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Jours tranquilles à Paris
17 mars 2018

Miles Aldridge

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17 mars 2018

M Magazine

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17 mars 2018

Sur la scène du Grand Rex, Sylvie Vartan fait revivre Johnny

Par Sandrine Blanchard - Le Monde

La première épouse du chanteur, mort en décembre 2017, lui a rendu hommage en reprenant une dizaine de ses tubes avant un émouvant duo virtuel.

« Malgré cette affaire sordide d’héritage, Sylvie a rendu un hommage très émouvant à Johnny Hallyday. » Fabienne et Nadine, deux sexagénaires parisiennes, sortent les larmes aux yeux du concert de Sylvie Vartan. Pour la première fois depuis le décès du rocker, sa première épouse est remontée sur scène vendredi 16 mars, au Grand Rex à Paris, en plein psychodrame autour du testament de la star.

L’heure, cette fois, n’est pas à la polémique mais au souvenir. Devant une salle comble, la chanteuse, accompagnée de neuf musiciens et trois choristes, livre une rétrospective de son répertoire. Puis, en fin de concert, troquant sa veste à paillettes dorées contre un blazer noir, elle rend un hommage d’une demi-heure à celui qu’elle considère comme « un être exceptionnel ».

« Il a mis le feu à une génération et nous l’avons tous suivi. »

Grâce à « la magie de la technologie », Sylvie Vartan a choisi, dit-elle, « d’ouvrir une fenêtre dans le ciel ». Un écran descend à ses côtés, et commence alors, avec l’hologramme de Johnny Hallyday, un duo virtuel. Le couple mythique des années 1960 chante le tube J’ai un problème et une partie des spectateurs, venus spécialement pour cet hommage, brandissent des ballons gonflables rouges en forme de cœur.

Auparavant, de nombreuses photos du couple, mais aussi de David Hallyday, de Nathalie Baye et de Laura Smet, ont défilé en fond de scène, pendant que Sylvie Vartan interprétait Tendres années. Cette mise en scène retraçant la vie d’avant Laeticia Hallyday résonne alors comme le symbole d’un clan uni, au moment où le fils et la fille réclament un droit de regard sur l’album posthume de leur père et leur part d’héritage.

Vidéo sur écran géant

Dos au public, face à un immense portrait de Johnny, Sylvie Vartan entonne La plus belle pour aller danser. Puis se lance dans un medley de sept chansons de son ancien complice – parmi lesquelles Noir c’est noir, Retiens la nuit, Gabrielle et Que je t’aime – en incitant le public à « chanter en son honneur ». « Pendant vingt ans, lui et moi, avons grandi ensemble. Nous avons vécu des moments inoubliables sur scène et, même si la vie nous a séparés, rien n’a pu altérer notre amour et le respect que nous avions l’un pour l’autre », explique-t-elle.

Visiblement émue, la chanteuse rend un dernier adieu à son ex-mari :

« Merci Johnny. Merci pour les merveilleuses années que tu as partagées avec tes fans et avec ta famille. Tu me manques déjà. »

Et elle laisse la place à une vidéo, retransmise sur un écran géant, où l’on voit le couple reprendre ensemble deux chansons d’Edith Piaf, L’Hymne à l’amour et Non, je ne regrette rien enregistrées lors d’un concert à l’Olympia en 2009.

« Une Hallyday au féminin »

Que ce soit à travers de nombreuses images d’archives, ou le choix de Sylvie Vartan de commencer le concert par Le Bon temps du rock and roll, l’un des classiques de « l’idole des jeunes », Johnny Hallyday n’aura cessé d’être présent durant ces deux heures et demie de show auquel assistaient, notamment, les filles de son fils David, mais aussi Etienne Daho et le photographe Jean-Marie Périer. « Vous savez, je suis très attachée à ma famille », a rappelé la chanteuse devant un public criant des « je t’aime » et comblé par ce flash-back musical.

« Ce couple Vartan-Hallyday représente notre jeunesse, l’insouciance des années 1960 », témoigne Fabienne, fan de la première heure, à la sortie du concert. Le déchirement familial autour de l’héritage passe au second plan en cette soirée de nostalgie.

« Cette histoire de testament ne m’intéresse pas parce qu’elle est privée », assure Patrice, qui a déjà assisté à dix-huit concerts de Sylvie Vartan. « Mon premier était en 1977 au Palais des congrès, elle avait une robe panthère et c’était un vrai show à l’américaine », se souvient-il. Pour ce commerçant âgé de 55 ans, « Sylvie est comme une Hallyday au féminin, la dernière star française vivante, une mère et une femme idéale ».

