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Jours tranquilles à Paris
6 juillet 2017

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5 juillet 2017

Street Art

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4 juillet 2017

Métro Cadet - Paris - pour la fête de l'indépendance du 4 juillet

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Commémoration de la Déclaration d'indépendance du 4 juillet 1776. Le Jour de l'Indépendance (en anglais : Independence Day ou Fourth of July) est la fête nationale des États-Unis commémorant la Déclaration d'indépendance du 4 juillet 1776 , vis-à-vis du Royaume de Grande-Bretagne.

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4 juillet 2017

Le palace parisien Le Crillon rouvre ses portes (demain mercredi) après quatre ans de travaux

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Par Guy Dutheil - Le Monde

Depuis 2007, le nombre des palaces dans la capitale a doublé, passant de sept à quatorze. Après deux années de crise, les établisssements de luxe semblent retrouver le sourire.

On sabre à nouveau le champagne dans les palaces parisiens. Après deux années de crise, les établissements de luxe de la capitale ont retrouvé le sourire. « Les affaires vont plutôt bien. Nous ne savons plus trop quoi faire de nos clients », savoure François Delahaye, directeur général du Plaza Athénée, l’une des plus prestigieuses adresses parisiennes. « Cela va mieux », admet José Silva, vice-président et directeur général du Four Seasons George V. Une véritable « embellie », confirme Christophe Laure, président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) Prestige - le syndicat des palaces et des hôtels haut de gamme.

Ce regain de forme tombe pile avec le retour du Crillon. Le palace de la place de la Concorde rouvre, mercredi 5 juillet, ses chambres et ses suites après quatre ans de travaux. Une rénovation de fond en comble. Comme une seconde jeunesse. Un chantier pharaonique pour son propriétaire le prince saoudien Mutaib bin Abdullah bin Abdulaziz.

Et (très) dispendieux : un luxe un peu tapageur, des dorures à la feuille l’or, deux sous-sols creusés pour faire place à une piscine de 16 mètres de long et un spa. Le « must » des palaces. Rien moins que 440 millions d’euros de travaux chuchotent les professionnels. Une somme que « ne confirme ni n’infirme » Rosewood Hotels & Resorts, le groupe d’hôtellerie de luxe hongkongais chargé d’exploiter le Crillon.

Il faut dire qu’en 2010, déjà, le prince saoudien n’avait pas hésité à débourser environ 250 millions d’euros pour s’adjuger cette institution parisienne au nez et à la barbe du groupe allemand Kempinski.

Mille euros la nuit

Avec cette réouverture, la Ville Lumière va renforcer son statut d’exception. « Il n’y a aucune ville au monde qui peut, comme à Paris, regrouper autant de palaces avec un prix moyen des chambres aussi élevé », s’enthousiasme M. Laure.

L’établissement de la place de la Concorde ne risque pas de faire baisser la moyenne. Au contraire, il se positionne d’emblée comme un des plus chers de la place. Mille euros pour une nuit dans l’une des quatre-vingt-quatre chambres et jusqu’à 25 000 euros, sans le petit-déjeuner, pour loger dans l’une des trente-trois suites de l’hôtel. Enfin, le Crillon propose pour ses clients les plus fortunés deux « grands appartements » d’une superficie de 450 mètres carrés décorés par le couturier Karl Lagerfeld au prix stratosphérique de 32 000 euros.

Dans la capitale, tout le monde n’applaudit pas aussi fort le retour du Crillon. « Cela augmente le nombre de chambres de la catégorie palace. Il y a un peu trop de palaces à Paris », s’inquiète le patron du Plaza Athénée. Il est vrai que la concurrence est vive sur le segment du luxe. En 2014, c’est le Peninsula qui prenait place avec ses deux cents chambres à quelques pas des Champs-Elysées, puis le Ritz a fait son come-back avec 71 chambres et suites supplémentaires il y a un an.

Et ce n’est pas fini ! Deux adresses sont encore à venir. Seul palace de la rive gauche, le Lutetia prévoit d’achever sa rénovation en 2018, tandis que le Cheval Blanc est attendu pour 2019 dans les murs de la Samaritaine. Depuis 2007, le nombre de palaces à Paris aura doublé passant de sept à quatorze. « Cela reste quand même raisonnable. Il y a même encore une certaine marge », plaide Christophe Laure car « il y a de plus en plus de milliardaires dans le monde ».

A en croire le patron du syndicat des palaces, cette profusion d’établissements de grand luxe serait même bénéfique. « Les performances des six premiers mois de 2017 sont assez prometteuses », fait-il savoir. Le revenu par chambre, le véritable baromètre de l’économie du secteur, aurait ainsi augmenté de 18 % par rapport à 2016.

