Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
28 juin 2015

CARNAC : Skedanoz, show de l’été dans les menhirs

skedanoz-show-de-lete-dans-les-menhirs

Les premiers essais de projections dans les alignements de Carnac sont concluants. Le spectacle s’annonce prometteur.

L’initiative

La lumière du jour s’estompe peu à peu. Laissant place au crépuscule. Les mégalithes des alignements du Ménec à Carnac plongent dans la torpeur nocturne d’une nuit d’été… Pas pour longtemps. Un, puis deux, puis six et bientôt une quarantaine de monolithes du néolithique, plantés-là il y a quelque 7 000 ans, se réveillent d’un coup sous les feux des projecteurs à led qui les arrosent copieusement d’images animées. C’est l’effet Skedanoz. « Nuit scintillante » en breton. Et le projet imaginé par Paysages de mégalithes, association qui œuvre à la reconnaissance par l’Unesco des mégalithes du sud-Bretagne. De bons vieux colosses de granite, protégés au titre des monuments historiques depuis le XIXe siècle, mais toujours pas reconnu à l’échelon mondial.

Lumière d’un autre âge…

Le show conçu par Paysages de mégalithes, associée à l’école d’architecture de Nantes, soutenu par la Ville de Carnac, le centre des monuments nationaux (CMN) et le Musée de la préhistoire de Carnac, ne prend pas pied dans la lande carnacoise par hasard.« Il s’agit aujourd’hui, par le biais de cette opération originale, de faire la lumière sur un patrimoine exceptionnel, unique, explique Jean-Baptiste Goulard, délégué général de Paysages de mégalithes.Nous voulons attirer le grand public afin qu’il s’imprègne de cette histoire ». Les premiers essais, menés dans la nuit de mercredi par les étudiants nantais, sont vraiment concluants. Les pierres de la préhistoire aimant visiblement capter la lumière d’un autre âge : celle des vidéoprojecteurs pilotés par ordinateur. Un raccourci spatio-temporel surprenant pour un spectacle son et lumière appelé à être joué les jeudis et vendredis de juillet à partir de 22 h 30. Article de Pierre WADOUX.

Publicité
27 juin 2015

Le célèbre "Bar Breton" à Etel

DSC_3687

DSC_3688

27 juin 2015

Les coulisses de la rénovation de la chapelle de Penboc’h

01

 Depuis plusieurs semaines, la chapelle Saint-Joseph du centre spirituel de Penboc’h est en rénovation. Un travail de titan pour les ouvriers.

Bâtie sur du sable, la chapelle allait s’effondrer

Un vaste chantier de rénovation de la chapelle de Penboc’h à Arradon a été lancé. Coût total des travaux : 1,3 million d’euros. Les jésuites lancent un appel aux dons pour financer sa restauration.

L’initiative

150 ans après sa bénédiction, la chapelle Saint-Joseph, située face au Golfe à Arradon, était en péril. En novembre dernier, l’architecte Johann Touchard, spécialisé dans la restauration de monuments historiques, a tiré la sonnette d’alarme : bâtie en partie sur un sol meuble, la tour clocher se désolidarise du reste de l’édifice et la voûte, en sapin, est rongée par des vrillettes, des parasites qui mangent le bois. Il est grand temps de faire quelque chose.« Des travaux ont été entrepris rapidement. Nous avons effectivement vérifié qu’une maison ne tenait pas si elle était bâtie sur du sable. Les ouvriers ont donc d’abord consolidé les fondations de l’édifice », explique Claude Philippe, jésuite et chef du projet de restauration. La chapelle, véritable témoin de l’histoire du centre spirituel de Penboc’h, a été construite en 1862, juste après que les Pères jésuites aient ouvert un collège à Vannes en 1850. Ils avaient alors acquis un morceau de lande à Penboc’h en 1854 pour y établir la maison de campagne du collège. Plans du monument en mains, architecte, ouvriers et membres du centre spirituel ont, contre vents et marées, prié pour que pendant les travaux,« il n’y ait pas de tremblement de terre. Car avec le temps, la chapelle s’est affaissée. On a presque perdu un mètre de hauteur. Il faut dire qu’aujourd’hui, le travail effectué pour la consolidation de la tour clocher est assez incroyable » , ajoute le le père jésuite. À l’intérieur, tout a été refait du sol au plafond. Les pierres apparentes ont disparu derrière un enduit à la chaux, la voûte a été entièrement remplacée et redessinée

