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Jours tranquilles à Paris
31 mai 2019

Fuck !

shoot748

fuck

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31 mai 2019

Chaud, très chaud ce week-end...

chaud

respire

31 mai 2019

Villa Cavrois

cavrois

La façade de la villa Cavrois, à Croix, près de Lille. | JEAN-LUC PAILLE / CMN

Il faut prendre le tramway à Lille pour arriver à Croix. Depuis juin 2015, date de la réouverture du lieu, cette petite commune de la banlieue de la capitale des Flandres a déjà attiré 430 000 personnes venues pour visiter la villa Cavrois, chef-d’œuvre Art déco enfin restauré. En 1928, Paul Cavrois, industriel roubaisien du textile, commande à Robert Mallet-Stevens, architecte parisien d’origine belge, la construction d’une maison pouvant abriter une famille de sept enfants et son personnel de maison. Vendus à un promoteur par la famille en 1986, la villa et son parc sont peu à peu abandonnés et livrés aux squatteurs. L’Etat rachète finalement la propriété et la restaure à grands frais (23 millions d’euros).

Depuis, la villa ne cesse de s’enrichir grâce à des acquisitions qui permettent de la remeubler comme elle l’était à l’origine. La dernière date du mois de décembre 2018 : elle a permis de retrouver leur emplacement à neuf chaises de la salle à manger, une enfilade de la chambre des parents, une paire de fauteuils du hall-salon, un tabouret de la salle de bain, une chaise de bureau et une lampe.

Renseignements : Villa-cavrois.fr

31 mai 2019

Comment faire l’amour sans pénétration

amour22

Il y a mille façons de donner du plaisir. Oubliez un temps le simple coït et partez à l’aventure sur le corps de votre moitié – ça vaut le détour !

Et si on faisait l’amour autrement ? Et si on arrêtait de faire de la pénétration un graal, un but à atteindre et l’épicentre de nos sexualités ? Ce serait sûrement pas mal pour beaucoup de femmes, puisque, selon le rapport Hite, l’étude de référence sur la sexualité parue en 1976, seules 30 % d’entre elles ont un orgasme par pénétration vaginale exclusive. Les hommes y gagneraient aussi, sans nul doute : manger le même plat à chaque repas, aussi délicieux fût-il, finit par lasser. Et puis faire plaisir... ça fait plaisir ! Proposition de diversification sexuelle en 7 points.

1. La conversation des corps

Dans son fabuleux manifeste Au-delà de la pénétration (éditions Monstrograph), l’écrivain essayiste Martin Page écrit : « À force de pénétrer, à force de ne penser qu’à ça, on oublie tout le reste, on ne voit pas l’étendue du corps. Pénétrer, c’est passer à côté et fuir. C’est penser qu’on fait l’amour alors qu’on s’en débarrasse. » Au téléphone, il nous précise qu’il n’a pas l’idée d’éradiquer la pénétration : « Il y a des femmes qui adorent ça et j’ai par exemple une amie qui déteste le cunnilingus… » Sa théorie ? « Faire l’amour devrait être la rencontre des corps et leur conversation. » Êtes-vous sûr de savoir ce que le corps de votre partenaire dit vraiment ? Ce qu’il aime entendre ? Même au bout de dix ans, vous pourriez être surpris...

2. Un vaste monde à explorer

« N’oublie pas les orteils », dit Monica à ­Chandler dans un épisode de Friends. Elle vient alors tout juste de lui donner un cours (théorique) sur les zones érogènes, en lui faisant remarquer que les hommes ne se consacrent souvent qu’au vagin. Chandler s’étonne alors : « Et c’est pas bien ? » Rachel réagit : « À Disneyland, tu ne passes pas ta journée sur la montagne magique... » Partez donc en randonnée loin de la montagne magique ! Pensez au cou, au nombril, aux oreilles. Essayez des trucs. Sucez des doigts, massez un genou, un anus, un mollet... C’est l’intention qui fait d’un geste un acte sexuel, pas le contraire. Marine, une jeune femme de 27 ans, se souvient ainsi d’un émoi sexuel fort avec l’un de ses amants : « Il y avait ce truc qui m’excitait vachement quand il commençait à lécher mes doigts… »

3. Free the Nipples

On oublie trop souvent les tétons. C’est d’autant plus regrettable que certaines femmes atteignent l’orgasme par leur simple stimulation, « qui active les mêmes régions du ­cerveau que le clitoris et le vagin », apprenait-on ainsi dans une étude publiée par The Journal of Sexual Medicine, en 2011. Comment s’y prendre ? En les suçant, les pinçant, les mordillant, les effleurant du bout des doigts... ­Pensez aussi aux vôtres !

