commandant Tristan Le Roy, conservateur du musée de la Résistance bretonne de Saint-Marcel.

Quel est le lien entre le parachutage dans la nuit du 4 au 5 juin 1944 à Plumelec et le Débarquement du 6 ?

Les parachutages des SAS, Spécial air service, sont inscrits dans l’ordre du Débarquement. Depuis l’Occupation allemande, les Alliés à Londres ne savent pas comment est organisée la Résistance bretonne. Ils vont donc déposer des agents dans les landes de Lanvaux, repérées depuis 1942 comme zone de parachutage possible. Leurs missions sont multiples : jauger l’état de la Résistance, réaliser un centre de regroupement pour former et armer les bataillons de résistants et saboter les lignes de communications allemandes : ponts, téléphone, etc. Ils participent aussi à l’entreprise d’intoxication pour faire croire aux Allemands à un possible débarquement dans l’estuaire de la Vilaine. Le but était de fixer les 150 000 Allemands en Bretagne et d’éviter qu’ils ne prennent le chemin de la Normandie. Le premier parachutage a lieu cette nuit du 4 au 5 juin 1944 avec sept SAS. Ils vont être les premiers à mettre le pied sur le sol de France. Parmi eux, le caporal Émile Bouétard, touché par des balles allemandes, est considéré comme le premier mort du Débarquement.

Que se passe-t-il après ce premier parachutage ?

D’autres suivront. Plus de deux cents SAS, essentiellement des Français qui ont rejoint l’Angleterre, et des milliers de conteneurs d’armes et de matériel, vont être parachutés au-dessus de Saint-Marcel pour équiper ses 2 500 à 3 000 maquisards. Par exemple, sept cents conteneurs sont largués, dans la nuit du 13 au 14 juin. Saint-Marcel va ainsi devenir un véritable centre de mobilisation. Tous les maquis de Bretagne viennent s’y ravitailler avant de retrouver leurs bases. L’idée des SAS étant d’armer et d’entraîner les maquis tout en évitant la bataille rangée. Le 18 juin, le combat s’engage presque par hasard avec l’arrivée fortuite de deux voitures allemandes. C’est la bataille de Saint-Marcel. Les Allemands reviennent et attaquent les deux mille maquisards et deux cents SAS. Ces derniers vont repousser les trois vagues successives et réussir à se disperser. Le matin du 19 juin, les Allemands trouveront un camp vide.

Quel rôle ont joué les SAS parachutés et le maquis de Saint-Marcel dans la Libération ?

Ils ont permis de multiplier les opérations de guérilla pour désorganiser les troupes allemandes et les maintenir en Bretagne. Le maquis de SaintMarcel est aussi un symbole : c’est la première fois qu’il y a une union sacrée entre la Résistance de l’intérieur, les FFI, de l’extérieur, la France libre, et la population occupée qui offre des caches. C’est une première victoire qui en annonce d’autres. Elle montre que les Allemands peuvent être en difficulté. L’idée du général De Gaulle est aussi de mettre les Français dans le camp des vainqueurs. Quand les Américains vont arriver, une partie de la Bretagne sera ainsi déjà libérée par les SAS et les résistants.

Recueilli par Olivier CLÉRO.

