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Jours tranquilles à Paris
3 juillet 2017

Vu sur instagram - ça sent l'été....

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3 juillet 2017

Hôtel Crillon : J - 2

CRILLON

PAR MARION TOURS - Source : Le Point.fr

Après quatre ans de travaux, le mythique hôtel de la place de la Concorde, à Paris, rouvre ses portes le 5 juillet. Voici ce que l'on sait déjà.

17 000 mètres cubes de terre excavés, 6 000 mètres cubes de béton coulés, 147 métiers d'art, 250 sous-traitants, 500 personnes au plus fort du chantier, 600 matériaux (dont 40 marbres), 124 chambres (dont 43 suites), le tout sur une surface de 16 750 mètres carrés répartie sur sept niveaux au cœur de la capitale… C'est dire si la réouverture du Crillon, ce 5 juillet, est attendue. Qui plus est dans un contexte touristique morose où l'hôtellerie de luxe parisienne souffre depuis presque deux ans d'un déficit d'image et de fréquentation.

Il aura fallu quatre ans de travaux (titanesques) pour rénover le mythique hôtel et le propulser (enfin) dans le XXIe siècle. Car si l'établissement conservait un certain prestige et cultivait sa gloire passée – de Marie-Antoinette à Nelson Mandela –, il n'en restait pas moins dans son jus, fidèle à l'architecture que lui avait offerte en 1758 Ange-Jacques Gabriel (à qui l'on doit notamment le château de Versailles), puis Walter-André Destailleur, figure de la Belle Époque, qui le transformera définitivement en hôtel en 1909. L'enjeu était donc de taille : préserver l'identité du bâtiment (façades, salons de réception classés…) tout en le hissant parmi les enseignes les plus prestigieuses de la capitale, en tête desquelles le Ritz, le George V, le Plaza Athénée ou encore Le Meurice. Le propriétaire – le prince saoudien Mutaib Ben Abdullah Ben Abdulaziz – et son opérateur hôtelier – le groupe hongkongais Rosewood Hotels – ne cachent pas en effet leur ambition. Celle d'obtenir le titre de palace, distinction accordée aux établissements dits d'exception. Pour preuve, vingt-trois enseignes seulement, dont dix à Paris, s'enorgueillissent du précieux sésame en France.

Depuis sa fermeture en mars 2013, le Crillon n'a donc pas ménagé ses efforts, notamment dans son mode de gestion du personnel, maintenant et rémunérant ses salariés, les encourageant à vivre de nouvelles expériences, quitte à se perfectionner chez la concurrence. Ainsi Christopher Hache (une étoile Michelin à la fermeture de l'hôtel) a-t-il effectué un tour du monde des saveurs. Tandis que Jérôme Chaucesse, le chef pâtissier, en a profité pour préparer et remporter le concours de meilleur ouvrier de France 2015.

Restauré par Bouygues Bâtiment Île-de-France-Rénovation privée sous la houlette de l'architecte Richard Martinet (une pointure dans le domaine) et des Monuments historiques pour les parties classées, l'établissement s'est également alloué les services de plusieurs designers, fines fleurs de la déco, aux univers distincts mais complémentaires. À commencer par Aline d'Amman, directrice artistique du projet. Chahan Minassian, quant à lui, s'est vu confier le jardin d'hiver et le restaurant gastronomique, L'Écrin ; Tristan Auer, les couloirs et l'espace pour les hommes (avec barbier et salon cireur) ; et enfin Cyril Vergniol, toutes les chambres, à l'exception des suites Signature. Parmi elles, on retrouve les Grands Appartements imaginés par Karl Lagerfeld, dont l'une des chambres est dédiée à Choupette, la chatte – et muse à ses heures – du créateur.

Pour le reste, le Crillon abritera un bar, une brasserie, un cigar lounge, une piscine et un spa, pour la plupart ouverts à la clientèle extérieure. Car tel est aussi l'objectif de l'institution : « Faire en sorte que les Parisiens et les clients du monde entier s'y sentent bien, qu'ils aient la sensation d'entrer dans une résidence privée plutôt que dans un hôtel », conclut le directeur, Marc Raffray.

3 juillet 2017

Rue de Turbigo - au hasard....

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3 juillet 2017

Saint-Germain-des-Prés retrouve son chœur

Par  Élodie Soulié

Ce n’est qu’une première étape de sa rénovation très ambitieuse, mais elle est d’importance et rend déjà du cachet à l’église Saint-Germain-des-Prés : les étoiles de son « chœur des Moines » brillent à nouveau, les vitraux et les peintures murales ont retrouvé lumière et couleurs…

Sur la place Saint-Germain-des-Prés (VI e), la plus ancienne église de Paris reste en partie emmaillotée et inaccessible, mais l’inauguration, la semaine dernière, du chœur des Moines restauré, symbolise la première étape d’une grande campagne de restauration de l’édifice créé en 543. A l’époque, c’était une abbaye bénédictine, que les moines ont dû fuir à la Révolution. Transformée en usine à poudre à canons, meurtrie par plusieurs explosions, reconstruite et relustrée grâce aux fresques à la cire des peintres Hippolyte Flandrin et Alexandre Denuelle, l’église et son chœur étoilé accusent néanmoins l’encrassement de neuf siècles.

Sa restauration, peintures et éclairage inclus, a été réalisée après celle du sanctuaire liturgique de Saint-Germain-des-Prés. Mais le chantier est loin d’être terminé : d’ici à 2020, pas moins de 5 tranches de travaux sont prévues, financées à hauteur de 15 % par la Ville, propriétaire de l’édifice, et à 85 % par le fonds de dotation pour le rayonnement de l’église Saint-Germain-des-Prés, qui a lancé une souscription l’année dernière pour associer fidèles et amoureux du patrimoine. L’an dernier, plus de 700 mécènes ambassadeurs avaient pris part à une première campagne « Adoptez une étoile », et contribué à la réfection partielle de la voûte étoilée de Saint-Germain.

La ville a prévu d’investir 80 M€

Celle du chœur permet de « retrouver l’unité de lecture des grands décors muraux de Flandrin et Denuelle », salue un spécialiste des monuments historiques, après l’achèvement de cette tranche estimée à environ 500 000 €.

Au total, la mairie de Paris a décidé d’investir environ 80 M€ sur les 110 millions prévus par le « plan pour le patrimoine cultuel de la Ville », lancé en avril 2015 et abondé par l’Etat à hauteur de 11 M€, et par des mécénats et financements privés pour 19 M€.

3 juillet 2017

Piotr Pavlenski

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2 juillet 2017

Milo Moiré

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2 juillet 2017

A table !

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2 juillet 2017

Louise Bourgeois - Bilbao

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2 juillet 2017

Devant le Centre Pompidou - "Rien à déclarer ?"

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2 juillet 2017

Hello ! Il fait chaud là-haut ?

girahe

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