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Jours tranquilles à Paris
13 juillet 2017

#beyoncé vient de dévoiler le premier cliché de ses jumeaux. Ne sont-ils pas adorables ?

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13 juillet 2017

Vu sur internet

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13 juillet 2017

Farniente au Cent Quatre.... les fesses humides...

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13 juillet 2017

Les utilisateurs de Twitter bloqués par Trump l’attaquent en justice

L’organisation Knight First Amendment Institute a déposé un recours au nom des internautes qui ont été bloqués par le président des Etats-Unis, estimant que c’est une atteinte à leur liberté d’expression.

Des utilisateurs de Twitter ont annoncé mardi 11 juillet avoir intenté une action en justice contre le président des Etats-Unis Donald Trump. Ils l’accusent d’enfreindre la liberté d’expression après s’être vus interdire l’accès à son compte, a annoncé l’organisation Knight First Amendment Institute.

Cette organisation estime que le président Trump et son service de communication « enfreignent le premier amendement [à la Constitution américaine, protégeant la liberté d’expression] en bloquant l’accès d’utilisateurs au compte Twitter @realDonaldTrump parce qu’ils ont critiqué le président ou sa politique ».

« Le président et ses conseillers ont, de façon extrêmement active, fait du compte @realDonaldTrump un canal de communication clé entre le président et le public », poursuit-elle dans un communiqué, relevant que « les conseillers du président ont déclaré que les tweets de ce compte constituent des “déclarations officielles” ».

Il s’agit du compte personnel du chef d’Etat américain. Il dispose également d’un compte officiel, @POTUS, mais il l’utilise assez peu.

« Un forum public »

Selon l’organisation basée à la prestigieuse université new-yorkaise de Columbia, la Maison Blanche utilise ce compte personnel « pour faire des annonces officielles, défendre les décisions et les actions officielles du président, rendre compte des rencontres avec des dirigeants étrangers et promouvoir les positions du gouvernement sur la couverture santé, l’immigration, les affaires étrangères et d’autres sujets ».

En conséquence, affirme-t-elle, c’est un « forum public » au sens du premier amendement, « ce qui veut dire que le gouvernement ne peut pas en exclure des gens, simplement à cause de leurs opinions ».

Les internautes bloqués ne peuvent ni lire les tweets du républicain – connu pour son utilisation active de Twitter – ni interagir avec lui, relève le Knight First Amendment Institute, concluant que ce blocage viole aussi les droits des utilisateurs du réseau social n’ayant pas été bloqués car l’espace de discussion a été purgé de voix discordantes.

La plainte a été déposée devant un tribunal new-yorkais par cette organisation, et pour le compte de sept utilisateurs bloqués. Outre l’occupant du bureau Ovale, elle vise le porte-parole de la Maison Blanche Sean Spicer et Daniel Scavino, chargé des réseaux sociaux auprès de M. Trump.

13 juillet 2017

Miles Aldridge

miles123

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13 juillet 2017

14 Juillet...Sortez, dansez et vibrez !

Bals, concerts, retraites aux flambeaux, feux d’artifice... Cette année encore, la fête va battre son plein pour le 14-Juillet.

Par  Nicolas Maviel - Le Parisien

Même si la grisaille est toujours bien présente aujourd’hui, les conditions météorologiques devraient être plus clémentes. Ouf, car un bal du 13 juillet (ou du 14) et un feu d’artifice sous la pluie, ça perd de son charme ! Pas facile de danser en bottes et vêtements, ou assister à un festival de couleurs dans la nuit, caché sous un parapluie et emmitouflé dans un manteau.

Qui dit bals, dit forcément pompiers. Ainsi à Paris, mais aussi en Seine-Saint-Denis, dans le Val-de-Marne ou les Hauts-de-Seine les hommes de la BSPP ouvrent leurs casernes (41 au total) pour que chacun vienne célébrer la Fête nationale. Plusieurs milliers de participants sont attendus pour danser, chanter et boire (avec modération bien évidemment) jusqu’au bout de la nuit.

La java dans tout paris

Mais n’ayez crainte, si des pompiers se feront un plaisir, même un devoir, de vous servir de cavaliers et de vous recevoir dans la joie et la bonne humeur, d’autres seront toujours de garde pour veiller sur la population mais aussi au bon déroulement des feux d’artifice. D’ailleurs, c’est l’autre grande attraction de ces deux jours dédiés à la Fête nationale. Pour ceux qui souhaitent fêter la prise de la Bastille à Paris, rendez-vous, au pied de la tour Eiffel (VII e) demain, mais aussi sur le Champ-de-Mars (VII e) et au Trocadéro (XVI e) dès 23 heures, pour le spectacle pyrotechnique en musique (privilégiez les transports en commun). D’autres lieux peuvent vous permettre de passer une soirée avec plein d’éclats de couleurs dans les yeux, sans forcément avoir les « boum boum » dans les oreilles.

