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Jours tranquilles à Paris
14 juillet 2015

Christian Louboutin...ou rien !

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14 juillet 2015

Au Nid, le bar perché de Nantes

Enfin un guide pour faire la fête, tout en se dépaysant dans des lieux insolites. Aujourd’hui, on s’envoie en l’air, au Nid, à Nantes.

C’est quoi ?

Vertigineux, Le Nid est un bar-terrasse perché en haut de la Tour de Bretagne, à Nantes, qui offre une vue à 360° sur la ville. C’est aussi un refuge. Celui d’un immense oiseau, micigogne, mi-héron, à moitié endormi, qui veille sur la métropole. Son corps fait office de bar et ses œufs, cassés pour la plupart, servent de fauteuils et de tables. Soigné et aménagé par Jean Jullien, artiste renommé des arts graphiques, l’ambiance du lieu est lunaire. Et les différentes affiches, à la fois modernes et colorées, ne sont pas sans rappeler l’univers du cartoon.

C’est pour qui ?

Ouvert du matin au soir, le bar peut aussi bien accueillir un couple, le temps d’un café, qu’une bande d’amis pour festoyer. Du plus petit au plus grand, d’un environnement familial à une ambiance festive, Le Nid s’adresse à tout le monde… Sauf aux cœurs sensibles au vertige.

C’est où ?

Ce haut lieu doit son originalité à sa situation géographique. Situé au 32e étage de la Tour Bretagne, dans l’hypercentre de Nantes, Le Nid est le point culminant de la métropole. Comme un clin d’œil à ses grands frères américains, dont l’Empire State Building, l’étage est ouvert, protégé par une rambarde et annoté des principaux monuments et lieux à découvrir dans chaque direction offerte par ce fantastique panorama. Sensations fortes assurées. Article de Hugo LANOË.

Ì Place de Bretagne à Nantes. L’entrée dans la Tour est à 1 €. Gratuite pour les moins de 16 ans et les titulaires du Pass Nantes. Ouvert jusqu’à 4 h du matin du mercredi au samedi. Soirées DJ « Birdy Party », les jeudis à 22 h. Concert acoustique « Sundy », les dimanches à 19 h 30. Rens. https://www.facebook.com/LeNidNantes

14 juillet 2015

Auray : Jean-Jacques expose des artistes du monde

Nous sommes à Auray, dans la rue Georges-Clemenceau. Coincée entre un café et une mercerie, on trouve la galerie d’art contemporain de Jean-Jacques Rio.

Au rez-de-chaussée d’une maison à deux étages, le petit commerce ne paye pas de mine. Mais il faut se méfier des apparences, car, au-delà de la petite vitrine, se cache un espace de 150 m². Sur les murs, trônent des tableaux, des photographies… Et la galerie continue encore dehors. Là, sur une terrasse et un petit bout de jardin, d’autres sculptures sont exposées. C’est certainement ce surprenant mélange qui a valu à la galerie Jean Jacques Rio de faire partie des « 634 galeries d’art actuel à connaître en France », dans le hors série du magazine Artension .« C’est la seule galerie du Morbihan qui a été sélectionnée », annonce fièrement le propriétaire des lieux.

« En Chine, tout le monde s’intéresse à l’art »

L’art, il l’a découvert au Brésil, où il a vécu quelques années.« Làbas, j’en ai pris plein les yeux et les oreilles. » Le voyageur est ensuite parti continuer ses études en Chine, d’où il a ramené l’artiste qui a inauguré sa galerie, il y a trois ans, Qunce Zeng.« Ce qui m’a impressionné en Chine, c’est que tout le monde s’intéresse à l’art. Dans les galeries, on voit aussi bien des jeunes que des anciens, des pauvres et des riches… Je voudrais que ce soit pareil, ici. » Le galeriste regrette le manque d’art en centre-ville d’Auray. Influencé par son parcours aux quatre coins du monde, Jean-Jacques Rio aime à mélanger les styles. Il rencontre beaucoup d’artistes d’ici et garde contact en parallèle avec ceux d’ailleurs.« Notamment grâce au magazine Artension qui m’a classé parmi les galeries à découvrir. J’ai eu beaucoup de demandes d’artistes locaux. » Parmi d’autres, Hervé Quéré installait ses sculptures dans la grande salle, jeudi. Il est Finistérien. Plus localement encore, Nathalie Guével est née à Auray et expose ses toiles colorées, pour lesquelles elle a gagné le prix Renoir en 2007. La galerie a aujourd’hui une clientèle régulière et fidèle,« grâce aux artistes de talent que je déniche un peu partout. J’espère d’ailleurs découvrir de plus en plus de peintres ou de sculpteurs régionaux, pour continuer à les mixer avec ceux d’autres pays… » Le charme de la galerie ne serait-il pas lui aussi à l’origine de son succès ?

http://www.galerie-jjrio.com/

14 juillet 2015

Détours en France est paru

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14 juillet 2015

Street Art

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14 juillet 2015

Deauville - Vu sur Instagram

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14 juillet 2015

La pub au bord de la route, c’est terminé ?

Depuis avant hier, ces préenseignes publicitaires sont prohibés dans les communes de moins de 10 000 habitants, et soumis à des réglementations dans les autres. En faveur du paysage. Au détriment des commerçants.

