David Lynch

Vu mercredi 29 janvier 2014

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— Jacques Snap (@JacSnap) 13 Janvier 2014

http://www.concorde-art-gallery.com/galerie.html

Le Centre Pompidou dévoile la première grande rétrospective du photographe français, dix ans après sa disparition ; plus de 350 documents – tirages, films et archives personnelles – nous offriront une lecture globale de l’œuvre de Cartier-Bresson, considéré comme « l’oeil du siècle ». A travers une scénographie bien choisie, l’exposition du Centre Pompidou met en exergue l’engagement politique de l’artiste et son regard sur les grands changements sociétaux du XXe siècle.

Exposition visible du 12 Février au 9 Juin 2014

Le peuple

L'exposition "Je crie vers toi" de Le Turk débute le 30 janvier à la galerie "Les infirmières Galerie". Une rencontre avec l'artiste aura lieu le 31 janvier de 19h à 21h. Dans ses photos, Le Turk photographie des personnages "hauts en couleur", principalement des femmes sans distinction d'âge ou de physique. Il utilise des costumes récupérés, des accessoires, s'occupe lui même de la coiffure et de la mise en scène.

Ces personnages semblent évoluer dans un autre monde, un monde mystique, un cirque-univers. Il va alors raconter des histoires à travers ses photographies. Le photographe devient Le Turk et le chef d'orchestre de toutes ses mises en scènes métaphoriques. La série "Salbatar Cirkus" est le résultat de cette transformation. Les personnages évoluent dans un monde particulier et le photographe construit leur univers sur mesure. Lors d'une série intitulée "Marie sur les Toits" il va façonner les toits d'un improbable Paris. Il réalisera ensuite les séries "Salbatar Circus" (1 et 2), "Retour en terre nulle part", "Je crie vers toi", "la chute des empires". Dans sa dernière, "Opera Mundi", une nouvelle forme du réel prend place. Le monde est à l'image d'une fresque ou les personnages sont dirigés par les symboles qu'ils incarnent et laissent place à des visions fantasmées de la réalité.

L'exposition est composée de 4 panneaux (Le Peuple, Saint Sébastien, le Prince, et la Guerre) et un triptyque central (la crucifixion). Vision moderne de la passion du Christ : c'est une fresque dont tous les éléments convergent vers la crucifixion.

Sébastien Salamand dit Le Turk est un photographe français qui vit et travaille en Allemagne. Il a eu une formation musicale et a créé des pièces musicales pour des courts-métrages. Il a ensuite travaillé sur des bandes dessinées avant de se consacrer à la photo en 2009.

Exposition "Je crie vers toi" de Le Turk

Du 30 janvier au 12 février

Galerie "les infirmières Galerie"

100 boulevard Beaumarchais, Paris 3e.

Le prince

Marie sur les toits

Concorde Art Gallery

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— Jacques Snap (@JacSnap) 13 Janvier 2014

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Ils ont vécu la Première Guerre mondiale ? C'est à cette question que tente de répondre l'exposition Paris 14-18, la guerre au quotidien, qui s'ouvre aujourd'hui à la Galerie des bibliothèques de la Ville de Paris. Un voyage dans le temps rendu possible grâce à Charles Lansiaux, un photographe indépendant qui a immortalisé la capitale pendant le conflit. Deux cents clichés de cet artiste oublié racontent la vie loin des tranchées. Un événement qui marque officiellement le début des commémorations du centenaire de la Grande Guerre dans la capitale lancées hier par te maire, Bertrand Delanoë.

Des tranches de vie méconnues «C'est une vision d'humanisme et de tendresse, différente de l'information contrôlée de l'époque», explique la conservatrice générale, Emmanuelle Toulet. Charles Lansiaux a par exemple figé en 1914 la joie des hommes partant au front. Puis, alors que le conflit s'étirait, la vie quotidienne s'est organisée. Les camelots ou vendeurs de journaux se sont alors fait tirer le portrait. En 1915, les femmes et les enfants ont occupé la ville et se sont mis au travail. Factrices, contôleuses d'autobus, elles remplaçaient les hommes partis au front. Mais la population subissait également la dureté de la guerre. Les nuits étaient rythmées par les bombardements (intensifs en 1916), les jours par l'annonœ des «tombés pour la France». Le photographe a aussi immortalisé les premières distributions de masques à gaz (1915), les cratères laissés dans les murs ou dans la rue par les obus, les veuves crêpées, le retour des premiers soldats estropiés ou l'arrivée de familles entières de civils fuyant la violence du front.

Paris 14-18, la guerre au quotidien,

22, rue Malher (4e) jusqu'au 15 juin.