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Jours tranquilles à Paris
11 juillet 2015

L’Ouest est très touché par la radicalisation islamiste

Entretien

Nathalie Goulet, sénatrice UDI, présidente de la commission d’enquête sur les réseaux djihadistes.

Qui signale ces cas de radicalisation ?

Les services de renseignement, la police et la gendarmerie, mais aussi les écoles, les travailleurs sociaux, la famille, et parfois les voisins. Ce n’est pas de la délation, mais de l’assistance à personne en danger. Les jeunes en voie de radicalisation sont en perdition. Et quand ils partent, ils peuvent se faire tuer, violer, ou être vendus ou mariés de force. Un numéro vert a été mis en place il y a un an. Les spécialistes de la plateforme sont là pour faire la différence entre un islam respectueux, qui a toute sa place en France, et les signes de radicalisation.

Comment les reconnaître ?

Il y a les signaux forts : rejet de la famille, refus d’aller à la piscine, changement de régime alimentaire… Mais au fur et à mesure, les réseaux djihadistes font passer le message de dissimuler la mutation. Les signaux deviennent donc plus faibles. Le gouvernement est mobilisé sur ce problème. Il fait circuler des grilles de lecture pour apprendre à déceler ces signes. Car l’ignorance en ce domaine est notre plus grand ennemi. Y compris pour les futurs terroristes, qui ne connaissent pas leur propre religion et se laissent manipuler.

Comment bascule-t-on dans la radicalisation ?

Chaque cas est unique. Une personne qui présente des signaux forts de radicalisation peut ne jamais passer à l’acte. Mais franchir le pas peut être déclenché par une vidéo sur Internet, la diffusion d’images aux informations, une rencontre dans la rue, une brimade, une vexation…Recueilli par Julien BELAUD.

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Le ministère de l’Intérieur a mis en place un numéro vert « antidjihad » : tél. 0 800 00 56 96.

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11 juillet 2015

Chemin de fer de la Rhune

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Chemin de fer de la Rhune

Ligne de col de Saint-Ignace à sommet de la Rhune

Le petit train de la Rhune

Le chemin de fer de la Rhune appelé aussi train de la Rhune ou petit train de la Rhune1, est une ligne ferroviaire électrifiée à voie métrique et à crémaillère située en Pays basque dans les Pyrénées-Atlantiques. Il est l'un des rares chemins de fer à crémaillère de France encore en service. Sur une ligne à voie métrique, inaugurée en 1924, roulent pendant la saison touristique des rames d'époque à traction électrique. La ligne relie le col de Saint-Ignace, à 10  km environ à l'est de Saint-Jean-de-Luz au sommet de la Rhune à 905 m d'altitude, sur la frontière franco-espagnole

Historique

En 1908, nait l'idée de construire un chemin de fer pour monter au sommet de la Rhune ; le projet se concrétise par le début des travaux en 1912 et la création de la Société anonyme des Chemins de Fer basques en 1913, qui prend le nom de Voies ferrées départementales du Midi (VFDM) en 1914. Les travaux sont suspendus pendant la guerre de 1914-1918 ; ils reprennent en 1919 et se terminent en 1924 avec deux inaugurations : le 25 avril pour le premier tronçon jusqu'aux Trois Fontaines et le 30 juin pour la liaison avec le sommet. Durant les années suivantes, hormis la période de la guerre 1939-1945, le site attire de plus en plus de touristes, ce qui se traduit par des investissements concernant par exemple l'aménagement d'un parking en 1958, la construction d'une salle d'attente et d'un couloir pour accéder au sommet, situé à quelques mètres en Espagne, en 1967. Appelée à se prononcer par référendum en 1978, la population de Sare rejeta le projet de création d'une route menant au sommet de la Rhune, ce qui permit la survie du train, et la mise en service d'une quatrième rame en 1996.