Des dons de 20 € à 50 000 €

Du côté des finances, il n’y a pas de recette miracle. Pour permettre la sauvegarde de cet édifice et son utilisation toute l’année, comme lieu de célébrations, concerts ou conférences, il faut de l’argent. Avec 1,3 million d’euros de travaux, le centre de Penboc’h a lancé un appel aux dons via la Fondation du patrimoine. «En ces temps de crise, nous constatons que des gens sont attachés à cette chapelle. En moins d’un mois et demie, nous avons eu près de 250 donateurs pour des dons de 20 € à 50 000 € », détaille Jean-Brice Bigourdan, responsable du centre spirituel de Pen Boc’h La fin de la première tranche se termine, son inauguration aura lieu le 5 juillet. En automne, une nouvelle tranche commencera, puis une troisième au printemps, avant que cette chapelle, qui a fait face aux éléments, vive une seconde jeunesse. Article de Maël FABRE.

Pour faire un don : www.bretagne. fondation-patrimoine.org

26 juin 2015

Je pars en Bretagne pour le week-end

SANY0537web

25 juin 2015

La LGV n’attend plus que le ballast et les rails

Sur le chantier de la ligne à grande vitesse, à l’approche de Rennes, les travaux de génie civil sont terminés et les poteaux des caténaires sont installés. La plateforme est prête à accueillir les voies.

À quelques kilomètres de la gare de Rennes, la visite du chantier de la ligne à grande vitesse (LGV) laisse une impression étrange. Celle de circuler, seul, sur une autoroute fantôme et silencieuse. Le chantier semble figé. Pas un ouvrier, pas un camion… La large piste caillouteuse, minutieusement nivelée pour respecter les pentes et les rayons de courbure de la ligne, s’étire à travers la campagne d’Ille-et-Vilaine.

Le grand calme avant le trafic

De part et d’autre de la plateforme ferroviaire, les poteaux métalliques prévus pour accueillir les caténaires – ces câbles électriques qui alimenteront les motrices des futurs TGV – sont solidement ancrés dans le béton. Ils ressemblent à des potences, alignées et, pour le moment, inutiles. Aujourd’hui, quand on avance à pied, on n’entend que les oiseaux, et au loin, le bruit de la circulation sur la rocade de Rennes. Non loin du tracé, des vaches Prim’Holstein broutent dans un pré. Le calme avant le gros trafic… Dans deux ans, les trains rouleront ici, à plus de 300 km/h. Au niveau de Cesson-Sévigné, la ligne emprunte la plus longue tranchée couverte de son parcours entre Connerré, à l’est du Mans, et Rennes. Un tunnel de 350 m de long qui a été recouvert de terre et revégétalisé. Un peu plus loin, la future LGV passe sous la rocade, avant de filer vers l’est. Au plus fort des travaux, en 2013, le chantier, confié à Eiffage Rail Express, employait jusqu’à 4 200 personnes sur l’ensemble du tracé de 240 km. Aujourd’hui, le génie civil, les 225 ouvrages d’art et les équipements ferroviaires hors voie sont terminés. Mais ils sont encore 2 800 à travailler. Car, à l’autre bout de la ligne, dans la Sarthe, les travaux de pose du ballast et des rails ont déjà commencé. À raison de 1 500 m par jour, le chantier avance lentement mais sûrement.« Un tiers des voies sont déjà installées » précise Frédérique Alary, la chargée de communication d’Eiffage Rail Express. Le « train de pose » d’Eiffage Rail Express, long de 650 m, chargé d’installer définitivement les deux voies ferrées, entrera en service en septembre, à partir de Rennes. Pour l’alimenter en continu, des dizaines de milliers de tonnes de ballast, dont une partie provient d’une carrière à Iffendic (à l’ouest de l’Ille-et-Vilaine), et des milliers de traverses en béton, sont stockées depuis 2012 dans des bases de travaux. La principale de ces bases occupe 26 ha à Saint-Berthevin, près de Laval. La pose des rails demandera encore neuf mois. Restera à installer les catenaires, à finaliser la signalisation et les installations pour les télécoms. Avant l’exploitation commerciale, les premiers essais sur la LGV flambant neuve auront lieu fin 2016.