« Votre restaurant… dans 5 km » ,« L’hôtel… à 2 minutes » … Depuis hier, c’en est théoriquement fini des préenseignes, ces panneaux publicitaires présents à l’entrée des villes et villages, indiquant la direction à prendre pour rejoindre le supermarché ou encore la crêperie du coin. Comme il avait été convenu lors du Grenelle de l’environnement de 2010, ces panneaux publicitaires sont désormais interdits hors agglomération et dans les agglomérations de moins de 10 000 habitants. Pour les autres, comme Rennes et Nantes, un règlement local de publicité est requis. Les préenseignes sont alors soumises à des réglementations et à des dérogations, notamment sur les dimensions. Les commerçants avaient cinq ans pour se mettre aux normes.

Un million de panneaux

Hier, l’échéance est tombée. Au final, les entreprises, dans leur majorité, n’ont rien fait. Les élus regardent ailleurs. Ou n’ont pas été avertis, comme Pierre Guitton, maire de Saint-Méen-le-Grand, en Ille-et-Vilaine :« J’ai appris ce matin, dans la presse, l’interdiction des préenseignes. Je n’ai reçu aucune directive. Le nécessaire n’a donc pas encore été fait. » Mais des amendes sont prévues, en cas de non-respect de la loi. 202,11 € par jour. Et par panneau. Aux frais de l’entreprise, bien évidemment. Entre 600 000 et un million de préenseignes seraient concernées. Que ceux qui s’inquiètent pour les attractions culturelles ou les produits locaux se rassurent. Les préenseignes concernant la fabrication ou la vente de produits du terroir par des entreprises locales, les manifestations culturelles temporaires ainsi que les monuments historiques ne sont pas concernés par cette interdiction. Ces panneaux gâchaient souvent le paysage, empêchaient de profiter de la beauté d’un lieu pour un« fast-food à 200 mètres » et autres grosses multinationales.« Ils rendaient pourtant bien des services », réagissent certains. Pour trouver son hôtel, ou la boulangerie la plus proche, ils étaient d’une aide précieuse. Et aidaient à promouvoir l’économie locale. Désormais, il faudra compter sur son GPS ou sur son guide touristique pour se repérer. Article de Anne-Véronique BARBÉ.

14 juillet 2015

Grèce

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14 juillet 2015

Exposition : "The Art of the Brick"

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14 juillet 2015

Ste Anne d'Auray : Le spectacle Yvon Nicolazic c’est aussi une aventure familiale

Samedi, 21 h 30, la répétition du spectacle son et lumière « Yvon Nicolazic, paysan breton », a lieu pour la première fois en soirée, presqu’en condition réelle. Le nouveau site, juste derrière le Mémorial, resplendit des décors qui resteront désormais sur place à l’année. À quelques jours de la première, les acteurs s’approprient les lieux et leur rôle. Parmi eux, la famille Le Yondre. Gwénaël joue le rôle du paysan breton, Yvon Nicolazic. Kristell son épouse dans la vie et dans le spectacle est Guillemette Le Roux. Alexis, 11 ans, et son frère Ronan 13 ans, jouent le rôle de deux garnements. Puis il y a Édith, la maman de Kristell qui joue une villageoise.

« On se fait tous la bise »

La famille de Moréac évolue dans le spectacle depuis la première édition.« C’est d’abord une histoire d’amitié entre trois copains. Nous sommes natifs de Sainte-Anne-d’Auray, avons suivi notre scolarité au collège-lycée, et on s’était dit que ce serait pas mal de faire un truc ensemble. Le spectacle est apparu comme une évidence », explique Gwenaël. Si aujourd’hui, les copains de celui qui tient le rôle principal du spectacle n’en sont plus, la famille a pris le relais.« Nous nous sommes tout de suite impliqués dans des rôles principaux. Les enfants ont suivi naturellement », explique Kristell. Ce spectacle est riche de rencontres. 120 acteurs, presque autant de bénévoles œuvre dans l’ombre pour que la magie, ce qu’on appelle déjà un petit Puy du Fou, opère.« Il règne une ambiance familiale ici. On rencontre des gens de tous âges. Au début on se serrait la main, aujourd’hui on se fait tous la bise. C’est une belle aventure humaine et familiale. J’ai même joué à côté de mon ancien prof de science naturelle, Alain Jounot », explique tout émoustillé, Gwenaël.« Je me souviens encore, qu’ici, dans cet espace nous faisions du sport » évoque Kristell. Pour Alexis, c’est tout simplement génial.« Il y a plein de copains et je trouve que, cette année, nos rôles sont mis plus en avant. Moi j’ai connu l’histoire de Sainte-Anne grâce à ce spectacle. » C’est ça la clé de réussite de ce spectacle, cet esprit de famille qui anime tant les bénévoles de l’association. Le public qui a été conquis deux années consécutives va découvrir un nouveau scénario dans un écrin de verdure exceptionnel. Source site Ouest France.

Le programme

Première le 26 juillet, puis les 27, 28,30, 31 et le 1er août à 21 h 45. Le spectacle sera précédé d’un concert de musique bretonne. Renseignements et vente des billets sur www.yvonnicolazic.fr, au 07 82 18 25 15 ou au siège de l’association, 2, rue de la Fontaine, dans les offices de tourismes d’Auray et Sainte-Anne-d’Auray. Grand parking près du site. Tarifs : adultes 14 €, moins de 12 ans, 7 €.

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