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Jours tranquilles à Paris
6 juin 2014

Le commando Kieffer - 6 juin 1944


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6 juin 2014

6 juin 1944 - La Pointe du Hoc

6 juin 2014

6 juin 1944 - Débarquement en Normandie

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6 juin 2014

Débarquement en Normandie 6 juin 1944 / 6 juin 2014

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 Le programme des commémorations, que vous pouvez suivre en direct sur francetv info, et à partir de 8h30 sur France 2 :

• à 9 heures débutera une cérémonie d'hommage national à Caen

• à 10h40, François Hollande et Barack Obama se rendront au cimetière américain de Colleville-sur-Mer

• à 11h30, Manuel Valls et le prince Charles se recueilleront au cimetière de Bayeux

• à 14h30 débutera la cérémonie internationale à Ouistreham, à proximité de la plage de Sword Beach

• à 17 heures, François Hollande et le président polonais Bronislaw Komorowski se rendront au cimetière d’Urville-Langannerie.

• à 17h30, Manuel Valls et le Premier ministre canadien, Stephen Harper, assisteront ensemble à une cérémonie au Juno Beach center.

6 juin 2014

Mardi 6 juin 1944 : "Le Jour le plus long" - in memorem

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5 juin 2014

Palais de Tokyo ( vernissage)

5 juin 2014

Visite d'Etat de la Reine d'Angleterre

5 juin 2014

FEMEN - La statue de cire du président russe a été vandalisée à coups de pieu en bois.

Aujourd'hui en début d'après-midi, une militante féministe Femen a détruit à coups de pieu en bois la statue de cire de Vladimir Poutine au Musée Grévin, aux cris de «Poutine dictator».

La jeune femme avait inscrit en lettres rouges sur son torse nu la mention «Kill Putin» (Tuer Poutine). Elle a été rapidement embarquée par la police, laissant la statue du chef du Kremlin à terre. L'incident ne semble en rien avoir troublé les statues de Juan Carlos, Barack Obama, François Hollande et Angela Merkel à ses côtés.

Contacté par Le Figaro, le Musée Grévin a fait savoir qu'il «condamn(ait) ces faits de dégradation». C'est la première fois que le musée est confronté à une dégradation de ses statues de cire à des fins politiques.

Le président russe est invité en France à l'occasion du 70e anniversaire du Débarquement allié en Normandie. Il doit souper jeudi soir à l'Elysée avec le président de la République française, François Hollande, et un entretien entre Vladimir Poutine et le premier ministre britannique, David Cameron, est également prévu. C'est la première fois que les dirigeants occidentaux s'expliquent directement avec lui depuis le rattachement de de la Crimée à la Russie. (Avec AFP)

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5 juin 2014

Un G8 réduit à G7

"Le Président de la République, François HOLLANDE, se rendra au Sommet du G7, qui se déroulera les 4 et 5 juin 2014, à Bruxelles."

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Eh non Poutine, tu ne chanteras pas !

Nous sommes en 2014 après Jésus-Christ. Dans le nord de la Gaule, Bruxelles accueille les chefs d'Etats des pays les plus développés autour d'un banquet. Tous ? Non ! Car un irréductible parmi eux résiste encore et toujours aux sanctions occidentales.

Mercredi 4 juin, c'était en effet la première fois en dix-sept ans que cette rencontre avait lieu sans la Russie, observe le Financial Times. Exclu du sommet du G7 en représailles à l'annexion de la Crimée, Vladimir Poutine était néanmoins au centre des conversations. "Les dirigeants n'ont pas acté de nouvelle salve de sanctions contre la Russie, malgré la pression du président américain Barack Obama lors du premier dîner de ce sommet de deux jours." "La tentative d'isoler le président russe en l'excluant du sommet semble sapée par la décision de son homologue français, François Hollande, d'inviter M. Poutine aux commémorations du débarquement de Normandie ce vendredi", note encore le Financial Times.

Et puisqu'il n'était pas autorisé à chanter au banquet, le barde est allé se faire entendre sur les ondes hertziennes. "La politique la plus agressive, la plus sévère est la politique américaine" a-t-il déclaré sur Europe 1 et TF1. "Nous n’avons presque pas de forces militaires à l’étranger et regardez : partout dans le monde, il y a des bases militaires américaines. […] Les Américains prennent part aux affaires intérieures de tel ou tel pays : il est donc difficile de nous accuser de violation." Dessin de Kroll paru dans Le Soir

5 juin 2014

Pourquoi le prix de l’électricité va augmenter ?

C’est ce que laisse clairement entendre un rapport de la Cour des comptes qui prévoit un coût de production de l’énergie nucléaire plus élevé, dans les années qui viennent.

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Une énergie nucléaire plus chère

Le prix de l’électricité n’est pas prêt de baisser. C’est du moins ce qu’il ressort, en creux, d’un rapport de la Cour des comptes publié mardi. Son objet ? Le coût de production de l’énergie nucléaire, énergie qui représente 75 % de l’électricité française. De 2010 à 2013, il a augmenté de 20,6 %, passant de 49,60 € à 59,80 € le mégawattheure (MWh). Pourquoi ? Parce que les dépenses d’exploitation d’EDF (achat de combustibles, logistique, personnels…) ne cessent d’augmenter (+ 11 %). Et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Le parc de réacteurs (cinquantehuit implantés, sur dix-neuf centrales) vieillit ; il faut l’entretenir. Ce qui coûte cher, très cher. Surtout qu’EDF a dans ses cartons un plan de travaux de maintenance et de modernisation de ses réacteurs, à l’horizon 2025. Pour prolonger leur durée de vie audelà de 40 ans, voire plus. Montant des travaux ? 55 milliards d’euros. À l’arrivée, cela aura un impact sur le porte-monnaie. Car le coût de production pèse 40 % de la facture. Reste que l’électricité nucléaire est, aujourd’hui, la moins chère (par rapport au gaz, charbon, hydraulique, énergies renouvelables).

Une nouvelle politique

Ce rapport est publié alors que le gouvernement s’apprête à présenter, dans les prochaines semaines, son projet de loi sur la transition énergétique. Un projet promis par le candidat Hollande. Et qui est une des« priorités » du Premier ministre, comme il l’a rappelé le 8 avril. L’enjeu est d’importance : réduction des émissions de gaz, amélioration de l’efficacité énergétique et, surtout, réduction de la part du nucléaire à l’horizon 2025, de 75 % à 50 %. La grande idée : produire de l’électricité grâce à un mix énergétique (nucléaire, énergies fossiles, renouvelables). Le débat s’annonce chaud entre les partisans de l’abandon – total ou partiel – de l’énergie nucléaire et les tenants du statu quo, au premier rang desquels EDF.

Changement en Europe

La demande d’énergie de l’Union européenne est en baisse. Mais il y a une grande nouveauté… D’après le cabinet Enerdata, en 2013, le mix électrique est« dominé pour la première fois par les énergies vertes » , avec près de 200 gigawatts (GW) de capacités installées (120 GW d’éolien et 80 GW de solaire). Ce qui fait de l’Europe« le champion des énergies renouvelables » . Un signe pour la France ? Article de Yann BESSOULE.

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