4. Des caresses plus subtiles

Créatrice de l’excellent compte Instagram ­Jouissance club, Jüne, qui donne des conseils aux ­curieux du sexe, raconte au téléphone « le meilleur amant » qu’elle a connu : « Il ne se servait quasiment jamais de son sexe. Toujours de ses mains. » Encore faut-il observer les ­réactions de sa partenaire. Il n’existe à notre connaissance pas d’étude sur le nombre de filles se plaignant de doigts enfoncés dans leur vagin par un mouvement mécanique et très régulier mais absolument inefficace. C’est triste car on pourrait peut-être plus facilement passer à autre chose. À des caresses plus subtiles, par exemple ? En ce moment, Jüne lit Le Traité des caresses de ­Gérard Leleu, qu’elle recommande. On peut caresser le côté des seins (particulièrement sensibles), masser le bas-ventre, les zones situées tout autour du sexe... Elle précise : « Appuyer fort sur un endroit, ça ne marche pas forcément. Parfois, il est plus efficace d’effleurer la peau… »

5. Une langue vivante

Traditionnellement, on range la fellation et le cunnilingus dans les « préliminaires ». Comprendre « l’entrée avant le plat principal » : la sainte pénétration. Si on arrête de donner à cette dernière une aura démesurée, alors, peut-être qu’on se léchera différemment ? En prenant notre temps ? En laissant courir la langue sur des zones du corps désiré qu’on n’avait pas imaginé lécher ? Parce que, scoop, votre copine pourrait bien atteindre le septième ciel « juste » comme ça. Si si !

6. Dans la peau d’un autre

Imaginez-vous en train de vous masturber l’un l’autre les yeux fermés et de vous raconter des histoires dont vous seriez les héros. La pénétration n’aura jamais été si lointaine et accessoire. Parce que quand on s’imagine pirate, elfe des bois, plombière ou diplomate en voyage, tout est subitement possible. Martin Page dit d’ailleurs : « Quand on abandonne la pénétration, c’est une contrainte. Mais de cet abandon naît comme chez les écrivains oulipiens de la richesse et de l’invention. » C’est le moment d’utiliser votre créativité.

7. Frictions pulpeuses

Connaissez-vous le « dry humping » ? Il s’agit pour deux partenaires de se frotter l’un à l’autre sexuellement, sans se déshabiller. En France, on parle de ça en gloussant car on y associe le terme un peu ridicule « frotti-frotta ». À tort, c’est une porte à ouvrir vers de subtils plaisirs. Le mot de la fin à Marine, grande fan du dry humping : « Tu devines le sexe de ton mec en érection à travers le tissu. On te touche à travers tes vêtements. Tout ça est très excitant. » Ça tombe bien, vous adorez exciter.

31 mai 2019

Alternative

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30 mai 2019

Honfleur

honfleur

30 mai 2019

Festival du cinéma chinois en France du 3 au 27 juin - save the date

chinois festival

30 mai 2019

Laetitia Casta et Christophe

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casta45

mille mercis à @christophe_le_chanteur pour ces merveilleux concerts, c était un pur bonheur de participer à ma manière à ceux-ci 👏❤️👏✨
encore un grand merci à toute l’équipe de @caramba_prod 
@christophenicolasbiot pour la coiffure
@barbaraloison pour le stylisme @audreygautier.organicmakeup pour le maquillage @onauratoutvu pour le costume
@fberetta pour la chorégraphie

30 mai 2019

Vu sur internet - Misungui Bordelle

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30 mai 2019

Street art et architecture en conflit sur la dalle

Par Emmanuelle Jardonnet

La justice a interdit l’extension d’un parcours de fresques dans le 13e arrondissement de Paris.

C’est l’histoire d’une greffe ratée entre un parcours de street art momumental et un site des années 1970 avec cinq barres de logements sociaux sur dalle, implanté au beau milieu du boulevard Vincent-Auriol (Paris 13e). Après une procédure en référé lancée le 7 mai par l’architecte Gilles Béguin et la designer graphique Isabelle Jégo, la justice a tranché le 20 mai : le duo a obtenu l’interdiction, sans leur accord préalable écrit, de toute intervention de street art sur les pignons de l’îlot Say, tout juste rénové par leurs soins et propriété de la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP). « C’est une décision exceptionnelle sur le fondement du droit moral », commente l’avocate Agnès Tricoire, leur conseil.

Porté par la mairie du 13e, Boulevard Paris 13 est un parcours de fresques orchestré par la galerie Itinerrance, qui avait déplacé les foules en 2013 avec son projet éphémère de Tour Paris 13 – des dizaines d’artistes de la scène street art avaient été invités à intervenir dans un immeuble voué à la destruction. Ces dernières années, son directeur, Mehdi Ben Cheikh, s’est attelé à transformer la portion du boulevard Vincent-Auriol traversée par le métro aérien (ligne 6) en un « musée à ciel ouvert » en constante expansion. Les curieux peuvent y découvrir un enchaînement de muraux de grandes signatures, de l’Américain Shepard Fairey (Obey) au Français Invader.