Publicité
24 juin 2015

BRETAGNE : Ploumanac’h élu Village préféré des Français

Ce matin, Ploumanac’h se réveille Village préféré des Français .« Parce que ce n’était pas déjà le cas ? » fanfaronnent des habitants. Voilà donc ce coin de paradis costarmoricain lauréat de l’émission de France2 présentée par Stéphane Bern. La France a découvert le palmarès hier soir sur son petit écran. La victoire ne faisait plus de doute à Ploumanac’h depuis samedi, quand l’animateur et spécialiste des têtes couronnées est venu tourner dans sa veste bleu roi les ultimes images de l’émission.

Mobilisation massive

Pour cette apothéose, la population avait convoqué samedi soir ce soleil couchant qui a le don d’embraser les célèbres rochers de granit rose. Aïe. Caméras et drones de France 2 n’eurent droit qu’à une épaisse brume de mer… Pas de quoi ternir la victoire : elle gonfle de fierté les habitants qui se sont mobilisés massivement en faveur de leur « village ». Le terme a d’ailleurs fait glousser les locaux, au début : l’émission a pris des libertés avec l’organisation administrative de cette commune, rattachée depuis belle lurette à Perros-Guirec (7 800 habitants). Oui mais voilà, parmi les critères de sélection au Village préféré des Français , celui-ci : la commune doit compter moins de 2 000 habitants. Un petit « arrangement » dont les Perrosiens se sont volontiers accommodés. C’était pour la bonne cause… Au-delà de « Ploum’» comme on dit ici, c’est la première victoire de la Bretagne dans cette émission (4 édition) qui repose sur« une bonne dose de chauvinisme » comme le décrypte son producteur exécutif, Gilles Daniel. Sûr qu’à ce petit jeu-là, les Bretons savent y faire.« Mais la participation des habitants de régions à forte identité culturelle, comme l’Alsace ou Midi-Pyrénées se révèle traditionnellement forte » , pointe Stéphane Bern. Sans être forcément foudroyantes, les retombées touristiques s’annoncent engageantes pour la commune et son Sentier des Douaniers, fréquenté par plus de 600 000 promeneurs chaque année. Cet été, le joyau de la Côte de Granit rose va briller d’un éclat particulier. Article de Céline MARTIN.

23 juin 2015

Le moulin du Narbon - Erdeven

23 juin 2015

La Vallée des Saints : un investissement d’avenir

Ses pères ne s’en cachent pas. Ils le revendiquent même. La Vallée des Saints était« un projet fou ! » Il l’est de moins en moins. Dans la cour de l’ancienne ferme de Quénéquillec, à Carnoët (Côtesd’Armor), le concert des burins attaquant le granit a repris. Le 5 juillet, sept nouvelles sculptures monumentales seront achevées. Chez les sculpteurs, la trêve estivale sera courte. Le rythme des commandes impose en effet, non plus un, mais deux chantiers par an. Dès le 31 août, les tailleurs de pierre reprendront leurs massettes pour attaquer des blocs de granit pesant quelque vingt tonnes chacun et y modeler les figures de cinq saints ou saintes : Konan, Rioc, Tunvez, Meen et Caradec. Ces treize statues du millésime 2015 rejoindront les 50 déjà en place, portant les effectifs de la sainte troupe à 63. Et la litanie n’a pas fini de s’allonger. Sur les 46 projets en cours de financement, deux sont déjà signés pour 2016. Sébastien Minguy, cofondateur du projet au côté de Philippe Abjean, lance le défi :« Cent statues en juillet 2018 pour le dixième anniversaire de l’association Vallée des Saints ! »

