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Jours tranquilles à Paris
3 juin 2018

Deborah de Robertis

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3 juin 2018

Galerie Laurent Strouk - save the date

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3 juin 2018

Brigitte Macron joue la parisienne avec "Les Parisiennes" aux Folies Bergère...

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Brigitte Macron était présente hier au spectacle des "Parisiennes" aux Folies Bergère...

Les Parisiennes

Laurent Ruquier fait revivre les Parisiennes pour un spectacle musical mêlant chant, danse, comédie. Elles reprennent en live les succès pop et drôles du groupe culte des années 60 et 70.

Et quelles Parisiennes ! Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra vont égayer les Folies Bergère et les plus belles salles de France dans une mise-en-scène sexy et endiablée de Stéphane Jarny.

Avec : Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra

Mise en scène : Stéphane Jarny

Musique : Claude Bolling, Jean Kluger

Arrangements : Régis Ceccarelli

Stylisme : Fleur Demery

Musiciens : Cyril Barbessol, Philippe Eveno, Didier Guazzo, Silvio Marie

Danseurs : Salim Bagayoko, Daniel Mfaya, Thibaut Orsoni, Golan Yosef

Durée : 1h20

3 juin 2018

Brigitte Nielsen photographiée par Helmut Newton

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L'actrice culte Brigitte Nielsen est déjà mère de quatre enfants mais n'en a visiblement pas terminé avec la maternité. À 54 ans, elle attend son cinquième enfant. Une nouvelle qu'elle vient d'annoncer sur Instagram et qu'elle ne peut plus cacher...

3 juin 2018

Foisonnement de spectacles pour le « off » d’Avignon

Par Sandrine Blanchard - Le Monde

Pas moins de 1 538 représentations sont prévues entre le 6 et le 29 juillet, aux côtés de la programmation officielle.

L’édition 2018 du Festival « off » d’Avignon, qui se déroulera du 6 au 29 juillet, affiche un nouveau record : pas moins de 1 538 spectacles y seront programmés, contre 1 480 en 2017. Pierre Beffeyte, président de l’association Avignon Festival & Compagnies (AF & C), a beau dire que « la quantité n’est pas la seule finalité », que ce chiffre démesuré fait de la cité des Papes « un lieu unique de création » et constitue « la preuve d’une immense vitalité des artistes, qui ont une foi inébranlable pour faire vivre le spectacle vivant », cette progression constante du nombre de spectacles interroge.

Car ce foisonnement de propositions artistiques cache une redoutable contradiction : si le « off » est une poule aux œufs d’or pour les loueurs de salle, il est très loin de rémunérer correctement les quelque 4 667 artistes qui vont y tenter leur chance. En présentant, jeudi 31 mai, la nouvelle édition du « off », Pierre Beffeyte l’a reconnu : « La précarisation se développe, trop d’artistes ne sont pas, ou mal, payés. » Même le député (LRM) du Vaucluse Jean-François Cesarini a abondé dans son sens : « En juillet, toute la ville vit très bien du Festival, sauf les artistes. Il faut changer cela. » Pour la petite histoire, ce parlementaire interprétera, pendant le « off », un seul-en-scène intitulé Demain vite ! Conférence excentrique, de Michel Bellier, au théâtre Cabestan.

Au fonds de soutien en faveur de la professionnalisation, lancé en 2017 pour aider les compagnies (80 projets, soit 201 artistes, ont reçu une aide à hauteur de 1 000 euros par artiste en 2017), s’ajoute, a annoncé Pierre Beffeyte, la création, le 1er juin, de la Fondation AF & C, un nouvel outil de financement qui fera notamment appel à des entreprises ­mécènes. Mais au-delà de l’aspect financier, l’association qui encadre le « off » est à la recherche de nouveaux publics. « Il ne faut pas se plaindre d’avoir plus de spectacles, mais aller chercher plus de public », résume Nikson Pitaqaj, vice-président d’AF & C. L’association rêve d’une billetterie centralisée pour évaluer avec précision la ­fréquentation du Festival. Pour l’heure, le nombre de spectateurs (basé notamment sur les cartes d’abonnement vendues) est estimé à plus de 100 000, et le nombre d’entrées à plus d’un million.

Un public surtout féminin

Une enquête, menée en collaboration avec l’université d’Avignon, sur le profil des spectateurs de l’édition 2017, montre que ces derniers sont fidèles au rendez-vous (55,8 % ont participé à moins de cinq éditions et 18 % à plus de 15), assidus aux spectacles (69 % en voient plus de huit pendant leur séjour), mais plutôt âgés (53,3 % ont plus de 56 ans). Néanmoins, pour 44,6 % des 15-30 ans, l’édition 2017 était leur deuxième participation au Festival.

Le public du « off » est très majoritairement féminin (64,5 % de femmes) et régional : plus de 30 % viennent de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, contre 18,7 % d’Ile-de-France. Quant aux catégories socioprofessionnelles, les ­cadres et professions intermédiaires de la fonction publique, de l’enseignement, de la santé et les professions intellectuelles et artistiques représentent 34,2 % des spectateurs, contre 0,5 % d’ouvriers et 3,6 % d’étudiants.