En revanche, les taux d’occupation des grandes enseignes parisiennes « restent encore en deçà de ceux d’avant les attentats de 2015 et 2016 » qui pouvaient culminer à 80 % et même 90 %, tempère M. Laure. Aujourd’hui, il serait plutôt calé autour de 65 %. Avec des variations. Celui du George V serait de 55 %. Claudio Ceccherelli, directeur général du Park Hyatt, lui, se frotte les mains : « Juin a été un mois formidable avec 90 % de remplissage. Il devrait atteindre 75 % en juillet. » A l’inverse, le Peninsula, dont la direction n’a pas souhaité répondre à nos questions, vivrait « un drame », confie un concurrent.

Offre pléthorique

En quelques années, les prix moyens des chambres ont plus que doublé. Désormais, tous les palaces visent un prix moyen par chambre de 1 000 euros par nuit contre 350 à 450 euros auparavant. Au total, Paris propose désormais près de 1 900 chambres à ce tarif. Une offre pléthorique, mais le patron du George V ne croit pas à une guerre des prix. « Parce que les palaces n’ont pas les moyens de se la payer. Certains s’y sont essayés », sans succès, ajoute-t-il.

A l’examen, l’économie de l’hôtellerie de luxe est très fragile. A Paris, « aucun des hôtels rénovés ne sera rentable à court terme », pointe José Silva. La faute au prix de revient des chambres qui a explosé pour atteindre de « 3 à 5 millions d’euros ». C’est lors de la revente des palaces que les propriétaires touchent le pactole. Notamment les qataris, propriétaires du Peninsula, qui grâce à une disposition fiscale adoptée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, « ne paient pas d’impôts sur le capital. Dans vingt ans, ils vendront avec 100 % de bénéfice », assure M. Silva.

A Paris, le boom des palaces profite surtout aux cinq étoiles et aux boutiques hôtels. Des établissements luxueux mais de plus petites capacités. Cette bonne fortune excite les convoitises. Un Bulgari doit ouvrir juste en face du George V. Le groupe Madar, spécialisé dans l’immobilier commercial et de bureaux, achève de construire « un cinq étoiles grand luxe de trente chambres au 82 rue de Lille, près du boulevard Saint-Germain », indique Alain Madar, le PDG du groupe. Un investissement de 40 millions d’euros. Ouverture prévue en 2018 à l’enseigne du groupe hôtelier italien JK Place. Un changement de pied qui ne doit rien au hasard.

Selon les emplacements, « il est plus rentable de faire de l’hôtellerie », indique M. Madar. Mais surtout pas de palace. « Pas sûr que ce soit très rentable, selon notre analyse », assène Alain Madar.

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4 juillet 2017

Jardin Serge Gainsbourg

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Aménagé au cœur du futur quartier de la Porte des Lilas, la première partie du jardin Serge-Gainsbourg a été créée au dessus du boulevard périphérique.

Le jardin porte le nom du père du célèbre « Poinçonneur des Lilas».

A demi sur dalle, il dessine un paysage vallonné autour d'une grande pelouse centrale.

On y trouve jardins partagés, aires de jeux, un bassin central d'une quinzaine de mètres de diamètre... le tout relié par la « ficelle », un chemin en pente douce qui serpente au milieu de la verdure. Accessible aux personnes à mobilité réduite, il relie le Pré-Saint-Gervais.

Le bassin est alimenté grâce à la récupération des eaux de pluie.

L'espace central est constitué de vastes pelouses accessibles au public du mois d'avril au mois d'octobre.

De nombreuses variétés de plantes et d'arbres agrémentent les parties extérieures du jardin

Au bout du jardin, un belvédère offre une vue très dégagée et plongeante sur la Plaine-Saint Denis,  et domine le périphérique.

Depuis le printemps 2011, le jardin s'est agrandi et offre un espace davantage arboré et ombragé, avec deux aires de jeux.

Le terrain destinée à accueillir une bibliothèque et attenant au jardin a par ailleurs été aménagée temporairement par les jardiniers.

En attendant les travaux de réalisation de l'équipement culturel, une allée et des bancs sont à votre disposition sur cette parcelle jusque là en friche.

http://equipement.paris.fr/jardin-serge-gainsbourg-6337

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4 juillet 2017

Bella Hadid

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4 juillet 2017

Bientôt une piste cyclable… au milieu des Champs-Elysées

Par  Jean-Gabriel Bontinck

C’est, de l’aveu même de la Ville de Paris, un « projet symboliquement très fort » du plan vélo voulu par Anne Hidalgo d’ici à 2020 : les Champs-Elysées (Paris VIII e) auront enfin, dans les mois qui viennent, une piste cyclable digne de la plus belle avenue du monde.

Le calendrier n’est pas encore fixé (la piste ne sera de toute façon pas en service avant 2018), mais son tracé, lui, semble acté : les vélos pourront rouler au centre même des Champs-Elysées. « L’option d’une piste cyclable centrale/axiale est bien privilégiée mais le travail est toujours en cours car des points techniques restent à approfondir », précise-t-on à la Ville de Paris.