4 juin 2014

70ème anniversaire du Débarquement en Normandie

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4 juin 2014

L’idée d’un hommage à Resnais fait son chemin

L’initiative

Beaucoup de gens ont découvert qu’Alain Resnais était né à Vannes, à l’occasion de sa disparition, le 1er mars. Fabrice Thomas n’est pas de ceux-là. Étudiant, il fut le premier à organiser, en 1995, à Vannes, une rétrospective cinématographique autour de l’œuvre du réalisateur, pour le centenaire du cinéma. En remerciement, Resnais l’invita comme figurant sur le tournage du film On connaît la chanson . C’est là que le jeune Morbihannais côtoya le cinéaste, âgé à l’époque de 75 ans qui, entre deux prises de vues, lui racontait son enfance à Vannes, ville avec laquelle, il était plutôt fâché. Aujourd’hui responsable d’une agence de communication, Fabrice Thomas est convaincu qu’un hommage au cinéaste,« l’une des personnalités nées à Vannes, les plus connues dans le monde » , aurait toute sa raison d’être, dans sa ville d’origine. Fabrice Thomas pense à un événement d’envergure, s’articulant autour de l’œuvre du réalisateur,« où l’on projetterait ses films. On pourrait s’appuyer sur les courts-métrages qu’il a faits enfant à Vannes, programmer un festival en extérieur pour marquer le coup …Un seul film Mon oncle d’Amérique a été tourné ici, mais quand on voit le palmarès (nombreux césars, plusieurs palmes d’or …), il y a de quoi faire. »

L’association Cinécran intéressée

Fabrice Thomas ne voit pas l’intérêt d’un hommage qui laisserait de côté l’œuvre du cinéaste :« Si c’est seulement pour inaugurer une rue, mieux vaut ne rien faire ! On ne doit pas faire ça dans son coin mais associer ceux qui ont envie d’y contribuer (associations, étudiants en cinéma …) et notamment les artistes avec qui il a travaillé (Arditi, Dussollier …). Plein de gens seraient prêts à participer. Pour cela, il me paraît important de contacter ses proches, à commencer par son épouse, l’actrice Sabine Azema, sa première épouse, Florence Malraux qui a été son assistante …» Le tout nouveau président de Cinécran, Laurent Michel, juge pertinent de monter quelque chose autour du cinéma d’Alain Resnais, avec toutes les bonnes volontés.« On peut envisager un cycle. Il faut voir si c’est jouable en terme artistique (disponibilité des films assez anciens, intervention de spécialistes de Resnais …) et financier. On devra examiner si l’on peut avoir un soutien de la ville. Je vais demander aux salariés de l’association d’étudier la faisabilité de l’opération. » Le responsable associatif envisage un projet en partenariat.« On est ouvert à une collaboration avec d’autres sur le sujet. » Article de Jean-Charles MICHEL.

4 juin 2014

Vieilles gravures - vu à l'Hôtel Lutetia

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4 juin 2014

Save the date : ISABELLE ADJANI AU THEATRE DE PARIS en octobre 2014

Elle interprétera finalement un personnage sans nom dans Kinship, une pièce contemporaine de l'Américaine Carey Perloff dans laquelle une femme mûre tombe sous les charmes d'un jeune trentenaire séduisant. Classique? «Pas du tout!», rétorque l'actrice dans un entretien avec notre journaliste Armelle Héliot pour Le Figaro

«Elle» mène une vie sans accrocs jusqu'à ce que «Lui» surgisse, sous les traits du jeune Niels Schneider. «Elle s'enflamme, elle s'éprend follement de lui. Il l'admire. Elle éveille en lui son amour-propre et son appétit de vivre», raconte l'actrice. Mais l'intérêt de la pièce réside, selon elle, dans le troisième personnage, «L'Amie», à qui l'on doit «une partie de l'intrigue et du nœud tragique». «Jamais les liens qui les unissent n'apparaissent aux trois personnages. Ils ne savent pas ce qui les lie…», jubile l'actrice.

Au cœur de Kinship se retrouvent des questions sur le théâtre, accompagnés d'accents dignes de Phèdre. Un personnage qu'Isabelle Adjani avait rêvé d'interpréter sur scène lui a valu. «C'est vrai, Phèdre me rattrape…», s'amuse l'actrice. Avant de préciser: «Cette coïncidence de rencontre est séduisante, mais c'est bien la pièce de Carey Perloff qui me passionne.»

Au Théâtre de Paris à partir du 16 octobre 2014

Du mardi au samedi à 21h00

Matinées le samedi à 16h00, le dimanche à 15h30

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