Des saints bienfaiteurs

Au rythme actuel d’une douzaine d’installations par an, cet objectif est jugé d’autant plus« raisonnable » que l’intérêt suscité par les « mégalithes du futur » va croissant. Tant auprès des visiteurs du site que des mécènes. En cinq ans, la vallée a déjà vu passer 300 000 visiteurs, dont 102 000 en 2014.« Sur le premier semestre, nous enregistrons une progression de 25 % de la fréquentation » , note Sébastien Minguy. Depuis sa création, l’association a collecté 803 000 € de dons auprès de 2 067 mécènes. Des poids lourds de l’économie bretonne rejoignent le cercle, de plus en plus large, des particuliers et entreprises impliquées. Après le distributeur Système U, Armor-Lux ou encore l’industriel Alain Glon, c’est Louis Le Duff, (Brioche Dorée) qui va offrir à Carnoët son premier « couple » : le guerrier saint Konan et sainte Azenor, fille du roi de Brest au VIe siècle. L’association se targue de conduire le projet culturel« le plus low-cost de France » en termes de… sollicitation du contribuable. Lascaux, 270 000 visiteurs par an, verra s’ouvrir bientôt un Centre d’art pariétal dont le coût avoisinera les 50 millions d’euros. Le fac-similé de la grotte Chauvet a coûté 55 millions d’euros et table sur 300 000 visiteurs. Le tout nouveau musée d’histoire naturelle de Lyon (Confluences) a englouti 330 millions d’euros pour 500 000 entrées annuelles espérées. Face à ces trois réalisations, presque intégralement financées sur fonds publics, le modèle économique de la Vallée des Saints est d’une tout autre nature… Phlippe Abjean et Sébastien Minguy ont fait leurs calculs. Si le projet va à son terme, dans quelques décennies, il aura coûté 15 millions d’euros (1 000 statues à 15 000 € l’unité). Entièrement financé par du mécénat, sans autre appel au contribuable que la défiscalisation dont peuvent bénéficier les donateurs. Les coûts de fonctionnement et d’entretien d’un espace muséographique sont généralement lourds… « Ici, rappelle Sébastien Minguy,l’essentiel du coût réside dans une tonte régulière de l’herbe sur le site… » Article de Jean-Laurent BRAS. 

19 juin 2015

Erdeven : La fronde s’amplifie contre l’extension de la centrale à béton

Une partie des riverains de l’entreprise Le Doré-Tanguy ne désarment pas face à l’avancée des travaux de rénovation de l’usine, débutés il y a quelques semaines. Et ils comptent s’associer au collectif Erdeven pour faire part de leur mécontentement lors de la manifestation prévue le 29 juin :« Le plan local d’urbanisme prévoit de reclasser des terrains derrière Intermarché en zone industrielle. Des terrains encore plus proches des lotissements » , assure Marcel Guillas. Un argument de plus dans leur lutte contre l’existence même d’une zone industrielle dans un quartier résidentiel. Après le rejet par le maire du recours gracieux qui demandait le retrait du permis de construire, les riverains se sont tournés vers le tribunal administratif pour un recours d’annulation du permis.« C’est inadmissible qu’une usine pareille se trouve en agglomération. Notre argument majeur contre ce permis, c’est qu’il a été détourné pour construire une nouvelle centrale, plus grande. Ce n’est pas simplement une rénovation. On a voulu minimiser et dissimuler l’importance des travaux » , martèle Marcel Guillas.

Des nuisances et pollutions diverses

D’après ces riverains, les craintes sont fondées :« Il y aura 4 silos au lieu de 2, de 19 m de haut, c’est-àdire l’équivalent d’un immeuble de six étages, des hangars, des zones de stockage. Une vraie pollution visuelle à l’entrée du bourg pour une commune qui se veut touristique. Avec de nouvelles machines plus importantes, les vibrations seront encore plus insupportables. Le bruit et la poussière seront amplifiés. La preuve, l’actuel mélangeur d’1 m3 passera à 1,5 m3 , c’est-à dire plus de volume pour remplir les toupies des camions » , indique Charles Morvan. Des camions qui circulent du matin au soir pour des livraisons, de l’entretien et des chargements.« La pollution de l’eau sera aussi amplifiée. La police de l’eau avait relevé des anomalies. Cette eau va dans les fossés puis se retrouve directement dans la rivière d’Etel. Les sols et les nappes phréatiques sont touchés » , ajoute Marcel. Pour ces riverains, les nuisances ont déjà dépassé la limite du supportable :« Quand on nous dit qu’on va diminuer les nuisances, ce n’est pas crédible. L’agrandissement de l’usine va forcément de pair avec une augmentation de la production, et donc une augmentation de l’ensemble des nuisances » . Dans leur recours, les riverains demandent une mesure d’expertise dans le cadre de l’instruction, visant les diverses nuisances et pollutions. Pour le moment, face à cette polémique, le maire et la direction de l’entreprise Le Doré n’ont pas souhaité s’exprimer. Source : Ouest France

