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Jours tranquilles à Paris
13 août 2014

Vu sur internet - RATP

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12 août 2014

"Tatoueurs tatoués" au Musée du Quai Branly

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12 août 2014

Le charismatique professeur du "Cercle des Poètes disparus", disparait...

L'acteur américain Robin Williams a été retrouvé mort à son domicile, lundi 11 août. Il se serait suicidé, selon la police de Marin County (Californie). Dans son communiqué, la police explique qu'un "sujet mâle a été prononcé mort à 12h02, identifié comme Robin McLaurin Williams, 63 ans, résident de Tiburon, en Californie" et que la cause suspectée du décès serait "un suicide par asphyxie".

Il souffrait de dépression

Une enquête est toujours "en cours sur les causes et les circonstances du décès", précise le communiqué de la police. Le comédien avait été vu vivant pour la dernière fois à son domicile, où il vivait avec sa femme, dimanche "vers 22 heures". Selon la presse américaine, l'acteur souffrait de dépression.

Robin Williams, qui a mené une carrière sur plus de trois décennies, s'est fait connaître notamment pour son rôle dans Good Morning Vietnam de Barry Levinson, en 1987. Il a conquis le grand public dans le monde entier avec son rôle de professeur brillant dans Le Cercle des poètes disparus (1989), puis en avocat transporté au Pays imaginaire dans Hook (1991) et, quatre ans plus tard, en adulte prisonnier d'un jeu pour enfants (Jumanji).

Il s'est aussi illustré dans le registre comique avec des films comme Madame Doubtfire, dont une suite doit sortir l'an prochain, ou encore Aladdin, où il doublait la voix du génie en anglais. Robin Williams a reçu l'oscar du meilleur acteur dans un second rôle en 1998 pour le film Will Hunting.

12 août 2014

Sous les Halles - Marché d'Auray

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12 août 2014

Extrait d'un shooting - recherche personnelle (jeu de ballons)

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Photos prises dans mon studio - Paris 15

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12 août 2014

Au hasard de mes pérégrinations...

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12 août 2014

« Pour comprendre l’Histoire, il faut la vivre »

Ils font le Morbihan. Le père Frédéric Fagot est le scénariste du spectacle Yvon Nicolazic, paysan breton à Sainte-Anne-d’Auray. Ce « jeune » prêtre déborde d’enthousiasme pour la transmission de l’Histoire.

Son sourire est indéfectible, sa passion, une ressource inépuisable. Le Père Fagot en est convaincu : l’avenir de l’humanité dépend de notre connaissance du passé.« Qu’il s’agisse de la petite ou de la grande Histoire. Tout est lié. » La sienne est assez étonnante. Frédéric Fagot est devenu prêtre « sur le tard ».« Il s’est passé quelque chose à la mort du Pape Jean-Paul II, confie-t-il.Et puis en 2006, je me suis rendu à Jérusalem. Là j’ai décidé de devenir prêtre. » Il est ordonné en décembre 2012. Avant cela et depuis « toujours », sa vocation est d’enseigner, de transmettre l’Histoire.« Je suis spécialiste de l’histoire de la chouannerie. J’ai enseigné l’histoire de la Révolution et de l’Empire à l’Université à Paris, Rennes et à l’étranger. »

Vivre l’Histoire

La pratique du métier le conduit à revoir ses méthodes.« L’enseignement en amphithéâtre est insuffisant, pour comprendre l’Histoire, il faut la vivre. Et avant de commencer par la grande Histoire, il faut connaître la petite. La sienne, celle de sa famille, celle de son village …» Ce paradigme guide les pas de l’enseignant qui promet le bonheur à ceux qui le suivront. Et depuis 1993, le prêtre est aussi scénariste de spectacle vivant. Cette année-là, il a monté son premier son et lumière en Ille-etVilaine sur la Chouannerie.« Un succès énorme, 200 bénévoles. Toujours dans l’idée de la transmission. Le spectacle est un vecteur, pas une fin en soi. Cette aventure fonctionne grâce aux enfants, aux femmes et aux hommes, à leur caractère. Les mois de préparation sont la naissance d’une microsociété, avec ses joies, ses moments de doutes …»