Caractéristiques

Le chemin de fer de la Rhune permet, avec ses 4,2 km de voie métrique, de passer de l'altitude de 169 mètres (gare de départ au col de Saint-Ignace), à une altitude de 905  m (gare d'arrivée proche du sommet de la Rhune situé sur la frontière franco-espagnole). Cette ascension bucolique prend trente-cinq minutes, la ligne utilisant la technique du chemin de fer à crémaillère, système Strub, pour pouvoir monter cette pente de 250 mm/m. Pour des raisons de sécurité, le choix de l'énergie motrice a été dès l'origine, en 1924, celui de électricité et du courant triphasé. Ces techniques permettent une progression du train à une vitesse moyenne d'environ 8 km/h.

Le matériel est toujours celui conçu en 1924. L'ensemble du parc, motrices et voitures, a été complètement restauré, contrôlé et mis aux normes peu après le changement de concessionnaire en 1996, par des entreprises spécialisées, certaines disposant des plans d'origine. Les rames comportent chacune une motrice et deux voitures voyageurs, la motrice à crémaillère étant toujours placée en aval des voitures. La motrice pousse les voitures dans la montée et les retient dans la descente, deux agents sont nécessaires à la conduite car la voiture terminale dispose d'une cabine de frein occupée par un agent.

Motrices

Les motrices électriques ont pour modèle le prototype de la première locomotive à courant triphasé conçue en 1895 par Brown Boveri en Suisse, reproduit sur de nombreuses lignes à crémaillère. Elles sont alimentées en courant par l'intermédiaire de deux pantographes doubles ; elles reposent sur deux essieux qui sont uniquement porteurs. Le système à crémaillère, permet deux actions : l'une est motrice et l'autre freine. Cela se fait par deux roues dentées centrales qui sont mises en mouvement par des couples d'engrenages à double démultiplication. L'énergie motrice étant fournie par le deux moteurs asynchrones triphasés de 160 ch, tournant à 750 tr/min. Les motrices sont également équipées de deux freins à main, capables d'immobiliser le train : ils agissent sur chaque roue dentée par l'intermédiaire de tambours cannelés situés de part et d'autre. Un frein moteur automatique se déclenche lorsque la vitesse dépasse 9 km/h, il arrête le train en quelques mètres.

Voitures

Construites par les établissements Soulé de Bagnères-de-Bigorre, leur caisse est en bois vernis (lambris de châtaigners d'Ardèche) et leur toiture en sapins des Pyrénées. Un entretien est fait chaque année, au dépôt pendant la basse saison. Le châssis repose en amont sur un bogie, et en aval sur un essieu, pour avoir un meilleur passage dans les courbes de la voie. Les voitures possèdent chacune un essieu frein, capable d'immobiliser le train dans l'urgence. Une voiture est composée de six compartiments de dix places assises, soit soixante au total. Source : Wikipedia

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11 juillet 2015

CARNAC : Première de Skedanoz, la foule est là, le spectacle commence...

11 juillet 2015

La com' élyséenne...

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Dans son numéro d’août prochain, le magazine GQ consacre une enquête au jeune prodige de la com’ élyséenne. Débarqué au printemps 2014 à la place du duo “old-school” Sérillon-Morelle, Gaspard Gantzer, 36 ans, a pris la main sur les tweets et posts Facebook du chef de l’État.

Le changement est radical, fini la solennité présidentielle. Convaincu que  “la proximité est ce qui constitue l’identité politique de François Hollande”, voire même “sa force”, le nouveau directeur du pôle communication de l’Élysée mise tout sur les réseaux sociaux. Grâce à la touche Gantzer, le président paraît “plus proche, plus spontané, plus décalé aussi”, note GQ.

Peu utilisé après son élection en mai 2012, le compte Twitter du président a repris de l’activité depuis l’arrivée de Gaspard Gantzer. François Hollande s’exprime plus fréquemment, et pas seulement sur des sujets politiques. En juin dernier, il a publié un mot d’encouragement aux lycéens qui s’apprêtaient à affronter leur épreuve de philo au bac. Bien reçu, le président a eu droit à plus de 1 400 retweets.

11 juillet 2015

Zahia et Peta...

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11 juillet 2015

A NOUS PARIS

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11 juillet 2015

Vive les vacances.... vu sur Instagram

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11 juillet 2015

La une de Libération ce matin

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Le Facteur Cheval

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Reportage photographique : Jacques Snap

11 juillet 2015

Romy Schneider

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