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Jours tranquilles à Paris
5 septembre 2014

Royal de Luxe

Pour célébrer 50 ans de relations diplomatiques entre la France et la Chine, la compagnie La machine et son directeur artistique François Delarozière ont fabriqué cette immense créature mécanique mi-cheval, mi-dragon, mesurant 12 mètres de haut, 5 mètres de large et pesant 47 tonnes. Pour le diriger, 17 personnes sont à la manœuvre : 15 dessus et 2 au sol. Nommé Long-Ma, ce cheval-dragon géant a fait ses premiers pas à Nantes, mardi 26 août dernier, pour, ensuite, prendre le large en direction de Pékin, en Chine, où il participera à un grand spectacle prévu du 17 au 19 octobre prochain. Il y affrontera une araignée géante, elle aussi sortie des ateliers de la compagnie La Machine. A terme, François Delarozière révèle que la Chine va en faire l'acquisition.

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4 septembre 2014

Ile de St Cado - Morbihan

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Le mécénat au secours de Saint-Cado

Le vieux pont doit être restauré. La ville de Belz et la Fondation du patrimoine ont lancé une souscription. Total va verser 90 000 €.

« L’opération avance très vite », se réjouit le maire, Bruno Goasmat. À Belz, le vieux pont de Saint-Cado est mal en point : il doit être restauré, de manière« urgente » . Depuis l’an dernier, la commune et la Fondation du patrimoine se démènent pour trouver les fonds nécessaires. Hier, elles ont annoncé que la Fondation Total avait retenu leur dossier et décidé de verser une contribution de 90 000 €. Une« excellente nouvelle », pointe Dominique Le Brigand, délégué départemental de la Fondation du patrimoine. Sur les 528 000 € nécessaires au chantier,« on vise les 200 000 € pour la ligne méc énat, détaille le maire.Nous en sommes déjà à 120 000 €. » À Belz et dans le pays d’Auray, des entreprises locales sont déjà investies dans ce sauvetage : Crédit agricole, conserverie La Belle-Iloise, pâtisserie artisanale Kerjeanne, Super U, Mr Bricolage, les éditions Millefeuille. Deux associations sont également à pied d’œuvre : Tud Sant Kado et Les amis de Saint-Cado. Et« une centaine de particuliers » ont fait un don. Partenaire de la Fondation du patrimoine depuis dix ans, Total« a été séduit par ce pack », cette mobilisation sur place, observe Dominique Le Brigand. Chaque année, l’entreprise« reçoit une centaine de dossiers, pour une petite dizaine d’élus ». La convention formalisant la contribution doit être signée« d’ici la fin de l’année », indique Bruno Goasmat. La commune est aussi en phase de« consolidation » des aides publiques (État, Région, Département) en faveur du projet. In fine, les appels d’offre pour le chantier devraient être lancés en fin d’année. Ils comprendront une clause d’insertion. Le début des travaux pourrait intervenir dès 2015. Un délai presque« inespéré ». Article de Virginie JAMIN.

Rens. : www.fondation-patrimoine. org

4 septembre 2014

Le Palais Dobrée à Nantes

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Le musée départemental Thomas-Dobrée, couramment appelé musée Dobrée est un musée situé dans le centre-ville de Nantes, en France, dans le quartier Graslin, à proximité du Muséum d'histoire naturelle et du cours Cambronne, non loin de la médiathèque Jacques-Demy.

Voulu par l'armateur et mécène nantais Thomas Dobrée (1810-1895), il appartient au conseil général de la Loire-Atlantique. Il est riche d'une collection archéologique, d'abord installée dans le manoir de la Touche datant du XVe siècle puis dans le bâtiment Voltaire entre 1974 et 2010, et des collections léguées par Thomas Dobrée, présentées dans le palais à l'architecture originale, édifié au XIXe siècle.

Fermé depuis le 3 janvier 2011, afin d'effectuer de vastes travaux de restructuration et d'agrandissement, il aurait dû rouvrir ses portes en 2015, mais le Tribunal administratif, le 16 juillet 2012, a donné raison au recours présenté par une association hostile au projet, et annulé le permis de construire accordé par Nantes Métropole en août 2011. Cette décision a été confirmée par la cour administrative d'appel de Nantes, le 14 février 2014. Source Wikipedia.