Boulimie du partage

D’autres suivront avec notamment un projet monté à Jérusalem avec des Chrétiens et des musulmans en 2007, un autre à Rome en 2010 durant l’année de séminaire du père Fagot. Sa boulimie du partage ne s’arrête pas là. Frédéric Fagot a également signé des bandes dessinées sur l’histoire de Clovis, saint Martin, saint Yves, Mère Teresa… La vie d’Yvon Nicolazic racontée ainsi s’est montée en quatre mois et demi.« Lorsque j’ai été ordonné prêtre, j’ai également été nommé délégué diocésain à l’enseignement catholique. Mgr Centène m’a demandé de créer un spectacle sur l’histoire de la Bretagne. » La vie à l’époque d’Yvon Nicolazic s’est imposée. À découvrir chaque soir (sauf le 15) jusqu’au 16 août, à Sainte-Anned’Auray. Article de Delphine LANDAY.

Jusqu’au 16 août, animations à partir de 21 h 30, avec Raoul Le Chenadec et le groupe des Penn Gwenn. Renseignements et vente des billets sur www.yvonnicolazic. fr, au 07 82 18 25 15 ou directement au siège de l’association, 2, rue de la Fontaine.

12 août 2014

St Jean Paul II dans la Basilique de Ste Anne d'Auray

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12 août 2014

Au hasard de mes pérégrinations...

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12 août 2014

De Funès, sa popularité mesurée dans un musée

L’acteur, qui aurait eu cent ans le 31 juillet, est toujours apprécié. La visite du musée qui lui est consacré, au château de Clermont, au Cellier (Loire-Atlantique), permet de s’en rendre compte.

Dix mille visiteurs en trois mois ! Roselyne Duringer n’en revient pas. Dans une dépendance du château de Clermont, au Cellier (Loire-Atlantique), tous viennent voir le musée consacré à Louis de Funès, ouvert depuis le 30 avril et dont elle est à l’origine :« On reçoit des visiteurs de partout en France, mais aussi de l’étranger : Russie, Lituanie, Canada… On se rend compte à quel point il est populaire, comme Charlie Chaplin. » Les visiteurs apprécient de voir des souvenirs de l’acteur dans son havre familial, où il se protégeait des importuns. Un château du XVIIe siècle bâti sur un promontoire de la vallée de la Loire, qui est aujourd’hui une propriété privée.

Un parrain nommé Galabru

Trente et un ans après sa mort (le 27 juillet 1983, à Nantes), l’installation d’un musée dédié à l’acteur répond à une attente, toutes générations confondues, assure Roselyne Duringer. En juillet 2013, elle avait déjà lancé « Le musée de Louis », dans un petit local du bourg du Cellier, avec quelques affiches et objets. Succès immédiat : 5 000 entrées de juillet à décembre. L’opportunité de déménager dans l’orangeraie de Clermont s’est alors présentée. Les fils de Funès, Patrick et Olivier, sont du projet. Michel Galabru en est le parrain. Au château, plusieurs salles permettent d’exposer des affiches qui retracent la carrière de l’acteur : La grande vadrouille, Rabbi Jacob, L’aile ou la cuisse, La folie des grandeurs… Le public est aussi invité à ouvrir les tiroirs des meubles d’époque, pour découvrir des aspects de sa vie privée.« Jeanne, son épouse, et ses fils ont confié beaucoup d’archives et objets personnels. Le musée existe grâce à eux , souligne Roselyne Duringer.Les gens apportent naturellement des objets, on vient de recevoir un bel arrivage de photos originales de tournage. » Dans la salle de projection, un documentaire présente des scènes familiales, des témoignages de Cellariens qui ont connu l’acteur … Dans le livre d’or, à l’accueil, on peut lire des messages de félicitations, dans toutes les langues. Au total, comptez une heure et demie pour faire la visite, sans compter les balades« sur les pas de de Funès, de la cale de Beau-Rivage où il pêchait, au cimetière où il repose » . Le 31 juillet, l’acteur aurait eu cent ans. Roselyne a anticipé :« Pas de fête publique, les visiteurs ne seront acceptés que de 10 h à 14 h. Puis, seuls ceux qui ont aidé à la création du musée pourront entrer dans le parc. » Objectif :« Éviter un afflux comparable à la fête du 15 septembre 2013. Il y avait 11 000 personnes au Cellier ! ». Article de Roberte JOURDON.

Pratique : ouvert jusqu’au 31 août, accueil du public de 10 h à 17 h 30, fermé le lundi. www.museedelouis.org. Tél. 02 51 85 36 26.

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