18 juin 2015

VANNES : Une grande librairie à ciel ouvert avec 180 auteurs (du 19 au 21 juin)

Le Salon du livre en Bretagne à Vannes, du 19 au 21 juin, offre sur un plateau toute la littérature : polar, roman, BD, document historique, livre jeunesse, manga, littérature bretonne… 20 000 visiteurs sont attendus.

Huit

Et de huit. La grande caravane littéraire du Salon du livre en Bretagne s’installe du vendredi 19 au dimanche 21 juin, dans les jardins des remparts de Vannes. Avec 180 auteurs : polar, roman, BD, document historique, livre jeunesse, biographie, manga, littérature bretonne… Dès vendredi, des auteurs seront présents comme Jean-Pierre Dutilleux, ethnologue dont l’exposition sur les peuples premiers à Vannes avait fait un carton.

Des habitués

Le directeur artistique, Pierre Défendini, a invité des auteurs qui n’ont pas forcément d’actualité littéraire mais qui sont« des piliers » , tel Yann Quéfellec. Au chapitre littérature générale, vingt écrivains sur les soixante-huit programmés reviennent à Vannes dont Alexandre Jardin, Daniel Picouly, Nelson Montfort, Vladimir Fédorovski, Serge Joncour, Jacques Thorel…

Des poids lourds

Jean Teulé qui a écrit« un très récit bouillonnant » ,Héloïse, ouille ;Serge Joncour avec L’écrivain national ; Romain Sardou, auteur de La main rouge ; Richard Bohringer qui signe Les nouveaux contes de la cité perdue.

Des prix

Trois auteurs auréolés d’un prix Goncourt seront présents : Yann Queféllec, Jean Rouaud et Didier van Cauwelaert ; un Renaudot : Gilles MartinChauffier. Deux prix Interallié : Nelly Alard et Patrick Poivre d’Arvor ; trois prix Bretagne dont Cédric Morgan ; un prix des Deux Magots : Serge Joncour, et un prix des Hussards : Sylvain Tesson, l’aventurier, qui publie Berezina.

Des people

Jean-Pierre Coffe avec un livre autobiographique ; Jean-Pierre Mocky auteur de Je vais encore me faire des amis ; Raymond Domenech qui a déjà vendu 100 000 exemplaires de Mon dico passionné du foot.

Côté Bretagne

Quarante-six auteurs sont à rencontrer dont les trois quarts viennent pour la première fois. Certains sont des habitués : Jean Failler, Loïck Le Floch Prigent, Gérard Lomenec’h… A noter la venue de Daniel Cario qui a reçu le prix Produit en Bretagne ; Hervé Bellec ; Joël Cornette ; Sylvie Le Bihan ; Annie Coz, prix du roman en langue bretonne, Yves Lebahy avec un livre sur l’aménagement du littoral breton.

Bulles et mangas

Une cinquantaine d’auteurs de livres jeunesse, de BD et de mangas sont présents, dont beaucoup de nouvelles têtes. Il y a des ténors du genre : Stéphane Heurteau, Chaunu, Nathalie Tual, Jean-Marc Derouen, Marie Diaz, Christophe Boncens, Silène…« Une vraie star est également là » : l’auteur de BD Richard D. Nolane avec Vidocq . Et aussi Jacques de Loustal ou Christian Cailleaux qui réalisaient les illustrations des livres de Bernard Giraudeau.

van,nes salon livre

Publicité
Publicité