Le centre de l’avenue, là où les touristes s’arrêtent pour prendre des photos entre les feux tricolores et où la vue est la plus belle, sera donc réservé aux cyclistes. Il s’agit du « choix de la maire » Anne Hidalgo, un « geste fort » et « validé par les architectes des bâtiments de France » (l’avenue est classée), ajoute-t-on encore à la Ville.

Les services de la voirie et des déplacements ont aussi pesé le pour et le contre de cette implantation axiale, qui s’est avérée nécessaire dans ce « cas très particulier » des Champs-Elysées. Contrairement à d’autres axes parisiens, on ne pouvait pas, par exemple, aménager des quais pour les bus, « car cela viendrait heurter la symétrie et le linéaire de l’avenue », ajoute la ville.

S’il est à coup sûr un beau symbole de la place centrale du vélo à Paris voulue par Anne Hidalgo, ce tracé ne satisfait pas certains usagers quotidiens de la bicyclette. « On place les cyclistes au milieu des voitures, ce n’est pas l’idéal en termes de sécurité et de qualité de l’air. Je vous laisse imaginer quand il faudra traverser les trois voies de circulation automobile pour tourner à droite ou à gauche depuis la piste centrale », s’inquiète Charles Maguin, président de Paris en Selle.

Cette association a lancé une consultation en ligne sur le sujet. Plus de 1 100 cyclistes ont répondu, et, à 63 %, ils se prononcent pour une piste latérale. « Plus qu’un symbole risqué, nous demandons avant tout une piste cyclable fonctionnelle », conclut l’association. Mais, pour le moment, « il semble que la piste axiale soit la seule option envisagée », se désole Charles Maguin.

La Ville de Paris assure de son côté que « les pistes existantes de ce type à Barcelone (Espagne) ou dans d’autres villes sont tout à fait convaincantes ».

4 juillet 2017

Kate Moss

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3 juillet 2017

Le retour en force du cabinet de curiosités dans les salons chics

Par Catherine Rollot

Très en vogue au XVIIIe siècle, les cabinets de curiosités étaient des pièces ou des meubles où étaient exposés des fossiles, des animaux empaillés, ou des antiquités... Quelques siècles plus tard, la quête du savoir n’est plus la principale motivation de la tendance chambre des merveilles.

C’est la revanche de l’accumulation et du bizarre sur les lignes épurées des décos scandinaves. Le gothique et le sombre à rebours de l’ambiance nordique aussi monochrome qu’un jour de janvier à Helsinki. L’ambiance cabinet de curiosités, ces ancêtres des musées, fait un retour en force.

Apparus à la Renaissance et très en vogue au XVIIIe siècle, les cabinets de curiosités étaient des pièces ou des meubles où étaient entreposés et exposés naturalia (fossiles, animaux empaillés, herbiers…), artificialia (objets créés ou modifiés par l’homme comme les antiquités), exotica (plantes et animaux exotiques). Aristocrates et érudits y montraient leurs collections de pièces rapportées de lieux lointains, dans le but de faire découvrir et comprendre le monde.

« Cabinet de curiosités », huile sur toile de Domenico Remps (vers 1689). Museo dell’Opificio delle Pietre Dure, Florence. | DR

Quelques siècles plus tard, la quête du savoir n’est plus la principale motivation de la tendance chambre des merveilles. On s’en inspire aujourd’hui essentiellement pour leur haut potentiel décoratif.

La cloche, accessoire magique

Pour éviter l’effet vide-greniers, limiter la surface dévolue à votre petit musée personnel à un dessus de buffet ou un manteau de cheminée. Un fond de peinture ou de papier peint de couleur sombre, un grand mur de cadres de formats différents, ou d’affiches, disposés dans un chaos organisé, suffisent à créer une ambiance. Les miroirs, qui agrandissent et donnent de la profondeur, plantent le décor.

Côté objets, si la perspective d’afficher papillons encadrés, trophées de chasse et perruches déplumées ne vous enthousiasme pas, il existe de nombreuses autres façons de donner un petit côté société savante à votre salon, la poussière et l’odeur de renfermé en moins.

L’accessoire magique, c’est la cloche. Cet objet de verre transforme toute pacotille en une installation artistique et précieuse. Coquillages ramassés lors de votre dernier week-end breton, branches et fleurs séchées glanées en campagne, Playmobil ou figurines de Casimir ou de Goldorak sauvés de votre enfance, boîtes d’allumettes, simples feuilles de papier roulées façon parchemin, enfermées dans un cocon de faux cristal… passeront pour des trésors.

La biologie, l’histoire naturelle, la géographie, toutes ces thématiques chères aux cabinets de curiosités d’antan pourront être détournées. Les plus créatifs se risqueront à des inspirations plus contemporaines. Attention cependant : pas sûr que puces électroniques, sneakers et smartphones fassent leur effet en vitrine.

3 juillet 2017

Coco de mer

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