Le conflit survenu sur l’îlot Say est inhabituel et, du côté de la RIVP, les mots sont durs. « Depuis onze ans que je suis à la direction de la RIVP, avec des centaines d’opérations de complexité variable, je n’ai jamais vu un architecte se comporter aussi mal. Je suis un grand défenseur des architectes, mais là, il y a eu un manque de loyauté », réagit Serge Contat, son directeur général. Il estime que, depuis trois ans, Gilles Béguin les « a baladés dans une espèce d’ambiguïté sans jamais contester le projet de street art ».

« Nous avons tous perdu du temps »

Même son de cloche du côté du maire. « Je n’ai jamais voulu mettre architectes et artistes en concurrence, et je ne souhaite pas polémiquer, assure Jérôme Coumet (PS). Nous faisons toujours des demandes d’intervention très en amont, et dans ce cas, nous avons prévenu dès 2016 que nous souhaitions faire intervenir des artistes sur des pignons. L’architecte avait accepté le principe, il n’a pas tenu sa parole, et nous avons tous perdu du temps. »

GILLES BÉGUIN, ARCHITECTE : « J’AI VOULU QUE LA RÉNOVATION SOIT SENSIBLE À L’HISTOIRE OUVRIÈRE DU QUARTIER, DONT IL A ÉTÉ FAIT TABLE RASE DANS LES ANNÉES 1970 »

Gilles Béguin, lui, défend la cohérence de son travail. « Mon projet de rénovation a été retenu par la RIVP en 2012, études et permis avaient été déposés en 2013. En 2016, le projet était déjà très avancé quand le maire a organisé une rencontre avec le galeriste », résume l’architecte. Il défend son approche des lieux, basée sur l’histoire du site, qui était une vaste raffinerie de sucre jusqu’en 1968 : « J’ai voulu que la rénovation soit sensible à l’histoire ouvrière du quartier, dont il a été fait table rase dans les années 1970. » Il a fait appel, dès 2015, à la designer graphique Isabelle Jégo. « Il y a eu un travail de recherche à partir des archives et de la mémoire des habitants », avec l’idée « de réinterpréter l’esprit d’origine des parements en béton cannelé », avec des pictogrammes et des phrases moulés dans des plaques de béton en composite blanc. Avec, comme effet recherché, une « vibration de la lumière évoquant une pluie de sucre », détaille l’architecte.

« Lors de cette rencontre de 2016, nous avons dit OK pour un pignon, mais pas pour de la peinture recouvrante, plutôt une intervention discrète comme une mosaïque d’Invader, et en collaboration avec nous. Notre projet était déjà très cohérent, je ne voyais pas l’intérêt d’ajouter des fresques, surtout sans lien avec l’histoire des lieux. Ils ont voulu passer en force », estime-t-il, visiblement affecté.

« Mépris » pour son travail

Pendant trois ans, l’incompréhension grandit. D’un côté, les tenants du street art estiment que le message a été passé et que les pignons sont à disposition ; de l’autre, l’équipe architecturale se réjouit du rendu de son revêtement et espère que le projet d’intervention n’est plus d’actualité. Gilles Béguin explique avoir appris à la mi-avril que des fresques étaient finalement programmées sur neuf pignons sur dix. Puis des nacelles sont apparues au pied du revêtement fraîchement posé. « Ils ont estimé que la question des fresques n’était pas mon problème. Je me suis senti agressé, et je me suis juste défendu face à un manque de respect pour notre travail, qui n’offre pas une esthétique spectaculaire, mais respecte le contexte », confie-t-il.

« IL Y A QUAND MÊME UNE TRENTAINE DE FRESQUES DÉJÀ RÉALISÉES À FÊTER », RAPPELLE LE MAIRE, JÉRÔME COUMET

Ce même « mépris » pour son travail, selon les termes de l’avocate, a été ressenti concernant l’annonce de la pose sur l’un des toits-terrasses de l’ensemble d’une sculpture du street artiste français Seth, l’un des lauréats du concours Embellir Paris. L’ajout de cette silhouette enfantine sur un toit constitue-t-elle aussi une atteinte au droit moral ? La justice a estimé que oui. Avouant être réticent à l’esthétique de l’œuvre, l’architecte reconnaît que l’essentiel s’est joué sur la manière : « Tout s’est organisé sans me demander mon avis, et alors que je n’avais même pas encore fait réceptionner le bâtiment. »

« Tant pis, on trouvera un autre endroit », commente Mehdi Ben Cheikh, qui précise qu’il était prévu qu’une fresque du même Seth soit réalisée sur le pignon à l’aplomb de la sculpture. L’inauguration officielle du parcours, le 13 juin, qui devait accompagner l’arrivée des nouvelles interventions, est maintenue, avec un « banquet populaire » qui s’étirera sous le métro aérien entre les stations Nationale et Chevaleret. « Il y a quand même une trentaine de fresques déjà réalisées à fêter », rappelle le maire, tandis qu’une « solution de secours » a été imaginée pour Seth, précise le galeriste : il a agrandi sa fresque précédente sur un immeuble situé de l’autre côté du boulevard.

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