PIERRE BEFFEYTE, PRÉSIDENT DE L’ASSOCIATION AVIGNON FESTIVAL & COMPAGNIES : « NOUS VOULONS MONTRER QUE L’ON PEUT RÉSIDER EN DEHORS DE LA VILLE ET S’Y RENDRE FACILEMENT »

Pour attirer davantage de public, une « carte interactive », réper­toriant tous les hébergements et moyens de transport dans un rayon de 50 kilomètres autour d’Avignon, a notamment été créée. « Avignon intra-muros étant saturée et hors de prix en juillet, nous voulons montrer que l’on peut résider en dehors de la ville et s’y rendre facilement », explique Pierre Beffeyte.

Côté programmation, les pièces de théâtre arrivent en tête avec 1 016 spectacles, loin devant les spectacles humoristiques (171), musicaux (140), la danse (82), les marionnettes, la magie (52) et le cirque (51). Créé en 2017 à Avignon, Adieu Monsieur Haffmann, la pièce de Jean-Philippe Daguerre récemment multirécompensée aux Molières, reviendra cet été dans la cité des Papes. Le programme complet du « off » sera disponible en ligne lundi 4 juin. Si deux salles ont fermé (le Théâtre du Passage et Le Nouveau Ring), six ouvrent cette année, portant à 133 le nombre de lieux accueillant les compagnies.

Sur le Web : http://www.avignonleoff.com/

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3 juin 2018

Extrait d'un shooting - nu en BW

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3 juin 2018

La Joconde est sortie du Louvre et a pris le bus !

 

She has finally escaped 🖼 📌Musée du Louvre, Paris. Follow @ARTMEMEKING



14k Likes, 96 Comments - StreetArtGlobe ™ (@streetartglobe) on Instagram: "She has finally escaped 🖼 📌Musée du Louvre, Paris. Follow @ARTMEMEKING"

 

3 juin 2018

Défiler ou ne pas défiler ?

Par Carine Bizet - Le Monde

Proposer un show grandiose ou simplement poster des photos léchées sur Instagram ? Telle est la question que se posent aujourd’hui les créateurs.

Kirsten Dunst, très enceinte, dans un manteau café au lait à col cravate ; Kim Gordon, icône du rock underground des années 1990, en robe panthère et bijoux de métal froissé… En janvier, le « défilé » de Rodarte a été remplacé par une série de portraits postés sur Instagram, signés Autumn de Wilde, mettant en scène des artistes proches des créatrices de la marque. Après un show grandiose et fleuri dans un vieux cloître parisien pendant la semaine de la couture à Paris, en juillet 2017, rien ne laissait présager ce détour hors podium. Mais la réalisation d’un long-métrage, Woodshock (2017), a donné d’autres envies à Kate et Laura Mulleavy, les créatrices de Rodarte. « Faire ce film a changé notre perspective, notre compréhension du paysage créatif, cela nous a montré de nouvelles façons d’interagir avec les gens », avouent-elles.

« LES RÉSEAUX SOCIAUX ONT SAUVÉ LE DÉFILÉ, EN APPORTANT LA CAISSE DE RÉSONANCE DES CONSOMMATEURS »

MICHAEL JAÏS, PDG DE LAUNCHMETRICS

Suivant leur instinct, ces Américaines connues pour leur style iconoclaste rejoignent donc les partisans d’une alternative au défilé classique. En septembre 2017, Gareth Pugh, designer anglais renommé au style futuristico-goth, avait échangé les podiums contre un film spectaculaire cosigné par le photographe Nick Knight. La même saison (printemps-été 2018), la marque Vetements optait pour une présentation de grands tirages photo dans un hangar.

Un mouvement en marche porté par des labels d’avant-garde ? Pas si vite. Cette année, ces deux griffes sont de retour sur les podiums. Le défilé resterait-il incontournable ? « Il y a tellement d’acteurs et de nouveautés sur le marché, nous voyons beaucoup de choses, explique Alix Morabito, directrice mode aux Galeries Lafayette. Quand une marque commence à défiler, on entre dans l’histoire qu’elle veut raconter, on voit les produits en mouvement, cela se grave davantage dans l’esprit. Je trouve aussi que cela oblige le designer à affirmer son message, à éditer son propos, c’est une forme de discipline intéressante. »

Le défilé reste aussi un outil de communication redoutable. « Pendant une fashion week, l’impact en termes de communication pour une marque est huit fois plus important qu’en moyenne, c’est énorme ! Cela fait du défilé un élément indispensable », explique Michael Jaïs, PDG de Launchmetrics, plate-forme qui analyse les datas de la mode (mais aussi du luxe en général et de la beauté pour de nombreux clients de l’industrie).