De la butte Montmartre (XVIII e), au parc de Belleville (XIX e), en passant par les ponts de la Seine comme celui d’Alma (VII e, VIII e, XVI e), Alexandre-III (VII e-VIII e) ou du pont Neuf (I er), les occasions sont nombreuses d’assister pleinement au spectacle donné sans débourser le moindre centime. Après, il y a aussi les options plus coûteuses mais plus intimistes comme le Perchoir au BHV-Marais (IV e), à l’hôtel Péninsula (XVI e, avenue Kléber) mais aussi en haut de la tour Montparnasse (XV e). Enfin, il est également possible d’assister au festival de la belle bleue et de la belle rouge sur un bateau… La note est toutefois plus salée.

14 juillet

13 juillet 2017

Roger-Viollet gagne un an de sursis

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La Ville prolonge la délégation de service public qui la lie à l’agence de photographies. L’objectif est désormais de rééquilibrer les comptes.

Soufflera-t-elle ses 80 bougies l’an prochain ? C’est l’inquiétude qui est montée courant juin parmi les salariés de la célèbre agence de photographies Roger-Viollet. Créée en 1938, sa collection de six millions de photographies avait été léguée à la Ville de Paris en 2005 via la Parisienne de photographie. Mais douze ans plus tard, la crise du marché de la photographie est passée par là et la Parisienne rencontre de sérieuses difficultés financières. A l’issue d’un conseil d’administration, l’avenir semblait donc bien incertain pour cette maison au fonds photographique exceptionnel.

Grève, manifestation, pétition, accrochage d’une banderole sur la façade la célèbre maison rue de Seine (VI e) : les salariés ont multiplié les initiatives pour sensibiliser le public et la Ville sur leur devenir.

Une mobilisation qui a porté ses fruits puisque Bruno Julliard, premier adjoint de la maire de Paris chargé de la culture, a indiqué que la Ville allait prolonger d’une année la délégation de service public qui la lie à la Parisienne de photographie et devait s’achever à la fin de l’année. Un nouveau directeur, Nicolas Bouillant, prendra ses fonctions le 24 juillet. Mission : rééquilibrer les comptes. « Il faut lancer un vrai plan de restructuration. Trop de temps a été perdu », soupire Jacques Boutault (EELV) qui préside le conseil d’administration de la Parisienne de photographie.

« Si on en croit son parcours professionnel, le nouveau directeur a piloté beaucoup de réorganisations. Il n’a pas le profil d’un liquidateur. Nous espérons que l’année de sursis obtenue servira vraiment à restructurer et relancer l’agence contrairement aux deux années précédentes », insiste une source interne.

Regroupement des sites, accélération du processus de numérisation… sont autant de pistes qui seront étudiées. « Pour relancer l’activité commerciale nous pourrions aussi devenir l’agence photo de Paris », suggère pour sa part Ophélie Strauss, déléguée du personnel. Source : Le Parisien

13 juillet 2017

Bellissima !

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13 juillet 2017

Colette fête ses 20 ans et puis s’en va

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213, rue Saint-Honoré (Ier). La boutique Colette pourrait être reprise par l’enseigne de prêt-à-porter Saint-Laurent.

Le concept-store le plus fashion de la capitale va fermer le 20 décembre, à la surprise générale. Colette Roussaux, sa fondatrice, prend sa retraite.

Par  Ronan Tésorière

Les salariés l’ont appris hier matin. Alors que le magasin de mode Colette a fêté en grande pompe ses vingt ans par une exposition aux Arts Décoratifs fin mars, cet incontournable lieu parisien, référencé dans tous les guides touristiques de Paris, ferme le rideau.

« Toutes les bonnes choses ont une fin. Après vingt années exceptionnelles, Colette devrait définitivement fermer ses portes le 20 décembre. » Le message est laconique et a pris de court la communauté des branchés. Le concept-store de la rue Saint-Honoré (I er) l’a annoncé sur son compte Instagram. Le message précise que des négociations sont en cours pour la reprise du lieu par Saint-Laurent.

Parmi les clients : Zlatan, Rihanna, Drake, Kate Moss…

Une tractation menée dans le secret, puisque l’équipe a découvert la nouvelle quasiment en même temps que le grand public. « Colette Roussaux arrive à l’âge où il est temps de prendre son temps ; or, Colette ne peut exister sans Colette », précise ce post en forme de communiqué. De nombreux commentaires d’internautes regrettent déjà cette fermeture surprise du temple de la « hype » parisienne. Rien, a priori, ne laissait augurer de cette fermeture brutale. Ni les comptes bénéficiaires, ni la célébration du vingtième anniversaire.