Cliquez ICI

1 septembre 2014

Sandra Dosse, Miss Ronde Bretagne 2014

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La Bretagne a une nouvelle Miss Ronde. Sandra Dosse, une Malouine, a été couronnée samedi soir à Saint-Jouan-des-Guérets, près de Saint-Malo. La jeune femme de 26 ans assume ses formes et elle l’a prouvé ce week-end.« J ’ai toujours rêvé de participer à un concours de beauté. Miss Ronde est le seul qui m ’accepte comme je suis » ,explique la gagnante. Le critère du concours est de peser 6 kg de plus que sa taille. C’est-à-dire qu’une candidate qui mesure 1,60 m doit peser au moins 66 kg. La jeune maman de deux enfants, prothésiste ongulaire à Saint-Malo, participera à l’élection de Miss Ronde France 2015.

1 septembre 2014

Erdeven : Le pardon des Sept-Saints perpétue la tradition

Le pardon des Sept-Saints a réuni ses fidèles dimanche, recueillis dans la chapelle, jusqu’à l’extérieur. Accompagné du père chanoine Roger Falher, le vicaire général a mené la procession jusqu’à la fontaine. Les paroissiens y ont entonné le traditionnel chant breton Kannen er saih sant, dédié aux patrons de Bretagne et aux sept saints fondateurs de la basse Bretagne. Après la bénédiction de l’eau de la fontaine et des jeunes enfants, certains ont cédé à la tradition en jetant une pièce au fond de la fontaine :« Après avoir jeté la pièce, il faut prier pour obtenir des grâces et que nos vœux se réalisent » , indiquait Armelle, une fidèle paroissienne venue avec sa petite-fille.« Autrefois, on attribuait à l’eau de la fontaine des propriétés de guérison pour les problèmes de peau et les maladies de la tête » , a ajouté Anne-Marie Le Port, présidente de l’association pour la restauration de la chapelle. Un apéritif avec vente de gâteaux et un repas ont conclu le pardon. Les bénéfices des ventes seront utilisés pour l’entretien de la chapelle.

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31 août 2014

Les sites mégalithiques du Morbihan à la conquête de l'Unesco

30 août 2014

AURAY : Le sculpteur Alain Dréan reste fidèle à son chalet

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Les personnages en bois d’Alain Dréan vont bientôt quitter leur cabane, située devant l’office de tourisme. L’artiste baissera le rideau pour la vingt-septième année. Avant de revenir l’été prochain.

Reportage

Alain Dréan sculpte le bois depuis plus de quarante-sept ans. Tous les étés, depuis vingt-sept ans, il quitte son atelier de l’avenue du Généralde-Gaulle pour venir s’installer dans son petit chalet, à l’entrée de l’office de tourisme, rue du Lait.« Je suis bien ici. La cabane reste en place et je peux facilement y revenir. L’été, mais aussi parfois pendant les fêtes de fin d’année » , confie l’artiste. Le sexagénaire tient sa passion de son père, déjà sculpteur sur bois. Entre ses mains, rondins de tous bois se personnifient. L’artiste exécute aussi bien des personnages religieux,« chers à la Bretagne », que des musiciens ou des chouans.« En polychromie, surtout pour l’art religieux, mais parfois unis » , indique Alain Dréan, au milieu de ses compagnons immobiles.

Pour les chapelles

Il en conçoit aussi de toutes les tailles.« J’ai même réalisé des statues de Cadoudal grandeur nature. Mais elles sont enfermées à la prison de la rue du Jeu-de-Paume. C’est dommage ! » Le sculpteur est aussi parfois sollicité par des associations qui rénovent des chapelles.« J’ai réalisé trois statues, dont une de 1,20 m pour la chapelle de Gornévec à Plumergat, qui avait été brûlée et pillée pendant la guerre. » Il a également restauré les poutres de la chapelle Saint-Méen de Plœmel :« Ce sont des poutres de 7 m de long. Un gros travail » , poursuit l’artiste. Alain Dréan déplore que les jeunes n’aient pas la patience de se former au métier :« Ça ne s’apprend pas tout de suite. Il faut sept ans pour bien pratiquer. Et encore, avec un bon professeur ! » Et tout autant de persévérance pour réaliser un sonneur de bombarde ou une effigie de sainte Anne.« Une petite statue demande environ huit jours de travail. Pour une grande, il faut compter un petit mois. »