Mais en 2018, le défilé a bien changé, notamment grâce aux réseaux sociaux qui ont engendré des mutations irréversibles. On est loin du temps où, au milieu du siècle dernier, les shows se résumaient à des huis clos professionnels dont les photographes étaient exclus par peur de la copie. Aujourd’hui, avec Instagram et Facebook, tout le monde peut assister aux défilés en direct, grâce aux comptes des marques ou des invités vissés à leur smartphone. Le 3 mai, le dernier défilé croisière Chanel auquel assistaient environ 1 000 personnes, a ainsi été suivi sur Facebook par 500 000 internautes ! « Le défilé n’est plus un événement de l’industrie, c’est un événement global auquel le consommateur est étroitement associé, poursuit Michael Jaïs. C’est pour cela que les marques y reviennent. D’une certaine façon, les réseaux sociaux ont sauvé le défilé, en apportant la caisse de résonance des consommateurs. Aujourd’hui, plusieurs voix comptent : les médias, les influenceurs, les partenaires, la propre voix de la marque qui veut imposer ses valeurs… »

Evolution « démocratique »

Les défilés se sont ainsi transformés en événements à 360° totalement modulables. Le lieu, le budget, les divers à-côté (performance musicale, cocktail de lancement de parfum…), les invités, le décor changent beaucoup, d’une superproduction à la Tommy Hilfiger mettant en scène sa collaboration avec Gigi Hadid, à un show en tout petit comité où les mannequins passent assez près des invités pour qu’ils puissent admirer la pose des pétales sur la robe. Dans ce contexte, ce qui se passe sur le podium lui-même compte moins que son « emballage ».

« Ce qui crée de la désirabilité pour une marque, ce n’est pas tant le défilé que la façon dont elle parvient à créer un momentum un peu plus large, plus émotionnel, une expérience différenciante et marquante pour renforcer son message. A cela s’ajoutent la cohérence de la marque, sa proposition à un instant T qui correspond à ce qu’attendent les clients, le storytelling, la façon dont cela va être repris par les influenceurs, ajoute Alix Morabito. Il y a là un énorme travail de communication, de gestion des réseaux sociaux. »

Cette évolution « démocratique » met finalement l’accent sur la singularité des marques, leur capacité à s’adresser à une audience qui dépasse le cadre des professionnels. C’est aussi comme cela que les Rodarte envisagent l’avenir. « Pour chaque collection, nous avons choisi de nous laisser guider par nos idées pour décider de la façon de les présenter. Il est primordial de créer des expériences uniques, et d’essayer de nouveaux moyens de communiquer notre vision. Cela dit, il y a quelque chose d’incroyablement magique dans un défilé et nous nous réjouissons des futurs moments de création à partager avec Alexandre de Betak [un Français qui compte parmi les ténors de la production d’événements mode], le visionnaire avec lequel nous travaillons. »

Il n’est pas interdit de superposer différentes formes de présentation (film, images, défilé, etc.) à condition d’avoir quelque chose à dire, ce qui pourrait éliminer de la course les marques qui ne défilent que pour s’offrir un statut factice, et entrer artificiellement dans le club de celles qui ont leur nom au générique de la fashion week.

Reste que le rythme des fashion weeks, à une quinzaine de shows par jour, fait souvent passer au second plan les dimensions créatives du défilé ; peut-être est-ce le découpage en saisons et l’accumulation de rendez-vous qui se succèdent (voire se chevauchent) dans les grandes capitales de la mode que sont New York, Londres, Milan et Paris qu’il faut remettre en cause. « Je pense que l’on peut retrouver de la créativité en changeant la structure et le contenu sans changer le principe du défilé, avance Michael Jaïs. Il y a une vraie question de pertinence des produits présentés et des liens avec l’audience [à qui sert un défilé hiver quand la majorité des clients d’une marque se trouve dans un pays sans hiver ?] mais le défilé reste une opportunité unique. »

Le (fashion) show must go on, surtout avec l’arrivée d’outils high-tech comme la réalité virtuelle, qui pourra le faire entrer dans une autre dimension. Grâce à cette technologie, Givenchy avait permis en 2017 à des clients du magasin Isetan Shinjuku, à Tokyo, de visiter virtuellement les ateliers couture de la maison œuvrant à Paris. Une nouvelle révolution à prévoir.

3 juin 2018

Simone Veil : une station de métro et une place...

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SIMONE VEIL A DÉSORMAIS UNE STATION DE MÉTRO À SON NOM

Ça y est, Simone Veil a désormais une place et une station de métro à son nom ! Un hommage avant que cette grande dame n’entre au Panthéon le 1er juillet prochain. Son nom est apposé à la station Europe.

Mardi 29 mai, Anne Hidalgo (maire de Paris), Valérie Pécresse (présidente de la région) et Catherine Guillouard (PDG de la RATP) ont toutes les trois inauguré les nouvelles plaques de la place de l’Europe et de la station de métro éponyme. On peut désormais descendre sur la ligne 3 à la station « Europe – Simone Veil ». Les proches de l’ancienne ministre de la Santé, à qui l’on doit la dépénalisation de l’IVG, étaient présents pour ce touchant hommage.

En tant que première femme à avoir présidé le Parlement européen, Simone Veil est également saluée pour ses actions en faveur de la réconciliation européenne, d’où le choix de la station et de la place auxquels son nom est désormais associé. Presque un an après son décès, cette icône de la lutte pour les droits des femmes fait toujours beaucoup parler d’elle.

3 juin 2018

Toiletpaper

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