« ELLE S’EN EST SORTIE AVEC RESPECT ET FINESSE, L’AMBIANCE CE SOIR ÉTAIT AU RASSEMBLEMENT »

Corinne, elle, ne cache pas qu’elle était « curieuse de voir comment la chanteuse allait rendre hommage à Johnny en pleine polémique ». Avec sa copine Annie, elles assurent ne pas avoir été déçues : « Elle s’en est sortie avec respect et finesse, l’ambiance ce soir était au rassemblement. » Edith et Jean-Pierre, venus de Rouen, jugent le show « bouleversant », mais se disent « persuadés que le clan Hallyday ne lâchera pas l’affaire de l’héritage, il y a trop de fierté ».

Jeudi 15 mars, au micro de LCI, Sylvie Vartan a livré ses doutes sur la rédaction du fameux testament : « Tout ce qui a été fait lui a été dicté par des gens dans son entourage », estime-t-elle. Elle donnera un nouveau concert, le 14 avril au Grand Rex, avec, une fois encore, l’hommage à Johnny. Dans l’intervalle, l’héritage du rocker devrait connaître de nouveaux épisodes judiciaires.

vartan

https://www.facebook.com/leparisien/videos/10156572526804063/

17 mars 2018

William Klein - bientôt.... à la Polka Galerie et dans Polka Magazine

 

 

17 mars 2018

Audrey Hepburn

Quand on lui a demandé de révéler ses secrets de beauté, l'actrice Audrey Hepburn a écrit ce poème, qui fut lu à ses funérailles :

Pour avoir des lèvres attirantes, prononcez des paroles de bonté.

Pour avoir de beaux yeux, regardez ce que les gens ont de beau en eux.

Pour rester mince, partagez vos repas avec ceux qui ont faim.

Pour avoir de beaux cheveux, laissez un enfant y passer sa main chaque jour.

Pour avoir un beau maintien, marchez en sachant que vous n’êtes jamais seule, car ceux qui vous aiment et vous ont aimé vous accompagnent.

Les gens, plus encore que les objets, ont besoin d’être réparés, bichonnés, ravivés, réclamés et sauvés : ne rejetez jamais personne.

Pensez-y : si un jour vous avez besoin d’une main secourable, vous en trouverez une au bout de chacun de vos bras.

En vieillissant, vous vous rendrez compte que vous avez deux mains, l’une pour vous aider vous-même, l’autre pour aider ceux qui en ont besoin.

La beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte, son visage ou sa façon d’arranger ses cheveux. La beauté d’une femme se voit dans ses yeux, car c’est la porte ouverte sur son coeur, la source de son amour.

La beauté d’une femme n’est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C’est la tendresse qu’elle donne, l’amour, la passion qu’elle exprime.

La beauté d’une femme se développe avec les années.

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17 mars 2018

Auschwitz - Czesława Kwoka, 14 ans

Wilhelm Brasse

Données clés

Naissance        3 décembre 1917

Décès  23 octobre 2012 (à 94 ans)

Nationalité        Polonaise

Profession      photographe

Activité principale       

1940-1945

Wilhelm Brasse, né le 3 décembre 1917 à Żywiec et mort le 23 octobre 2012 dans la même ville, est un photographe polonais pendant la Seconde Guerre mondiale.

Biographie

Brasse est d'origine mixte autrichienne-polonaise et a étudié la photographie à Katowice. Après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Brasse refuse de signer le "Volksliste" qui lui est accordé en raison de son origine germanique, et de rejoindre l'armée allemande. En 1939, il travaille pendant un certain temps dans un laboratoire de photos à Krynica-Zdrój, puis tente de traverser la frontière avec la Hongrie pour rejoindre l'armée polonaise.

Photo prise par Wilhelm Brasse ; elle montre Czesława Kwoka, 14 ans, morte en 1943 à Auschwitz

Il est arrêté le 31 août 1940 et envoyé au camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau. Dès 1941, il est employé pour photographier les prisonniers nouvellement arrivés dans le camp. Brasse fait de chaque prisonnier une série de trois images : la coiffure, de face et de chaque côté. Il quitte Auschwitz en janvier 1945 avec le dernier convoi de prisonniers et est transféré au camp de concentration de Mauthausen et plus tard au sous-camp de Melk, où il est libéré par les Américains.

Après avoir photographié environ 50 000 prisonniers, il n'a plus jamais pris la caméra après la guerre.

En 2005, le documentaire Portrecista (le portraitiste) de Ireneusz Dobrowolski, porte sur Brasse et son travail à Auschwitz.

Czesława Kwoka1

Czesława Kwoka2

Czeslawa_Kwoka

Czesława Kwoka, 14 ans

17 mars 2018

Priscilla folle du désert

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17 mars 2018

Vu sur internet - j'aime bien

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17 mars 2018

Exposition Olivier Autissier - save the date

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17 mars 2018

Extrait d'un shooting - portrait

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