L’art n’est plus une priorité

Le sculpteur regrette aussi la désaffection du public pour ses œuvres d’art, même s’il la comprend :« Ce n’est plus une priorité, les gens achètent d’abord l’essentiel. Dans les années 85, je vendais très bien. Maintenant c’est plus difficile. » Et ce malgré son emplacement à l’entrée de l’office de tourisme ?« J’étais là bien avant eux ! » s’amuse le sculpteur. L’échoppe fermera fin août« ou plus tard, je verrai en fonction du temps » , indique Alain Dréan. Ses réalisations resteront visibles dans son atelier toute l’année. Article de Anne TEXIER.

Contact : Alain Dréan, sculpteur sur bois, 172, avenue du Général-deGaulle, tél. 02 97 24 21 31. Le chalet est ouvert jusqu’à fin août (ou au-delà), de 9 h à 12 h et de 13 h à 17 h 30, à l’entrée de l’office de tourisme.

30 août 2014

Carnac

Carnac était à l'honneur, hier, dans deux reportages, dans les JT de 13h et 20h de France 2.

Vous pouvez les revoir ci-dessous :

http://www.francetvinfo.fr/carnac-derniers-moments-de-detente-pour-les-vacanciers_680631.html

30 août 2014

ERDEVEN : Vingt ans que la chapelle des Sept-Saints a retrouvé son pardon

L’association pour la rénovation de la chapelle des Sept-Saints fête ses vingt ans, cette année. Les bénévoles, réunis mardi pour préparer le pardon de dimanche, retracent le chemin parcouru :« Quand on a créé l’association, en 1994, la chapelle fissurait et s’écroulait petit à petit. On n’avait même plus le droit d’y entrer. De gros travaux ont été réalisés, et l’évêque a béni la chapelle en 1999 » , déclare Elisabeth Kerzerho, présidente à l’origine de l’association. L’aventure a mobilisé jusqu’à une centaine de bénévoles et requis plus de 4 000 heures de travail :« Les habitants des Sept-Saints, mais aussi des villages alentours et du bourg, ont participé. Pour financer les travaux, on a repris le pardon qui ne se faisait plus, avec un repas, une kermesse, des groupes de musiciens et de danseurs » , poursuit Elisabeth Kerzerho.

Plus de 6 000 fidèles

Autrefois, le pardon avait fait les beaux jours de la chapelle :« Après la construction de la chapelle et la bénédiction du 30 avril 1899, le pardon, qui se célébrait déjà le dernier dimanche d’août, était connu des environs. Il rassemblait jusqu’à 6 000 fidèles » , rappelle Anne-Marie Le Port, présidente. Si les bénévoles ont mis du cœur à l’ouvrage, l’association a su s’entourer. Elle a fait appel à un architecte de Breizh Santel et aux compagnons de France pour la charpente, la toiture, et quelques tailles de pierre.« Les murs et le clocher ont été remontés, pierre par pierre, la charpente et la toiture posées, les vitraux créés, les murs intérieurs enduits, énumère Anne-Marie. L’aménagement intérieur est arrivé à son terme à force de constance des bénévoles. Les sept statues des saints ont été restaurées ainsi que le groupe processionnel des petites statues dit le nuage des saints, et les deux anges. » Les sept saints sont les sept évêchés bretons fondateurs de la basse Bretagne : saint Patern, saint Korentin, saint Pol, saint Tugdual, saint Brieuc, saint Malo et saint Samson. Désormais, les bénévoles veillent sur la chapelle en l’entretenant et en la faisant vivre. Récemment, ils ont lasuré les portes. Ils font trois gros nettoyages par an, dedans, dehors, et à la fontaine qui se trouve à quelques centaines de mètres, au cœur d’un bosquet.« En plus du pardon, il y a deux messes au printemps et à l’automne, deux concerts dans le cadre du festival des chapelles, et la crèche de Noël avec le goûter du quartier » , indique Anne-Marie.

Dimanche 31 août, Pardon des Sept-Saints. Messe dans la chapelle à 11 h, présidée par le vicaire épiscopal Gildas Kerhuel. Procession à la fontaine et bénédiction des enfants. Apéritif avec les habitants du quartier.

30 août 2014

La Bretagne = Meilleur ensoleillement en juillet...

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