Lancée en 1997 au 213, rue Saint-Honoré, à Paris par Colette Roussaux et sa fille Sarah Lerfel Andelman, la boutique de 700 m 2 sur trois niveaux s’est rapidement imposée comme référence d’un genre nouveau, mêlant habillement, street-art, mode, beauté, art, design, high tech, musique et littérature. Un concept qui a largement participé à l’aura branchée de la capitale à l’étranger.

Zlatan, Rihanna, Pharrell Williams, Drake, Kate Moss… Les plus grandes stars de la planète sont venues chaque année présenter leur collection en édition limitée et leur actualité dans ce temple de la mode, créant, à chaque visite, l’émeute.

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12 juillet 2017

Jeux Olympiques 2024 ???

Jeux olympiques : Paris se projette en 2024 mais pas au-delà

Par Yann Bouchez

Dotée de nombreuses infrastructures déjà prêtes, la capitale doit encore construire quelques sites et attend le feu vert du CIO. Dans le cas d’une attribution pour 2028, elle devrait revoir ses plans.

Le principe de la double attribution des Jeux olympiques 2024 et 2028, le 13 septembre à Lima, a beau avoir été officiellement acté par le Comité international olympique (CIO), mardi 11 juillet, les représentants de la candidature parisienne vont continuer de batailler, comme ils le font depuis plusieurs mois, pour obtenir les Jeux dans sept ans et non dans onze.

Contrairement à sa rivale de Los Angeles, qui logerait les athlètes sur le campus de l’université de Californie (UCLA), Paris doit encore construire son futur village olympique. Celui-ci verrait le jour dans le quartier Pleyel de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Il devrait coûter environ 1,3 milliard d’euros (le budget global de l’événement est estimé à 6,6 milliards d’euros). Avec 17 000 lits, il permettrait d’héberger plus de 10 000 athlètes et leurs entraîneurs sur 51 hectares.

Alors que les représentants de Paris 2024 disent vouloir que les Jeux contribuent à dynamiser la banlieue nord-est, comme l’avait fait Londres avec ses quartiers de l’East End lors de l’édition olympique 2012, la construction de ce village a été utilisée comme argument afin de justifier la nécessité d’organiser la compétition dans sept ans.

« Impossible d’obtenir le terrain pour 2028 »

« Nous avons rencontré les propriétaires des terrains et ils ont été clairs : ils gardent le terrain jusqu’en septembre dans l’optique de 2024, mais il est impossible d’obtenir le terrain pour 2028 », a prévenu Tony Estanguet, coprésident du comité de candidature. « Nous n’aurons aucun village de cette qualité-là pour 2028 », a insisté Jean-François Martins, adjoint aux sports à la mairie de Paris, lors d’un déjeuner de presse à l’hôtel de ville, le 15 juin.

Paris 2024 souligne que 85 % des athlètes logeraient à moins d’une demi-heure de leur lieu de compétition et que 22 sites de compétition seraient situés dans un rayon de 10 kilomètres autour du village olympique.

Le tout en s’appuyant sur un réseau de transports densifié dans le cadre du projet Grand Paris express, qui prévoit notamment la réalisation de quatre nouvelles lignes de métro automatique autour de la capitale entre 2020 et 2030. Ces éléments sont mis en avant par la candidature parisienne, d’autant que les distances et les transports ne sont pas les points forts de Los Angeles.

Outre le village olympique et le village des médias, qui devrait être installé sur le site de Dugny-Le Bourget, reste à construire le centre aquatique, qui sera situé à Saint-Denis, à proximité du Stade de France, ainsi qu’une salle polyvalente baptisée Paris Arena II, en bordure de Seine, dans le quartier de Bercy, qui accueillera le judo et le basket-ball.

Pas de « lieu de célébration central »

Les sites de compétition doivent principalement s’articuler autour de deux axes, l’un situé en Seine-Saint-Denis, l’autre dans le centre de Paris. Ce dernier inclut des lieux emblématiques comme le Champ-de-Mars (beach-volley), l’esplanade des Invalides (tir à l’arc) ou le Grand Palais (taekwondo et escrime).

Tony Estanguet et les représentants de la candidature parisienne vantent la « compacité » du projet, alors que les sites apparaissent relativement éparpillés. D’ailleurs, si la commission d’évaluation du CIO, dans son rapport publié le 5 juillet, loue les « décors incroyables » qu’offre Paris, elle souligne que « créer une atmosphère olympique spéciale dans la zone du Grand Paris sera plus difficile, car les sites sont déployés sur une large aire, sans lieu de célébration central ».

En dehors de ces deux zones réunissant 19 sites de compétition, les épreuves d’aviron et de canoë-kayak se dérouleront à l’est de la capitale, à Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne), tandis que les compétitions d’équitation, de cyclisme (en dehors des épreuves sur route) et de golf auront lieu dans les Yvelines. Les épreuves de voile seront les seules – hormis quelques matchs de football – à être organisées en dehors de la région Ile-de-France, à Marseille.

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